Avec la suite des aventures d'Ezio Auditore en préparation, il aurait été impensable pour nous de manquer notre rendez-vous avec Assassin's Creed Brotherhood, qui faisait l'objet d'une nouvelle présentation de la partie solo du jeu. Les réactions à chaud de Gamersyde après la découverte de Rome à l'intérieur.
Ubisoft présentait une séquence inédite du mode solo de Assassin's Creed Brotherhood, attendu à la fin de l'année pour clore les aventures d'Ezio Auditore. L'occasion de découvrir enfin la modélisation de la capitale italienne, Rome. Bien sûr, le moteur reste le même que celui d'Assassin's Creed 2, lui même une évolution de celui du premier épisode. Malgré tout, il faut avouer qu'apercevoir le Colisée à portée de jambes et de mains est un plaisir qui ne se refuse pas. Le nouveau terrain de jeu est de plus trois fois plus grand que la ville de Florence présente dans le deuxième opus, l'assurance d'avoir à passer un bon nombre d'heures à arpenter les moindres recoins de la cité romaine en quête de monuments célèbres.
La présentation se concentrait sur le nouveau système de guilde et les combats et nous avons aussi appris qu'Ezio aura pour tâche d'attaquer douze tours au main des Borgia pour les affaiblir et obtenir par la même occasion une bonne topographie des environs (ces tours faisant donc aussi office de points d'observation). Avant de se lancer à l'assaut de l'une des ces tours, Ezio aura cependant intérêt à assembler une équipe d'assassins pour lui prêter main forte et lui offrir une bonne diversion le moment venu. Pour se faire, il pourra par exemple venir au secours de rebelles sur le point d'être mis aux arrêts et les recruter pour le suivre dans son combat contre le clan Borgia. Chacun des assassins pourra obtenir un meilleur équipement (armes ou armures) et améliorer ses capacités grâce à un système d'expérience. Pour les former et les faire progresser, Ezio devra donc les envoyer en mission à travers toute l'Europe, ce qui se fait via un menu assez simple : choix de la mission, pourcentage de chance de réussite de l'équipe d'assassins, gain de florins etc. Attention cependant, car tout assassin perdant la vie au cours de l'une de ces missions sera perdu à jamais.
Lorsqu'une équipe est envoyée en mission, elle est bien sûr indisponible pendant un certain temps et elle ne peut donc pas suivre Ezzio pour lui servir de renfort. Mais à mesure que votre guilde grandit, vous avez accès à un nombre d'hommes de plus en plus important (ceci étant matérialisé par plusieurs jauges en haut à gauche de l'écran). Ezio pourra donc leur demander de l'aide d'une simple pression sur la touche L2. Un exemple : deux gardes sont postés devant une échoppe fermée en ville et en un simple clic, deux assassins apparaissent du haut des toits et s'abattent sur les malheureux, évitant par là une attaque frontale qui aurait pu donner l'alerte générale. Pour se débarrasser d'une tour Borgia, il faut tout simplement la détruire en y mettant le feu. Mais il est aussi possible de profiter de l'assaut pour tuer l'officier en charge de la tour, un bon moyen de libérer la zone du joug borgien une bonne fois pour toute et de pouvoir obtenir des prix intéressants dans les boutiques - en plus de leur réouverture. Le tempérament de ces officiers variera, aussi pourra t-on avoir affaire à un vil couard qui prendra les jambes à son coup et qu'il faudra rattraper (une séquence de chasse somme toute classique dans la franchise), ou au contraire un homme au courage sans pareil qui se fera un point d'honneur à vous tenir tête pour vous faire passer ad patres.
Comme dit en préambule, la démonstration faisait la part belle aux combats, mais sans prendre la manette en main, difficile de véritablement se rendre compte des évolutions apportées. On nous a bien sûr montré quelques uns des nouveaux mouvements, comme le lancer d'armes contondantes de bonne taille comme la hallebarde sur un adversaire, et les développeurs ont insisté sur l'importance du rythme qu'il ne faut pas perdre pour garder l'avantage dans un affrontement. Sorti de cela, ils sont visuellement très proches de ce qui se faisait auparavant, même si, selon l'ennemi en présence, la technique d'attaque pourra varier. Assassin's Creed 2 nous avait fait découvrir les joies du deltaplane façon De Vinci, Brotherhood, lui, nous initiera au plaisir du parachute médiéval, bien pratique lorsqu'aucune meule de foin ne nous attend pas en contrebas pour accélérer notre fuite. Il est donc raisonnable de penser que d'autres gadgets seront de la partie, en espérant juste qu'ils soient moins anecdotiques que la machine volante de l'inventeur italien dans l 'épisode précédent.
Tous les commentaires (13)
Par contre quand je joue à splinter cell, prince of persia ou assassin's creed je suis frustré de pas les voir faire un jeu avec un mec habile et discret mais un vra ininja quoi!! Prochaine gen j'espere
:caliméro:
Et dire que j'ai encore 5 aperçus à faire et un hands-on... \o/
Celui-la, vous êtes tous obligés de l'acheter ! :)
Ouais je crois bien que je vais le prendre à sa sortie celui là.
Ouais je crois bien que je vais le prendre à sa sortie celui là.
Heureusement tu t'es rattrapé avec ta deuxième phrase... :)
Ne vous inquiétez pas pour le solo, ils en sont a + de 20h de jeu avec plein de nouvelles idées excellentes.
LynnOne> AC2 pas fini? oÔ Pas compris là.