MadDemon @GTB: je t'en prie 🙂 (il y a 3 Heures)
GTB @MadDemon: Ah j'ignorais. Merci d'avoir prévenu ;). (il y a 1 Jour)
MadDemon @GTB: et aussi une demo du Sonic karting (il y a 1 Jour)
GTB Si jamais, il y a une démo de Little Nightmare 3 (steam, consoles) (il y a 1 Jour)
reneyvane "Dying Light : The Beast" sort aujourd'hui mais il n'y à aucun tests ? Est-ce une NDA et les tests vont paraître en cours de journée ou "la presse" va découvrir le jeu en même temps que les joueurs ? (il y a 2 Jours)
reneyvane @Soda: Un grand acteur, qui trainait pas de casserole & qui aimait la nature. Iil faut qu'il rip pour que la TV diffuse + que L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux & Les 3 Jours de Condord (il y a 4 Jours)
Driftwood Il est de nouveau possible de télécharger les vidéos sur le site. Désolé pour le mois et demi de panne. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Retrouvez notre review de Rift Apart dès 16h00 aujourd'hui, mais en attendant Guilty Gear -Strive- est en vedette en home ! (il y a > 3 Mois)
Driftwood Nouveau live sur Returnal à 14h30 aujourd'hui. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Rendez-vous à 17h00 pour un direct de 40 minutes sur Returnal (il y a > 3 Mois)
En parlant de genre mineur, je vous prépare une critique aux petits oignons de All the boys love Mandy Lane disponible depuis hier (c'est pas trop tôt!) en dvd et blu-ray chez Wild Side Vidéo.
"What remorseless emperor commands me?
I no longer govern my soul
I am completely immersed in darkness
As I turn my body away from the sun"
Sinon moi hier j'ai regardé Date Night avec ma chérie, j'ai beaucoup aimé, ubber fan de Steve Carrell de toute façon, j'ai particulièrement adoré la poursuite en voiture :D Quelques guests stars dans les second rôles, un scénario assez simple mais bien exploité, quelques bonnes rigolades et de bons dialogues, bref une bonne comédie made in US comme j'aime.
J'ai pas les même gouts que vous ? Et Alors ?
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
J'ai pas les même gouts que vous ? Et Alors ?
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Perso salo m'a amusé plus que choqué, cannibal holocauts j'ai trouvé ça nul même dans le contexte de l'époque(à 13 ans comme maintenant), il ne suffit pas de tuer un opossum et une tortue pour faire "réaliste" et le 3eme j'ai pas vu (mais je vais rattraper ça).
@gtb: la colline a des yeux c'était bien naze aussi, pire que la derniere maison sur la gauche.
toutes les consoles se valent, maintenant parlons des jeux...
je ne suis jamais content.^^
Et puis la La Colline ... n'est pas naze. Sa suite l'est! Ou Wrong Turn 2. En France, c'est un genre où l'on est particulièrement mauvais. Du coup j'ai trouvé que Vertiges s'en sortait bien ^^.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
The Legend of Mr Rager
toutes les consoles se valent, maintenant parlons des jeux...
je ne suis jamais content.^^
C'est excellent de bout en bout !
Si tu as déjà lu, lis "No country for old Men" ou "Le nouvel hollywood" de Peter Biskind, ou encore "Club Dumas - La neuvième porte", ou ou ou "Les lois de l'attraction" d'Ellis (et vois l'adaptation ciné très bonne).
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
Tiens d'ailleurs il semble qu'Aja s'est amusé à glisser des références et hommages partout dans son film. (genre Dreyfrus reprend son personnage de Jaws pour se faire bouffer bêtement au début :p)...Ou ça
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
toutes les consoles se valent, maintenant parlons des jeux...
je ne suis jamais content.^^
Perso salo m'a amusé plus que choqué, cannibal holocauts j'ai trouvé ça nul même dans le contexte de l'époque(à 13 ans comme maintenant), il ne suffit pas de tuer un opossum et une tortue pour faire "réaliste" et le 3eme j'ai pas vu (mais je vais rattraper ça).
@gtb: la colline a des yeux c'était bien naze aussi, pire que la derniere maison sur la gauche.
C'est en tout cas un film en avance sur son temps. D'ailleurs lors de la sortie du Projet Blair Witch ça m'a bien fait rire d'entendre une partie de la critique et du public se toucher la nouille sur l'escroquerie du duo Myrick et Sanchez. Comme si les mecs avaient inventé un truc incroyable. -_-
"What remorseless emperor commands me?
I no longer govern my soul
I am completely immersed in darkness
As I turn my body away from the sun"
toutes les consoles se valent, maintenant parlons des jeux...
je ne suis jamais content.^^
C'est le meilleur "shocker" des 25 dernieres années.
