Musimon
Musimon
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Blabla

GTB - Acapello
GTB
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La vache ce grand écart avec son précédent, La peau que j'habite.
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"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."

Aure04 - Echangiste
Aure04
Inscrit depuis 6564 Jours
Bon bah troisième visionnage, et c'est toujours plus fort (et encore plus au ciné, raaah les battements de coeur). Je vais aller jouer à la baballe virtuelle et je reviendrai vous poster le pourquoi du comment ce film me bouleverse à ce point, quand les émotions seront retombées.
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I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams

sebastin
sebastin
Inscrit depuis 7592 Jours
Vu "les bêtes du sud sauvage" et oui, le film mérite bien son hype, c'est magnifique. Extrêmement original et pourtant accessible.
Dans un autre genre, vu "the hobbit", j'en attendais rien... j'ai trouvé ça top. Deux-trois longueurs mais quelques grands moments épiques.
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Ceci n'est pas une signature.

Aure04 - Echangiste
Aure04
Inscrit depuis 6564 Jours
Je savais bien que je n'étais pas fou ! :D
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I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams

Dazman - Stade Falloir
Dazman
Inscrit depuis 7217 Jours
Posté par Aure04
Ouais, je trouve que Rebelle n'apporte rien
Sacrilège
C'est juste un des meilleurs Pixar, je vais l'avoir en bluray 3D pour Noel.
Les dessins sont magnifiques, les personnages attachants et on passe du rire aux larmes facilement.
Juste Pixar quoi, les maitres, rien à redire !
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Rumplestiltskin : "Every magic comes with a price"

Regarde
Regarde
Inscrit depuis 7256 Jours
Posté par Aure04
Ouais, je trouve que Le Rebelle n'apporte rien.
Sacrilege
C"est juste une des meilleurs série tv de tous les temps je vais l'avoir en coffret vhs 2D pour Shabbat.
Les décors du Dakota sont magnifiques, les personnages attachants (bobby sixkiller ) et on passe du rire aux larmes facilement.
Juste Lorenzo Lamas quoi, le maître, rien a redire!
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Il piquait des euros dans mon sac...

bosozoku - Viré pour faute grave
bosozoku
Inscrit depuis 7777 Jours
... :D
Chuck Norris est quand même plus fort !
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"Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant." Elbert Hubbard

www.clicanimaux.com

GTB - Acapello
GTB
Inscrit depuis 6653 Jours
Posté par Dazman
Sacrilège que ce Rebelle
C'est juste un des meilleurs Pixar chapeauté par Disney, je vais l'avoir en bluray 3D pour Noel.
Les dessins sont magnifiques, les personnages attachants et on passe du rire aux larmes facilement.
Mais juste Pixar, les maitres, sans Disney c'eusse été tellement meilleur!
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"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."

Aure04 - Echangiste
Aure04
Inscrit depuis 6564 Jours
Voici donc, finalement, mon retour définitif sur Les Bêtes du Sud Sauvage. Je ne vais rien dévoiler, mais si après ça vous n'êtes toujours pas convaincus alors je garderais cette merveille pour moi tout seul.

Rise & Fall



D’abord il faut savoir que le thème principal du film est la dualité. Celle que l’on retrouve entre un bout de chou dont le coeur devient plus fort au fil du film, et son père qui lui est déjà une vraie bête qui décline doucement sous les yeux de sa fille. Ce n’est pas tout car cette dualité se retrouve également entre l’espèce humaine et les aurochs, le bassin et la ville... Tout cela s’entrechoque au coeur d’un ouragan qui va changer la donne définitivement pour les habitants du bassin. De la dualité père/fille naît une relation très forte, entre colère, tristesse et sourires, on a aucun mal à croire en la sincérité des sentiments affichés. C’est clairement pour moi la clé du film, quand on s’éloigne du duo on espère simplement le retrouver très vite. Une scène m’a particulièrement touché car toutes les émotions imaginables y passent, mais je ne vais pas vous la raconter, pas ce soir.

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Benh le bricoleur



Tout au long du film on fait face à des décors surprenants. Du pick-up transformé en bateau, aux différentes constructions de logements, on se rend vite compte qu’on ne verra jamais certains plans ailleurs. Benh Zeitlin arrive à recréer le chaos d’une tempête avec des moyens ridicules. Pourtant on sent rarement le manque d’argent, c’est bien plus beau que bon nombre de gros films. La musique apportant un gros plus, rendant le tout extraordinaire.

