Elidjah @XRacer: C'était le bin's hier soir (il y a 1 Jour)
XRacer Je suis le seul à ne pas avoir accès à GeforceNow (code erreur: oxc192000d) (il y a 2 Jours)
Flash_Runner Vous pouvez essayer le jeu moins de 2heures sur steam et demander un remboursement. (il y a 6 Jours)
Flash_Runner @face2papalocust: J'ai vu ça, on a passé chacun la journée dessus hier ! Jss bloqué sur un boss là.. Il y a un topic dédié si jamais. Le jeu fait mal. (il y a 6 Jours)
face2papalocust J'ai lancé et beaucoup de mal à lâcher la manette. (il y a 1 Semaine)
CraCra Idem jamais accroché mais entendu dire qu'il en avait vendu un peu plus de 15 millions et qu'avec l'annonce de sortie de la suite il y a eu pas mal de nouvelles ventes (il y a 1 Semaine)
GTB @Driftwood: Je vais rien dire...je l'ai pris alors que je dois d'abord finir Rebirth -_- (mais bon j'vais quand même le lancer pour test :p). (il y a 1 Semaine)
Driftwood Il est de nouveau possible de télécharger les vidéos sur le site. Désolé pour le mois et demi de panne. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Retrouvez notre review de Rift Apart dès 16h00 aujourd'hui, mais en attendant Guilty Gear -Strive- est en vedette en home ! (il y a > 3 Mois)
Driftwood Nouveau live sur Returnal à 14h30 aujourd'hui. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Rendez-vous à 17h00 pour un direct de 40 minutes sur Returnal (il y a > 3 Mois)
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
J'ai pas les même gouts que vous ? Et Alors ?
Je lui trouve déjà bien du mérite, moi, à Cameron d'avoir réussi à étaler un scénario aussi maigre sur 2h40. Car c'est déjà une réussite en soi: avoir su me tenir en haleine alors qu'on devine toute l'histoire dès les premières minutes du film, tellement c'est cousu de fil fluorescent et tellement les personnages sont insipides.
Cela dit, pas une seconde d'ennui pour ma part, un bon gros blockbuster, avec des effets spéciaux saisissants. Mais rien de plus.
District 9 aura apporté beaucoup plus à la SF que cet Avatar.
Quant à la 3D, c'était la première et la dernière fois pour moi. Ça n'a pas rempli le rôle exhausteur que j'attendais. Au contraire, je trouve que ça réduit le champ de vision, ça ternit les couleurs, ça gâche les détails... bref, c'est amusant au Futuroscope mais au ciné je suis pas convaincu.
Bannissez moi tout ça !!!
@Candelloge: d'accord avec toi pour District 9 même s'il ne s'agit pas tout à fait du même style de SF. Pour ce qui est du confort de l'expérience en relief ça varie vraiment d'un cinéma l'autre. Apparemment Cameron aurait donné des consignes pour que l'étalonnage des couleurs tienne compte de l'assombrissement qu'induit le port des lunettes pour les copies en relief. Après si le projectionniste fait mal son boulot notamment au niveau réglage du gamma de l'image je pense que ouais, l'expérience 3D doit être un peu pénible.
Pour le Scrooge de Zemeckis, les séquences nocturnes sont, par exemple, assez pénibles à suivre en relief car vraiment trop sombres.
Les nouilles cuisent au jus de canne.
Et de mémoire Cameron n'a jamais fait un film où le scénarion dépassait le ticket de metro.
toutes les consoles se valent, maintenant parlons des jeux...
je ne suis jamais content.^^
Mais soyons clair, j'ai passé un très bon moment et je prendrai sûrement le DVD en temps voulu pour me remettre un peu dans la faune/flore de Pandora une fois encore !
Bannissez moi tout ça !!!
Bref tout ça pour dire que c'est évident, en l'état, le film ne marque pas vraiment par sa puissance dramatique. C'est du classique maitrisé. Seulement ça ne vient pas d'un scénar pourri, ça vient de son approche pour plaire au grand public. Sinon pour la 3D ca semble variable d'un ciné à l'autre. Faut faire gaffe, tous ne suivent pas les consignes de Cameron et optent pour un matos différent. Dans les effets pervers il y a notamment un léger flou, problème de luminosité et autres. Pour le champ de vision, j'ai pas compris ce que tu voulais dire :s.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
La fin a été changé pour que ce soit plus simple à comprendre pour le texan moyen, dommage,mais on est loin de cette grosse merde de V pour vendetta (le film hein, le comics est un chef d'oeuvre).