Mais c'est clair que ça ne plaira pas à tout le monde.
Après c'est mes goûts..et mes goûts sont parfait (pour moi) puisque c'est les miens...^^
En tout cas c'est bien mieux que Predators...hahaha
tiamat2san.skyblog.com
"i'm the devil and i'm here to do the devil's work!"
"Are you ready for me ?....so step the fuck up ,it's time to die!"
Y'a-t-il encore un intérêt à tourner un néo-slasher de nos jours, plus de dix ans après le premier Scream?
Si l'on considère que l'engouement suscité par cette sous-catégorie de films d'horreur s'est très largement étiolée au cours de la précédente décennie et que la qualité moyenne des productions qu'elle a engendré est suffisamment basse pour que le genre sombre définitivement dans l'oubli duquel il n'aurait légitimement jamais dû émerger, alors on est en droit de se poser la question.
Et puis qu'est-ce en définitive qu'un néo-slasher? Un genre pour réalisateur cinéphile (ne rigolez pas, les deux se conjuguent moins souvent que vous ne le pensez), qui se croit plus malin que le public et qui n'accorde plus assez de foi dans les mécanismes du film horreur pour lui appliquer autre chose qu'une lecture cynique. Un genre dont le modèle est, dans le meilleur des cas le Halloween de John Carpenter (modèle à la cheville duquel aucun néo-slasher n'est arrivé... peut-être parce que, contrairement aux petits malins qui ont sévi dans le genre, Carpenter lui, il y croyait) et dans le pire des cas n'importe quel Vendredi 13. Un genre assez souvent réactionnaire (un héritage des Vendredi 13 justement), stigmatisant une jeunesse stéréotypée qui ne pense qu'à baiser, boire, fumer des oinjs et écouter du rock Fm.
Pourtant... L'intérêt de tourner un néo-slasher de nos jours peut-être le même que celui de tourner un film comme Amer 35 ans après Profondo Rosso: proposer un regard neuf sur un genre tombé totalement en désuétude et ne se conjugant plus qu'au passé, l'infuser de références inhabituelles et pourtant évidentes, réinvestir ses mécanismes avec une foi renouvelée pour lui faire trouver une nouvelle dynamique.
C'est ce qu'ont fait Hélène Cattet et Bruno Forzani avec Amer et le giallo.
C'est ce que fait Jonathan Levine avec All the boys love Mandy Lane et le néo-slasher.
Mandy Lane est belle, une beauté pure et troublante, objet de toutes les convoitises. Tous les garçons veulent la posséder. Les filles la jalousent ou la désirent sans se l'avouer. Tandis que la fin de l'année scolaire approche ses camarades manoeuvrent en secret afin de la persuader de venir passer un week-end dans un ranch. Une fois sur place, sexe drogue et alcool sont au programme. Pour les garçons du groupe c'est l'occasion de passer un peu de temps avec Mandy et qui sait, peut-être parvenir à seduire la belle blonde. L'irruption d'un mystérieux rival qui compte bien s'occuper de la concurrence va brutalement changer la donne...
Chut! Pas un mot de plus sur l'histoire de ce slasher pas tout à fait comme les autres...
Jonathan Levine réalise ici un film étrange dont la mécanique interne emprunte autant à Virgin Suicides qu'à Scream. De là viendra probablement la légitime déception que pourront éprouver certains spectateurs s'attendant à voir un néo-slasher conventionnel. Si Levine respecte dans les grandes lignes le cahier des charges du genre (personnages archétypaux, scènes de meutres sanglantes et stylisées, rebondissement final, travail sur la gestion de l'espace et du rythme pour engendrer le suspense...) il l'emploie souvent de façon déceptive préférant instaurer grâce à un travail minutieux sur la direction d'acteurs et la mise en scène une atmophère trouble, cotonneuse, traduisant un malaise latent (celui de l'héroïne, du spectateur, des autres personnages...). De fait, et malgré son appartenance à un genre populaire bien codifié, c'est à un courant du cinéma indépendant américain qui chronique le malaise adolescent que l'on pense en voyant ce film, peut-être plus qu'à Urban Legend et consorts. Les films de Larry Clark, Gus Van Sant et Sofia Coppola donc. Des références que Jonathan Levine cite comme importantes pour son long métrage.
On retrouve notamment en terme d'esthétique un goût commum chez ces réalisateurs pour une photographie privilégiant la lumière naturelle et les plans rapprochés, à fleur de peau, sur leurs personnages. A cette différence près que Levine lui l'utilise pour créer un malaise. Il filme Mandy Lane en la détaillant, en la dévisageant, ramenant ainsi le regard du spectateur au niveau de celui des autres personnages: celui d'un désir qui réifie l'héroïne. Le film est, par-ailleurs, porté par une bande son indé épatante qui renforce son atmosphère mélancolique, douce-amère.