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Ciné-réalité



Si quelque chose m’a toujours manqué dans les films de ces dernières années, c’est la sincérité du jeu d’acteur. En fait il n’y a que l’oeuvre de David Simon qui m’ait réellement permis de croire en ses personnages. Ici de la même manière, en engageant des comédiens débutants de la région, le réalisateur crée un monde authentique. Je retrouve chez Hushpuppy des situations émotionnelles que j’ai pu observer clairement chez ma propre soeur au même âge. Et le père offre une performance qui permet de mettre en valeur cette force de caractère. Il n’y aurait pas de Hushpuppy, sans Wink, et leur sincérité dans la performance d’acteur est remarquable.

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Bad Piggies



Parlons rapidement du côté fantastique du film. Pour moi ce n’est qu’une métaphore qui approche en toile de fond, mais visuellement les aurochs impressionnent. Difficile de croire que ce ne sont en réalité que des minuscules petits cochons noirs déguisés qui courent devant un fond vert. Je vous laisse saisir par vous-même le message véhiculé par ces gros bestiaux.

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Mais techniquement ça donne quoi ?



Sur le plan de la réalisation on peut dire que Benh Zeitlin assure, il a placé sa caméra au coeur de l’action, à hauteur d’enfant. Souvent la caméra agit à contretemps, avec un focus à retardement du plus bel effet ou des mouvements tardifs vers l’action créant une sorte de chaos. On y est. Les pieds dans la boue, à suivre Hushpuppy dans ses aventures. Que dire de la bande-son, si ce n’est qu’elle tourne en boucle chez moi depuis sa sortie US. Après je ne suis pas un pro, mais sur ce point aucun détail technique ne vous empêchera d'apprécier le film et sa direction artistique hors du commun.

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You’re my friend, kind of.



En bref, j’ai été bluffé comme jamais le cinéma ne m’a bluffé, j’ai vécu ce film comme un alignement de planètes qui n’arriverait qu’une fois dans une vie. Je suis sur que certains passeront totalement à côté du film. Simplement quelqu’un qui comme moi aime les choses réelles et sincères, ne peut qu’être touché par l’oeuvre offerte par Benh Zeitlin. Pourtant je ne vais pas attendre son prochain film avec impatience, ni les prochaines performances de Dwight Henry ou Quvenzhané Wallis. Je crois qu’une telle rencontre n’arrive qu’une fois (tout comme The Wire d’ailleurs), j’ai retrouvé dans ce film absolument tout ce que j’aime dans le cinéma. Les Bêtes du Sud Sauvage ne m’a pas donné envie de voir plus de films, mais au contraire j’ai maintenant cette curieuse envie de vouloir en faire.

-----


Voilà, difficile de raconter un coup de coeur sans ne rien dévoiler. J’espère avoir séduit les indécis.

Ps : La comparaison avec The Hobbit étant ridicule, il faut plutôt voir ce film comme un Little Miss Sunshine dans le Bayou et sous la tempête, sans les acteurs de séries, avec une sincérité plus grande encore, une relation familiale réduite au père et à la fille, et une part fantastique non négligeable.

Ps 2 : La salle était à moitié remplie, les chuchotements se sont arrêtés rapidement, je n’ai pas bouffé un seul grain de pop-corn tant j’ai été à nouveau subjugué... À la fin personne n’a voulu quitter la salle, de peur peut-être de montrer ses yeux humides à la lumière, ou simplement pour souffler après cette expérience sensorielle éreintante.

Je n'oublierai jamais la voix-off de Hushpuppy qui nous guide tout au long du film.

The whole universe depends on everything fitting together just right. If one piece busts, even the smallest piece... the whole universe will get busted.

-----

Et en bonus, une critique qui donne à peu prêt mon sentiment sur ce film avec un peu plus de savoir faire. :D
Film aux multiples récompenses (huit pour être précis dont notamment la Caméra d’Or à Cannes, le Grand Prix de Deauville, le Grand Prix du Jury de Sundance, le Prix Sutherland du meilleur premier film au London Film Festival), Les Bêtes du sud sauvage se paye même le luxe d’avoir été conseillé par l’homme le plus puissant des États-Unis pour la deuxième fois, Barack Obama. Je ne suis pas démocrate, ni même américain mais je vais écouter son conseil…

… et j’ai bien fait. Difficile de ne pas tomber amoureux de ce film malgré ses défauts comme un rythme parfois écrasé sous la contemplation rébarbative des décors mais après réflexion, c’est vraiment le seul point négatif que je peux attacher à cette histoire magique. Malgré les dires du réalisateur Benh Zeitlin affirmant que son Les Bêtes du sud sauvage n’est pas un conte de fées, difficile de ne pas voir en ce parcours initiatique une sorte de conte sur l’enfance (et pas forcément enfantine, dans la même veine que Stand by Me). Surtout l’apparition des Aurochs, ancêtre des races actuelles de bovins et semblant être tout droit sortis d’un film d’Hayao Miyazaki rajoute encore plus de poids pour cet argument.