à voir.
toutes les consoles se valent, maintenant parlons des jeux...
je ne suis jamais content.^^
Ceci dit l'adaptation étant relativement fidèle, ça peut peut-être présenter un chouia d'intérêt pour ceux qui ne voudraient pas lire la BD (ils ont tort).
Les nouilles cuisent au jus de canne.
toutes les consoles se valent, maintenant parlons des jeux...
je ne suis jamais content.^^
Manque le reste. Ce qui fait la profondeur des personnages, ce qui fait leur ambiguïté, ce qui génère le malaise. (Manque aussi Tales of the Black Freighter ;)
Et l'acteur choisi pour Ozymandias est mal choisi. Bouh !
Le film reste toutefois plaisant pour celui qui a aimé la BD (et qui sait donc tout de sa complexité). Pour les autres je me demande bien ce que ça vaut.
Mon conseil donc. Lisez Watchmen (et From Hell aussi!).
Bannissez moi tout ça !!!
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Hélas l'excellente édition Delcourt n'est plus disponible ou alors à des prix indécents.
Si tu as un bon niveau en anglais je te conseille l'édition anglaise TPB (pour trade paperback) qui est trouvable sur Amazon à un prix plus que raisonnable (The Book Depository le vend neuf pour moins de 13 euros, frais de port inclus, c'est là que j'ai commandé mon exemplaire vo).
Les nouilles cuisent au jus de canne.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Dans le même temps, le film est, je pense, bien meilleur quand on a lu la BD. Car c'est une bonne recopie de la BD (on jubile de voir Rorschach et son masque "pour de vrai") mais c'est, à mon sens, un film assez moyen.
Bannissez moi tout ça !!!
Les nouilles cuisent au jus de canne.
La 3D est parfaitement maitrisée, j'en pleure d'avance de le voir en Bluray :caprice: J'ai d'ailleurs maté la pub à la télé à l'instant, et j'ai trouvé ça bien fade.
Après je ne sais pas quelle technique révolutionnaire de motion capture ils ont utilisés, mais la aussi un bon énorme a été réalisé. Que ce soit anim' ou attitude/émotions, les personnages semblent réels.
Je mettrais juste un petit bémol au début du film qui se lance bizarrement je trouve, et pour le scénar, j'm'en fou qu'il n'y au pas eu de branlette intellectuelle, je n'attendais pas ça et il faut de tout pour faire un monde.
Les 2h40 de films sont passées comme lettre à la poste, mon cerveau était déconnecté de notre monde et je buvais ce que je voyais. Pour moi, c'est donc la claque de la décennie, ni plus ni moins.
Pour ceux qui veulent y replonger/qui ont les moyens de voir, voici le trailer en 3D:
http://3dvision-blog.com/avatar-hd-movie-trailer-i...
Faites chauffer les Nvidia 3D Vision! :)
"Quand Chuck Norris plonge dans l´eau, il n'est pas mouillé, c´est l´eau qui est Chuck Norris."
Il a vraiment intérêt d'être bon cet Avatar, parce que je compte retenter le coup la semaine prochaine...... C'est peut être un signe qu'il faut voir là... je ne sais pas ? ^^"
www.sanantonio03.wordpress.com
GT : sanantonio03
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Je fais ce que je veux.....avec mes cheveux !!!
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"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Au-delà de l'ombre tutélaire du grand Jim Henson qui plane sur eux (les Maximonstres sont en grande partie l'œuvre du Jim Henson's Creature Shop), les deux films partagent une même idée de ce que doit être un spectacle destiné à un jeune public et prennent ce public-là très au sérieux... au point de lui parler de choses graves et d'instiller une certaine dose de noirceur et une tonalité mélancolique quitte à le choquer, à lui faire peur... La solitude, la mort, la quête identitaire et les choix moraux douloureux qui l'accompagne sont des thèmes qui irriguent ces deux œuvres.
Un autre point commun: leurs différents niveaux de lecture qui en font des histoires qui parlent autant (sinon plus pour ce qui est du film de Jonze, mais j'y reviendrais...) aux adultes qu'aux enfants.
