Driftwood @face2papalocust: pas plus que d'habitude si tu veux mon avis. ;) (il y a 12 Heures)
face2papalocust Mon petit doigt me dit qu'on va se bouffer un paquet de jeu fini au pipi à la fin de l'année (il y a 1 Jour)
reneyvane @Blackninja: A l'instar de sortir au moins un dernier Zelda en fin de vie d'une console pour sortir au début son remaster, ils vont sortir GTA6, 5 ans & 6 mois après les sorties des PS5 & XboxSeries. (il y a 2 Jours)
CraCra @Blackninja: limite mieux comme ca, je trouve la date pas si mal. PAr contre ca va faire mal pour les exam de juin ^^ (il y a 2 Jours)
GTB @Blackninja: Je vous demande de vous arrêter ! :p (il y a 2 Jours)
Blackninja @GTB: et Expédition 33 à toute ses chances pour le GOTY 😎 (il y a 2 Jours)
GTB @Blackninja: Maintenant que c'est dit, ça va être le floriilège d'annonces de dates pour les autres. (il y a 2 Jours)
Driftwood Il est de nouveau possible de télécharger les vidéos sur le site. Désolé pour le mois et demi de panne. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Retrouvez notre review de Rift Apart dès 16h00 aujourd'hui, mais en attendant Guilty Gear -Strive- est en vedette en home ! (il y a > 3 Mois)
Driftwood Nouveau live sur Returnal à 14h30 aujourd'hui. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Rendez-vous à 17h00 pour un direct de 40 minutes sur Returnal (il y a > 3 Mois)
Je trouve aussi que c'est une bonne chose ce report, même si apparemment le tournage débutera(it) quand même cette année. Par contre on croule sous les sorties de films héroïques, ça va vite être gavant je crois.
Ben moi ça me donne foutrement envie quand même et pourtant concernant cette licence je suis un puriste mais le casting, voir ce qu'ils vont lui donner comme force et comment elle sera retranscrite à l'écran et le casting, j'ai hâte.
"Les babines débiles du babouin nubile"
C'est du lourd ici !!
Ne jouer que à GTA Online, en attendant le reste.
Riddick. Pas une tuerie, quelques erreurs bien grossières, des dialogues pas toujours bien vu mais globalement j'ai pas boudé mon plaisir. Ca reste singulier, j'ai bien aimé la structure en 3 actes, le premier est même vachement sympa. J'ai tiqué sur quelques trucs par rapport à l'univers Riddick. Sans ses lunettes, il devrait être quasi-aveuglé par le soleil de cette planète. Et la fin cinéma avec sa touche disney est un peu HS. Heureusement la fin director's cut nous laisse pas sur cette fausse note. Bien partant pour une suite en tout cas.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
The Innkeepers est un film d'une rare finesse et subtilité qui joue avant tout sur les attentes et la frustration du spectateur (la résolution du suspense est sans cesse retardée). En réalisateur intelligent Ti West sait pertinemment que l'on ne peut pas lutter contre l'imagination du spectateur et qu'il faut donc l'exploiter au maximum pour bâtir le suspense et l'angoisse. Dans The Innkeepers c'est l'imagination du spectateur qui alimente sa propre montée en tension (voir la scène d'enregistrement dans le sous-sol avec Claire et Luke).
Pour moi ce film (au même titre que House of The Devil, Lords of Salem et Pontipool) constitue la noblesse même du genre fantastique. Un numéro d'équilibriste total qui préserve jusqu'à son plan final la fragilité d'un registre qui ne peut être qu'un registre transitoire (par définition le fantastique cesse d'être dès lors que le rationnel ou le merveilleux reprennent leurs droits). L’extraordinaire qualité du film c'est que ce basculement inévitable s'opère tout en délicatesse là où la plupart des autres films l'organisent de façon tapageuse et vulgaire, dans l'effet choc et "m'as-tu-vu". La mise en scène de Ti West a l'élégance de laisser croire au spectateur qu'il est responsable de ce basculement, qu'il s'agit d'un effet de son libre arbitre, de sa croyance. Ce qui n'est évidemment pas le cas comme le prouve le plan final du film.