Toutefois, les Aurochs sont le seul élément fantastique (et ils sont très peu utilisés) mais le film comporte aussi des notions de SF car il se déroule dans un futur proche où la montée des eaux est telle que la race humaine a été obligée d’installer une énorme digue pour la contenir. Hushpuppy et son papa vivent avec quelques amis dans le Bassin, seul terre de l’autre côté de la digue survivant encore à la montée des eaux. Cette montée des eaux est due à la fonte des glaces des pôles permettant d’ajouter sur la balance le thème de l’écologie dont Miyazaki est extrêmement friand.

Pour donner vie à cette ambiance « fin du monde », Benh Zeitlin n’a pas demandé un budget énorme, ni une équipe démesurée et encore moins des effets spéciaux. Il s’est tout simplement installé dans l’État du Pélican, surnom donné à la Louisiane (aux States) pour bénéficier de décors apocalyptiques réels (pour mémoire, Katrina a fait du shopping dans le coin). Un procédé semblable à celui utilisé pour le film Monsters et faisant toujours autant de merveilles. Cela contribue beaucoup à l’ambiance presque poétique du film en voyant Dame Nature reprendre le dessus sur l’Homme. Benh Zeitlin profite aussi pour mettre sa caméra au niveau de son personnage principal et embrasser son point de vue, ce qui explique la frontière entre le réel et l’imaginaire parfois trouble.

Au demeurant, le film fonctionne si bien, c’est surtout grâce à la performance exceptionnelle de Quvenzhané Wallis. Benh Zeitlin savait que tout le film reposait sur le personnage de la jeune Hushpuppy. Ce n’est pas pour rien qu’il a auditionné 4000 petites filles avant de trouver Quvenzhané dans l’école primaire du quartier. Un drôle de hasard aussi pour le rôle important du père incarné par Dwight Henry qui travaillait dans une boulangerie à côté des bureaux de la production. Malgré son inexpérience, la jeune Quvenzhané est tout simplement la révélation de Les Bêtes du sud sauvage. Le film ne quittant jamais son personnage, il fallait donc une actrice capable de tenir la cadence tout le long et en finissant le visionnage, on ne peut que retirer notre chapeau. Ce constat s’applique aussi au père, toujours juste dans sa prestation passant avec brio du croque-mitaine au père.

Avant d’être un film fantastique voir même de SF, le premier long-métrage de Benh Zeitlin est surtout un drame reposant sur la relation conflictuelle entre la jeune Hushpuppy et son père dans un environnement difficile. Évoluant au fil du film, cette relation « Je t’aime moi non plus » offre des très beaux moments (la réplique « Not my Daddy. » déchire le cœur) et surtout un final très émouvant. Au niveau de la réalisation, Benh Zeitlin offre une maîtrise inattendue, surtout grâce à une superbe photographie (principalement sur le générique d’ouverture), et beaucoup de charme pour ce cousin éloigné de Max et les Maximonstres. Nul doute qu’on va revoir très vite ce réalisateur, en espérant qu’il confirme ce succès.
Voilou ! Je vous laisse tranquille maintenant ! :p
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I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams

Zorgalouf
Zorgalouf
Inscrit depuis 7236 Jours
Pfff, qu'est-ce qu'on s'est fait chier devant Rebelle, il se passe pas grand chose, c'est convenu, très convenu, bref : bof quoi.
Comme dit ci-dessus, à comparer à How to train your dragon, ya pas photo! En plus, le dragon, on dirait un gros chat ^^
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"A bloc, à toc, à fond d'cinq, à fond d'six"
Kiemsa