Pourtant, en ce qui concerne Max et le Maximonstres sur le papier ça partait assez mal: un clippeux issu du milieu artistique new-yorkais (avec tout ce que cela suppose d'attitudes et de tics branchouilles ridicules) qui adapte un chef-d'œuvre de la littérature enfantine, un "development hell" depuis une gestation fastidieuse du projet, des choix de casting mécontentant le studio, un tournage difficile rendu plus délicat encore par des effets spéciaux capricieux jusqu'à une post-prod cauchemardesque (conflit permanent entre le réalisateur et le studio autour du montage et du ton à donner au récit, exigences de Jonze en matière d'expressivité des créatures qui donneront des cheveux blancs aux talentueux animateurs et techniciens de Framestore, et des projections tests désastreuses où les minots quitte la salle de cinéma en pleurs, terrifiés par les monstres)... La réussite du film tient carrément du miracle.
Afin d'éviter tout malentendu, il est peut-être bon de préciser un peu ce que Max et Les Maximonstres n'est pas. Le film de Jonze n'est pas un blockbuster pour enfants gavés de conneries télévisuelles, c'est un conte à hauteur de (petit) homme, un film lent et contemplatif qui ne multiplie pas vainement les péripéties et dont la force repose sur la foi en l'univers, l'histoire et les personnages qu'il dépeint. C'est bête à dire mais à l'heure où Cameron remporte haut la main son concours de bites de synthèse photoréalistes (centaines de millions de dollars aidant), Max et les Maximonstres n'est pas non plus une prouesse technologique, c'est même au contraire une œuvre qui réaffirme l'importance d'un artisanat attentif et passionné qui ne se laisse jamais déborder par son outil, si performant soit-il.
Enfin et c'est peut-être, selon le point de vue duquel on se place, la seule vraie limite du film de Jonze: Max et les Maximonstres n'est pas spécialement une œuvre pour enfant. Encore plus que le livre de Maurice Sendak, le film est une réflexion sur l'enfance, ses angoisses et ses souffrances... C'est un long métrage mélancolique peuplé de créatures tristes, tantôt chaleureuses tantôt menaçantes, éclairé par la lumière déclinante d'un soleil hivernal dont le jeune héros apprend au début du film qu'elle s'éteindra un jour à jamais. Cette lumière somptueuse qui baigne le film est l'œuvre du chef opérateur Lance Acord, collaborateur régulier de Spike Jonze mais également de Sofia Coppola.
De fait le film, c'est une certitude, pourra effrayer les spectateurs les plus jeunes. Les créatures carnivores, qui sont chacune l'incarnation d'une pulsion du jeune héros ou un double monstrueux (dans une scène graphiquement incroyable Max, avalé par KW, régresse symboliquement à l'état fœtal dans le ventre de cette mère de substitution idéalisée et monstrueuse, le temps d'un dialogue in-utérin absolument bouleversant), se rélèvent assez flippantes notamment lorsque Judith profère des menaces explicites à l'encontre de Max ou encore lorsque Carol, furieux, poursuit ce dernier après avoir acquis la certitude que le garçon était « un mauvais roi ».
Il faut à ce stade saluer le casting impeccable, avec une mention spéciale à la distribution vocale des Maximonstres - James « Soprano » Gandolfini, Forrest Whitaker, Paul Dano, Lauren Ambrose et Catherine O'Hara... - aussi bien en VO qu'en VF (Charlotte Gainsbourg, qui double KW, confère une chaleur et tendresse espiègle à la créature juste magnifique) mais surtout à Max Records qui interprète un rôle principal exigeant et porte littéralement le film sur ses jeunes épaules.
Je pourrais, je crois, continuer longtemps à énumérer les innombrables qualités qui font à mes yeux de Max et les Maximonstres un chef-d'œuvre au sens plein du terme, une adaptation intelligente d'un grand livre et un film puissant sur la fin de l'enfance et de ses illusions, mais il y a fort à parier que vous vous lasseriez avant moi. Je vais donc en terminer là, en vous disant que rarement ces derniers temps un film aura suscité en moi autant de pics d'émotions: le clash entre Max et sa mère, la découverte de l'île en compagnie de Carol, la relation entre Max et KW, Carol trouvant le message laissé par Max sur les ruines de leur cité idéale, l'adieu de Max aux Maximonstres... La dernière fois c'était pour Morse, autre très grand film sur les blessures de l'âge tendre.
Reste qu'en sortant de la projection du film je me suis souvenu d'une chose que j'avais oublié depuis la lecture, il y a très longtemps, du livre de Maurice Sendak: Max, c'était moi.
Les nouilles cuisent au jus de canne.