Pour ce qui est du pétage de tympans j'avoue ne pas comprendre. Le mixage sonore DTS du film (je parle de la version blu-ray) est un modèle d'équilibre et d’honnêteté selon moi avec très peu d'effets de variation de volume. Et ceux qui restent ne sont jamais gratuits ou pour "faire genre".
"Je ne sais qu'une chose, c'est que je ne sais rien" Socrate
Pour le pétage de tympans je pense surtout à un seul moment, quand Ti West s'amuse du jumpscare avec la vidéo de la chaise au début. En général je mets mes films à un niveau sonore plutôt haut. Là en plus le film avait l'air justement parfait là dessus et calme, du coup j'avais un bon niveau sonore ^^'.
Sinon est-ce que t'as vu le dernier Vincenzo Natali? Haunter. En général le mec a un concept sympa; mais malheureusement pas toujours bien appliqué en général. Splice m'a même assez ennuyé.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
C'est moyen, un mix entre un our sans fin et le sixième sens.
Mais j'aime bien l'acteur canadien qui fait le mechant, depuis l'époque de la série l'heure du crime.
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Je ne comprends pas pourquoi tu écris que Ti West fait faire des choses débiles à ses personnages à la fin. En ce qui concerne Claire elle est seule, elle est flippée, elle entend du bruit, pense qu'il s'agit de Lee (l'actrice) la cherche pour la prévenir qu'il faut quitter l'hôtel. Sa réaction est pilotée par l'angoisse. La transition dans le sous-sol c'est le fantôme du vieux qui la fournit et je la trouve cohérente. N'oublions pas que tout le récit est abordé du point de vue de Claire (sauf après sa mort): le film adopte son point de vue de personnage convaincu que le Yankee Pedlar est bien hanté (Luke, lui, ne verra jamais rien de ces "manifestations" même lors de la scène de l'enregistrement, et restera donc dans l'incrédulité).
Le témoignage de Luke au flic est là pour maintenir le doute: il essayait de forcer la porte pour secourir Claire. Ce que, prise de panique et victime de son imagination, elle a interprété comme une attaque des esprits de Madeline et de son amant. Engendrant une crise d’asthme mortelle.
L'astuce est que le doute plane toujours sur les manifestations surnaturelles dans le film puisqu'on sait que le point de vue de Claire (que le réalisateur adopte de façon quasi permanente) qui "veut croire" que tout cela est réel, est sujet à caution. Peut-on adopter la croyance d'un personnage dont l'imagination cavale en permanence?
C'est là que le plan final intervient pour apporter une réponse via "l'apparition subliminale" dans la chambre et opérer le basculement vers l'explication surnaturelle (l'hôtel est bel et bien hanté). Cette fin éclaire une autre séquence en apparence anodine: plus tôt dans le film, l'actrice informe Claire qu'il y a 3 fantômes. On sait que 2 d'entre eux sont Madeline et son vieil amant. En revanche on ne comprend qu'à la fin que le 3ème esprit est en fait celui de Claire. Ce que voit le personnage de Lee c'est l'avenir et donc le destin tragique de Claire.
Dans le film il y a un parallèle saisissant entre la position du spectateur et ce que vit Claire: la croyance de Claire constitue le terreau fertile sur laquelle l'imagination du spectateur alimente sa propre angoisse quand bien même ce dernier sait qu'il doit douter du point de vue de l'héroine. Jusqu'à la fin on pense que c'est l'imagination du personnage principal qui lui et qui nous joue des tours: l'imaginaire du personnage contamine le spectateur.
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Bref c'est le seul moment du film où je n'ai pas suivi le personnage, où sa réaction ne colle ni à sa psychologie ni aux évènements. Ça me rappelle le sketch de Bigard sur les films d'horreur. Tiens; j'ai entendu un bruit au grenier et un autre à la cave, on va faire deux groupes de deux. Il y a déjà eut 8 morts!! Vous ferez des groupes de deux un autre jour!