Aure04 - Echangiste
Aure04
Inscrit depuis 6564 Jours
Posté par Zorgalouf
En plus, le dragon, on dirait un gros chat ^^
Ouaaiiiss ! :3
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I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams

mungen
mungen
Inscrit depuis 6787 Jours
Est ce que certains ont déjà vu "The Hobbit" en 3D?
Je préfère généralement aller voit les films en numérique, mais en 2D, la 3D me paraissant peu confortable.. Mais si P. Jackson l'a bien utilisée, je me dis que cela peut valoir le coup.
Des avis?
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Choisissant le Vide comme Voie, vous verrez la Voie dans le Vide

Regarde
Regarde
Inscrit depuis 7256 Jours
moi j'ai toujours craché sur la 3d jusqu'au jour où j'ai vu Prometheus en imax 3D. J'ai trouvé ça sidérant ! j’étais scotché. C’était pas un effet 3D fête foraine avec des trucs qui sortaient de l’écran. J’étais plongé dans le film il y avait un vrai volume un sentiment de sentir de façon organique ce qu'il y avait a l’écran. Ca faisait hyper naturel.

Bon sang juste un simple plan du visage de Noomi Rapace en gros plan allongé j'avais l'impression qu'elle était devant moi ^^
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Il piquait des euros dans mon sac...

sebastin
sebastin
Inscrit depuis 7592 Jours
J'ai vu "the hobbit" en 3d 48i/s. C'est spectaculaire mais je reste très sceptique sur le 3D. Ca me fait mal aux yeux et au bout de 30 minutes, j'oublie l'effet et je ne vois plus trop l’intérêt. Le 48i/s, c'est assez spécial, ça donne un effet presque vidéo. Pas sûr que le public soit encore prêt à cet effet.
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Ceci n'est pas une signature.

Pickman31
Pickman31
Inscrit depuis 6941 Jours
Posté par Aure04
[...] Parlons rapidement du côté fantastique du film. Pour moi ce n’est qu’une métaphore qui approche en toile de fond, mais visuellement les aurochs impressionnent. Difficile de croire que ce ne sont en réalité que des minuscules petits cochons noirs déguisés qui courent devant un fond vert. Je vous laisse saisir par vous-même le message véhiculé par ces gros bestiaux [...]
Ton analyse est très intéressante et rejoint la mienne sur pas mal de points.

Une nuance toutefois: la dimension "fantastique" que tu évoques. En réalité, il n'y a pas de fantastique au sens todorovien du terme dans le film de Benh Zeitlin. Il faut plutôt parler de registre merveilleux et je dirais même de "réalisme merveilleux" qui est, à mon sens, le registre le plus délicat à manier (avec celui du fantastique pur justement) dans le sens où celui-ci est dépouillé de l'aspect "décoratif" de la fantasy telle qu'on la conçoit habituellement (pour voir un exemple de merveilleux décoratif en ce moment en salle c'est très simple: il suffit de prendre un ticket pour The Hobbit). Dans Beasts Of The Southern Wild, le registre merveilleux est casse-gueule parce qu'il repose sur un équilibre très délicat à tenir: trop appuyé et la dimension symbolique plombe le film ; trop ténu et la magie propre au conte disparaît.

Voilà la raison pour laquelle, personnellement, je ne passerai pas rapidement sur cet aspect: car il me semble être une des plus grandes réussites du film de Zeitlin. Et il ne repose pas uniquement sur la représentation des aurochs (qui n'en constituent que la partie la plus spectaculaire). Il s'agit d'un récit initiatique et d'un conte qui travaille au corps la plupart des thèmes et des figures de style du genre. En cela, c'est bien plus qu'une "simple" métaphore ou un symbole (qui sont les figures de style matricielles du fantastique et du merveilleux) puisque reposant sur le principe d'un décalage, d'une rupture par rapport au sens initial d'une chose. Or cette notion de rupture (et la dualité qu'elle implique) est au centre même du film.

Voilà. Sinon je m'attendais à prendre une baffe et c'est un uppercut émotionnel et esthétique (le film est visuellement renversant) que j'ai reçu. Et puis un film dont l'un des aspects féériques tient à 4 cochons habillés d'une paillasse et filmés en perspective forcée dans des maquettes, ça fait du bien car ça renoue l'air de rien avec le cinéma de George Méliès, c'est à dire avec l'origine de la magie du cinématographe.

Le film de l'année... et bien plus.
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La vie n'est pas une punition.