All the boys love Mandy Lane est, à plus d'un titre, un film post Columbine. En ce sens le twist final, s'il fait partie des attendus du genre néo-slasher, est ici employé moins pour épater la galerie et comme moyen qu'aurait le réalisateur de nous dire « Je vous ai bien eu! Vous vous y attendiez pas à celle-là, hein? » que comme un puissant révélateur de la logique interne du récit et une confirmation de ce que le film et son personnage principal nous murmurent depuis le début sans que nous ne voulions vraiment l'entendre.
Sous ses dehors de divertissement pop-corn (ce qu'il est aussi... inutile de se voiler la face), All the boys love Mandy Lane est un film à la fois beau et brutal sur l'adolescence vue comme un âge cruel où le regard des autres marginalise plus facilement qu'il n'intègre. Et c'est, à ce jour, le meilleur néo-slasher qu'il m'ait été donné de voir... loin devant le premier Scream pourtant unanimement considéré comme la référence de ce sous-genre.
"What remorseless emperor commands me?
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edit: ah ok c'est un direct to dvd. Et effectivement l'emballage ne montre qu'un teen horror. La Bande annonce montre quelque chose d'un peu différent, mais elle est plutôt ratée :/. Bref je te fais confiance, je vais y jeter un oeil ^^.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Le pauvre Pinkman qui fait un long, bien long post, pour une chose si médiocre (pas de Low Kick, dedans), et qui se fait démolir l'air de rien par GTB... ^^
Une revanche de maitre, dis-je ! :classe:
@Hey, Pinkman !
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
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"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
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"Zoey ?"
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
Vous vous sentez assez fort dans les yeux pour tenir 2 heures ? Vraiment ?
Voyez donc ces deux vrais et médiocres longs métrages, pour le cinéma, eux, j’ai nommé :
Street Of Blood (Une merde movie), avec Val Kylmer (on se demande ce qu’il fait là), Sharon Stone (Faut bien payer ses onéreux soins de beautés parce qu’elle le vaut bien) et 50 Cents (Ouais.. bon.. il a une excuse, c’est un rappeur :Zemmour: ).
Et Cops Out (Un Aure Movie), avec Bruce Willis (savait-il ce pourquoi il s’engageait ? Lit-il ses contrats), et un acteur noir insupportable (Oui, il restera un sinistre inconnu, tout le monde parlera de lui en disant : "Tu sais, cet acteur noir au rôle insupportable là ? Tu vois ?" )
Voilà, Pick', ce que c’est que du vrai mauvais conseil de qualité, avec des perles qualitativement plus mauvaises que ton truc médiocre Direct –To-Video (Humpf, même pas dans la même catégorie), prends-en de la (mauvaise) graine ! Amateur ! :Crazy:
ps:! Dazman, ces films sont pour toi !! :p
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
-Nine Dead: 9 personnes enfermées dans une pièce, qui doivent découvrir quel est le lien qui les unit, un tueur psychopathe s'occupant d'en exécuter un toutes les dix minutes.
-Rovdyr(Manhunt): un groupe d'ado poursuivit par des tueurs sanguinaires dans une forêt d'Europe de l'est (je crois^^).
-Night Stag: un groupe de jeunes adultes se perdent dans un tunnel de métro et sont poursuivit par des tueurs sanguinaires.
-Eden Lake: un couple qui passe le Week-End au bord d'un lac, voit ses petits accrochages avec un groupe de jeunes salement dégénérer.
-Hell Ride: Un film bourré de testostérone, soutenu de loin par Tarantino et avec tous ses acteurs fétiches (Michael Madsen, Larry Bishop, Dennis Hopper, David Carradine....). Une histoire de gangs de motards qui s'entretuent et qui rencontrent plein de jeunes filles très distinguées, avec des dialogues aux ptits oignons.
Enfin bref, des films d'hommes quoi! :D
PS: R'ah les joies de la location et des promos dans les grandes surfaces (2achetés = 2 offerts), par contre vlà les éditons sans bonus et parfois sans options de langues/sous-titres!
"Zoey ?"
edit: ah ok c'est un direct to dvd.
D'autant plus dommage quand on voit les films d'horreur merdiques qui ont droit de cité sur les écrans français. Le film a, par ailleurs, reçu un bon accueil en 2006 au Festival International du Film de Toronto et dans de nombreux autres festivals dont celui de Gérardmer en 2008.
@augur: Eden Lake et Hell Ride, ouais ça c'est du bon mauvais bis bien nazebroque. Surtout le deuxième qui est quand même bien rigolo. Le premier est juste mauvais en fait.
"What remorseless emperor commands me?
I no longer govern my soul
I am completely immersed in darkness
As I turn my body away from the sun"