Sinon j'avais bien compris l'idée pour le jumpscare ^^; je me suis même bien marré devant cette critique de l'épouvante d'aujourd'hui. Reste que je me serais marré pareil si le volume sonore avait été plus doux à ce moment :p. En dehors de la séquence dont nous parlons, tout le reste du film m'a fait bien plaisir et Ti West est vraiment à suivre.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Je viens de finir STAR 80 ce matin, oublions le scénar et les deux acteurs principaux et j'ai dansé avec mon fils, c'est vraiment la meilleure décénie de tous les temps niveau musique, totalement intemporel et ça m'a donné la pèche.
Sinon le film dont vous parlez m'intrigue, je vais essayer de me le choper. Dans le meme genre j'ai encore "You're next" a regarder.
Rumplestiltskin : "Every magic comes with a price"
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Cette question elle se pose dans TOUS les films d'angoisse même les plus sérieux, même les mieux scénarisés. Pourquoi le père Merrin décide-t-il de retourner seul dans la chambre de Reagan dans L'Exorciste, plutôt que d'attendre que le père Karras soit reposé et qu'ils puissent affronter ensemble le démon? Pourquoi un personnage intelligent fait-il un choix qui le condamne? Pourquoi Louis Creed, voyant ce qu'est devenu Church enterre-t-il malgré tout son fils dans le cimetière Mic-Mac? Et je peux continuer comme ça trèèèès longtemps...
Je suis surpris que tu sois dérangé par cela car c'est une chose très courante dans le cinéma d'horreur et même le cinéma tout court. C'est une convention... nécessaire la plupart du temps. Elle peut être plus ou moins bien amenée, elle peut être outrancière (ce qui n'est pas le cas ici), avoir des justifications plus ou moins évidentes. La plupart du temps elle se justifie parce qu'elle est un mécanisme du récit.
C'est un processus littéraire à la base et ça s'appelle la "suspension de l'incrédulité" nécessaire à un certain point pour qu'advienne le récit. Mais ça demande une certaine disposition d'esprit chez le lecteur ou le spectateur.
Maintenant il y a une autre explication, à mon sens plus intéressante, au "Pourquoi un personnage de film d'épouvante fait-il systématiquement des mauvais choix pour lui-même ou les autres protagonistes?". Elle est à chercher dans un autre genre littéraire dont découle le genre "horreur/angoisse": c'est le genre de la tragédie. Dans une tragédie comme dans un film d'épouvante (deux genres très "mécaniques" dans leur construction narrative), les personnages vont à la rencontre de leur funeste destin. Ils doivent mourir et ce sont leur choix humains, imparfaits qui les conduisent à leur fin. Dans la tragédie comme dans l'horreur les héros sont avant tout des victimes d'eux même. Ce sont la colère, la peur, l'obsession, la maladie, etc, qui mènent les personnages à leur perte. Dans The Innkeepers Claire est victime de son obsession pour l'histoire de l'hôtel et de sa condition physique fragile.
L'angoisse, comme la tragédie, est une Machine Infernale (Je cite Cocteau, hein, ça fait bien! ^^). Le récit d'angoisse est là pour broyer le personnage. Horreur et tragédie sont des genres abstraits (artificiels diraient certains... et ils n'auraient pas tout à fait tort) et fondamentalement moralisateurs. On a d'ailleurs souvent reproché aux récits d'horreur d'être "de droite" voire d'avantage.
Voilà, je pourrais encore développer l'analyse mais j'en vois qui baillent au fond de la salle. :p
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Le PSG ?
C'est le godemichet des qataris.