Aure04 - Echangiste
Aure04
Inscrit depuis 6564 Jours
Je suis tout à fait d'accord avec toi, j'utilise les mots fantastique/métaphore surtout par manque de vocabulaire mais maintenant avec tout ce que tu viens de raconter je saurais un peu mieux définir le film. :D Je ne voulais pas vraiment en dire plus sur ce point car je pense qu'il est bon de se faire son propre avis sur cette partie du film, qui reste très mystérieuse. Je me suis jeté sur les interviews de Benh Zeitlin après le film pour en savoir plus et j'ai trouvé celle ci http://newswatch.nationalgeographic.com/2012/07/17/the-story-behind-beasts-of-the-southern-wild/ Mais avant de la lire je pense qu'il faut faire son propre cheminement de pensée et essayer de comprendre ce que ça représente pour notre propre personne.

Je suis quand même bien content de pas être le seul à avoir pris une grosse baffe !
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I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams

sebastin
sebastin
Inscrit depuis 7592 Jours
Ce que je trouve impressionnant dans le film c'est que c'est peut-être la première fois que je vois aussi bien retranscrite la vision d'un enfant sur le monde qui l'entoure. Un peu comme "l'attrape coeur" en littérature (même si là, c'était un ado). Hushpuppy vit dans la misère la plus totale et pourtant, tout semble magique et merveilleux. C'est clairement un film très fort. Je suis curieux de voir ce que fera le réalisateur après. Par contre, en France le film se plante complètement au box office, c'est bien dommage.
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Ceci n'est pas une signature.

Aure04 - Echangiste
Aure04
Inscrit depuis 6564 Jours
Oui et puis les réactions du père sont complètement réalistes, on sent qu'il ne veut pas que sa fille sente qu'il a peur... Il est maladroit et puis il y'a cette scène quand l'eau est redescendue, qu'ils retrouvent leur maison, se disputent, se mettent à rire et puis il tombe au sol et Hushpuppy qui dit : "Man, you think I don't know. You think I can't see" J'ai juste été submergé par les émotions !
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I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams

Pickman31
Pickman31
Inscrit depuis 6941 Jours
Le travail de mise en scène de Benh Zeitlin est remarquable, la façon qu'il a de filmer à hauteur d'enfant et la justice que sa mise en image rend au jeu de ses comédiens, c'est quelque chose de tellement rare. Rien dans ce film ne semble forcé ou formaté (et surtout pas la description de l'âpre et néanmoins tendre relation père/fille, bouleversante de vérité) et pourtant on sent que le travail abattu en terme de réalisation et de direction d'acteurs est énorme. Quvenzhané Wallis soutient les gros plans sur elle avec une intensité et une justesse comme peu de comédiens professionnels le peuvent sans basculer dans l'exagération. C'est dingue.

Je suis également très curieux de voir ce que va donner la suite de la carrière du réalisateur. Faire un premier film aussi fort, aussi abouti, c'est presque une malédiction tant les attentes sont grandes pour la suite.
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La vie n'est pas une punition.

Aure04 - Echangiste
Aure04
Inscrit depuis 6564 Jours
Posté par Pickman31
Je suis également très curieux de voir ce que va donner la suite de la carrière du réalisateur. Faire un premier film aussi fort, aussi abouti, c'est presque une malédiction tant les attentes sont grandes pour la suite.
Oui je me demande s'il est possible de réaliser à nouveau une telle prouesse. On croirait au coup de chance en voyant ce film, un alignement de planètes parfait comme je disais. :D Mais je veux bien croire et j'espère que c'est tout simplement le talent qui a parlé.
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I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams

xdr - Coop biatch
xdr
Inscrit depuis 7649 Jours
Certains s'en sont bien tiré après un premier chef d'oeuvre: Aronofsky, Lynch... Par contre d'autres se sont planté comme Natali par exemple. Bon ok Cube n'était pas un chef d'oeuvre, mais c'était un truc qui tapait bien quand même. ^^
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Mon VRAI blog JV : http://vgxdr.blogspot.com/

Luckiest
Luckiest
Inscrit depuis 7176 Jours
Bonsoir !
Un petit film qui donne la pêche et le sourire à conseiller ? =)
Et ah oui, les bêtes sauvages du Sud , je confirme : à voir !
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Aure04 - Echangiste
Aure04
Inscrit depuis 6564 Jours
Ted est sympa pour rire un peu. ;)

Safety Not Guaranteed aussi dans un genre moins potache.
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I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams

Aure04 - Echangiste
Aure04
Inscrit depuis 6564 Jours
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I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams

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