Je ne me souviens plus suffisamment de l'Exorciste pour parler de celui-là. Louis Creed enterre son fils malgré le nouveau Church. Pourquoi? Parce que son chagrin le fait sombrer dans une petite folie. Un chagrin que le spectateur/lecteur doit ressentir pour que ça marche, et King insiste lourdement sur la peine de la famille. Également parce que quelque part existe un espoir. L'espoir que ce qui est arrivée à Church n'arrive pas à Gage. Cela est également amené par King. Louis n'est pas 100% rationnel, mais il est humain, cohérent parce que King s'assure qu'on est avec lui. Il y a un alignement entre les objectifs et les actions.
Pour les tragédies, effectivement basées sur l'auto-destruction. Les erreurs et leurs conséquences tragiques trouvent bien souvent -si ce n'est toujours- leur origine dans des sentiments extrêmement forts. Des sentiments que le spectateur ressent et comprend. C'est poussé par une violente colère et soif de vengeance que Roméo tue Tybalt; un acte irrationnel, qui va à l'encontre des objectifs de Roméo à la base mais qu'on comprend malgré tout. Ca colle.
Dans les films d'horreurs. La nana blessée, qui vient de voir mourir 6 de ses amis, poursuivi par un truc a priori bien dangereux, qui entend un bruit étrange, qui appelle sans avoir de réponse et qui décide malgré tout d'aller dans le noir total...j'avoue qu'on voit ce genre de truc plutôt souvent et j'ai beaucoup de mal avec ça. On est typiquement dans une écriture qui sert les objectifs du genre; et non une histoire écrite sous l'angle de ce genre. Pour moi la confrontation est simple: objectif du personnage => rester en vie. Action du personnage => s'engouffrer dans la gueule du loup. Donc, sans amener d'une manière ou d'une autre une action aussi contradictoire avec les objectifs il y a aucun moyen que ça passe. Si ce personnage sait un ami en bas, en danger, et que le film a mis en valeur la force de leur amitié...ou deuxième exemple, le personnage a pour objectif de rester en vie, pour cela il doit partir et le seule moyen de partir et de passer par la cave noire aux bruits inquiétants...là oui ça passerait déjà mieux.
Pour The Innkeepers j'ai justement trouvé l'écriture de West excellente! Bien supérieure à la moyenne du genre aujourd'hui. Sauf ce petit passage. West ne m'amènent pas à suivre Claire. Au contraire, j'ai tous les éléments pour trouver son attitude idiote. Le paroxysme étant que Claire, après avoir appelé l'actrice improbablement dans le sous-sol et ne pas avoir eut de réponse, dit qu'il y a pas moyen qu'elle redescende pour la chercher. Dès la seconde suivante elle entame sa descente de l'escalier. Non mais WTF. C'est pas le passage que je reproche, mais bel et bien son manque de cohérence par rapport au reste du film, le fait qu'on ne me donne pas les éléments pour être avec elle. Quel est l'objectifs de Claire à ce moment? Ses actions sont-elles en accord avec ça? Sont-elles proportionnée? Les films d'angoisse utilisent souvent la cusiosité humaine comme justification. Soit. L'Homme est curieux il est vrai. Mais la curiosité a ses limites en fonction des circonstances. Deux minutes plus tard, quand elle tambourine la porte comme une conne, cela ne m'a pas spécialement choqué. L'état de panique est évident et justifie cela.
Tout ça pour dire qu'évidemment, on doit souvent accepté d'être un peu crédule, l'écriture est un art délicat mais il y a des limites. Cette scène l'a dépassé pour moi ^^. Prometheus est un bon exemple récent aussi. Le scène du scientifique qui fait joujou avec la grosse sangsue est-elle vraiment gênante? Son comportement est-il vraiment le problème? Pas en soi. Encore qu'on pourrait bien être dubitatif sur l'approche scientifique de ce contact avec une nouvelle forme de vie -_-'...Cette scène est surtout incohérente pour ce personnage qu'on nous présente peu avant comme ayant peur d'un cadavre d'une forme de vie inconnue. Et qu'on continu à nous présenté jusqu'à la scène en question comme frileux, peureux. Si on nous l'avait présenté comme un biologiste casse-cou et insoucieux c'était déjà plus cohérent. On aurait surement accepté d'être un peu plus crédule.
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Et l'homme aux poings de fer, ce n'est guère mieux. ^^'
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Standing ovation pour I Wish I Were Here de Braff. A priori ça devrait plutôt le faire donc.
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Pour The Innkeepers j'ai justement trouvé l'écriture de West excellente! Bien supérieure à la moyenne du genre aujourd'hui. Sauf ce petit passage. West ne m'amènent pas à suivre Claire. Au contraire, j'ai tous les éléments pour trouver son attitude idiote. Le paroxysme étant que Claire, après avoir appelé l'actrice improbablement dans le sous-sol et ne pas avoir eut de réponse, dit qu'il y a pas moyen qu'elle redescende pour la chercher. Dès la seconde suivante elle entame sa descente de l'escalier. Non mais WTF.
Tu oublies un élément important de cette scène qui amène la "transition" vers le sous-sol (car effectivement il n'est pas sûr que Claire descendrait d'elle-même l'escalier. D'ailleurs elle a un gros moment d'hésitation avant "l'incident").
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J'ai trouvé la reconstitution de l'univers F1/course/année 70 vraiment brillante. Ne parlons pas de la réalisation, "Howard aux manettes" devrait, comme commentaire, se suffire à lui même.
Dans un autre registre, j'ai maté Haunters.. film désespérément plat, sans surprises ni ambitions. Un bon "téléfilm avec des fantômes dedans" pour un weekend pluvieux mais sans aucune originalité.
Disons qu'un visionnage après American Horror Story ne lui à pas vraiment rendu service. ^^
Green is the colour
gamertag: DEXT3R xX FR Xx
Sinon Tracks nouveau Trailer.
- extrait de Frank de Lenny Abrahamson. Avec Michael Fassbender, Maggie Gyllenhaal, Domhnall Gleeson, Scoot McNairy. Présenté actuellement au festival Sundance.
Et un nouveau trailer de The Raid 2 demain.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Excellent le film Ray, j'adore le passage Hit the road, Jack !
Veni, vidi, Vita™ Viva Ronaldo !
Un film noir anglais, sur la pègre et les ripoux.
Y a un casting brit' impeccable et une ambiance bien poisseuse, Rufus Sewell fait un ripoux de première catégorie et Gabriel Byrne un bon "marchand", mais l’histoire bien que classique fait trop légère...
Au moins, le film à la bon goût de ne dure qu'une heure vingt.
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Alors autant je n'aime pas la F1, autant le film est excellent !
L'opposition des caractères et attitudes de Lauda et Hunt est géniale, il y a une osmose dans cette dualité des contraires.
C'est tendu, caustique, haletant et passionnant !
Ron Howard nous signe encore un film vraiment accrocheur, même pour des réfractaires au sujet comme moi, mais aimant beaucoup les biopics.
"Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant." Elbert Hubbard
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http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Furieux-...
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Enfin surtout à Pickman en fait:
Je partage ton avis à 90% on va dire, mais GTB n'a pas tout à fait tord, il y a en effet toujours dans les films de ce genre (ou en général même) des décisions cons, ou l'ont se dit "mais merde!!! pourquoi il/elle fait ça!!??", un peu comme le fameux "mince alors, mon téléphone portable ne capte pas"... :D Les 2 sont des procédés tolérés par tous.
Cependant.
En effet Leigh parle de 3 fantômes. Elle parle aussi du fait qu'elle "voit l'avenir" (en gros) et donc en effet j'avais pas tilté mais elle pourrait parler du fantôme de Madeline, son amant, et Claire... Mais je dit pourrait car, bah et le vieux qui se suicide? Pourquoi Leigh ne l'a pas vue? Ou alors elle aurait vue Madeline, l'amant, et le vieux suicidé? Pourquoi n'aurait elle pas vue Claire (elle n'est morte que peu de temps après)? Pourquoi à la fin Leigh dit en gros qu'on aurait "rien pu faire pour empêcher ça"? La mort de Claire? Pourquoi on aurait rien pu faire? Car c'est le "destin"? Et dans ce cas dans cette phrase elle avoue en gros qu'elle savait que Claire allait mourir (elle a essayé de la sauver "faut sortir d'ici" mais vite fait quoi), mais alors pourquoi parlait elle de 3 fantômes?
Ensuite pour sa réaction en fin de film je trouve qu'en effet GTB a raison, on tolère ces agissement à la con qui donne leur raison d'être aux films, mais là elle y va clairement fort, elle est asthmatique, morte de peur, ses 2 "amis" sont en haut, et quand elle entend un bruit en bas elle y va? Alors ok on pourrait considérer qu'elle voudrait vraiment être "sûre de sûre" qu'elle rêve pas, que ses fantômes qu'elle a tant cherchés sont bien là, mais j'avoue que je suis aussi sorti du film à ce moment là, en me disant le classique "HEIN, mais pourquoi???". En fait il y a un "niveau de pourquoi" que j'accepte, je vais fermer les yeux et me dire "ouais bon en paniquant..." mais là je trouve que ça dépasse ce niveau, elle a 50 raisons de ne pas faire ce qu'elle fait et aucune raison de le faire. :p Mais pourquoi pas.
Ensuite perso j'ai vite pris parti que l'hôtel était bien hanté, tout simplement parce que Leigh au milieu du film environ, lui confirme (le coup des 3 fantômes). Peut être que le spectateur est censé douté à ce moment là, mais moi pas vraiment, j'y ai cru direct. On est censé se dire quoi en fait? Que Leigh est une vieille folle?
Bref tout ça fait que même si j'ai bien aimé et qu'on est dans le haut du panier de ce genre, ces petits trucs on fait que pour moi il n'est pas parfait, ni même excellent, je dirais "très bon" quoi. ^^
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Pour ce qui est de Leigh c'est ouvert à l'interprétation. Mais le contrepoint de Luke (personnage "rationnel", en dépit des apparences... en tous cas plus que Claire et Leigh) peut porter le spectateur à croire que c'est une vieille illuminée qui trompe son ennui et sa carrière déclinante en se recyclant dans la "pensée magique". Le truc c'est que le film n'impose rien en terme de caractérisation et laisse le spectateur se faire son opinion, maintenant ainsi les conditions nécessaires pour que le doute plane.
Pour ce qui est de la séquence finale et l'enchainement de situations qui amène à la mort de Claire, j'ai dit tout ce que j'avais à dire sur la question. C'est une affaire de ressenti je suppose. Pour moi la plupart des films d'horreur, même les très bons (ceux qui sont bien écrits et réalisés), tirent autant voire plus à la ligne que The Innkeepers. Sans que ce soit forcément un problème (cf mon exemple de l'Exorciste... qui est un chef-d’œuvre pourtant - et je ne prétends pas que le film de Ti West atteint ce statut, soit dit en passant). L'intervention du fantôme du vieux qui amène Claire, contre sa volonté (je maintiens cette interprétation) au sous-sol justifie scénaristiquement cette séquence. Quant au fait qu'elle progresse dans le sous-sol, ben ouais, elle est poursuivie par un spectre, elle ne va pas faire demi-tour sachant qu'il y a une issue possible devant elle, le biais de la trappe. Le truc qu'on pourrait critiquer à la rigueur c'est le fait qu'elle oublie qu'elle a cadenassé la trappe en question depuis l'extérieur plus tôt dans le film. Moi, loin d'une maladresse, j'y ai vu une forme d'ironie tragique (ressort habituel des films/récits d'horreur). Après, je comprends qu'on me reproche de pousser un peu trop l'analyse. Mais Ti West en l'espace de 3 longs métrages me semble être un scénariste et réalisateur qui maîtrise suffisamment son propos pour lui accorder le fait qu'il est conscient de ce qu'il fait quand il écrit et met en scène le climax de son film.
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