reneyvane @Flash_Runner: Tu as raison, c'est un événement avec une belle énergie, des jolies choses et beaucoup d'espoirs, autant regarder ça aussi avec ses yeux d'enfants et pas tout critiquer. (il y a 17 Heures)
face2papalocust Ah punaise la gifle Clair Obscur même quand t'es prévenu tu t'en prend une.<3 (il y a 17 Heures)
Flash_Runner @reneyvane: je me dis surtout que plein de jeux ne s'adressent pas à tous. Et il y avait du choix. On regrette tous l'E3, alors un peu de bonne énergie quand il y a ce genre de conf c'est bien aussi. (il y a 19 Heures)
reneyvane ...Peut être que l'événement a finis par devenir un placement de produit ou chaque éditeur va payer à prix d'or pour mettr en lumière le 28ième épisode de et le DLC solo de machin ? (il y a 22 Heures)
reneyvane Faire une soirée d'annonce ou les 2/3 des jeux sont connus et faire passer de simple DLC solo eux même loin d'être secret & des titres indépendants comme l'annonce du siècle ? (il y a 22 Heures)
GTB @Driftwood: Même ressenti. La faute, en partie, a des trailers qu'on croirait générés par IA pour la plupart. (il y a 23 Heures)
Driftwood @Flash_Runner: c'était loooooooong et souvent osef de mon point de vue. :x (il y a 23 Heures)
Driftwood Il est de nouveau possible de télécharger les vidéos sur le site. Désolé pour le mois et demi de panne. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Retrouvez notre review de Rift Apart dès 16h00 aujourd'hui, mais en attendant Guilty Gear -Strive- est en vedette en home ! (il y a > 3 Mois)
Driftwood Nouveau live sur Returnal à 14h30 aujourd'hui. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Rendez-vous à 17h00 pour un direct de 40 minutes sur Returnal (il y a > 3 Mois)
Won't bow, don't know how.
Winners don't use drugs.
Je m'incline!
Le monde a commencé sans l'homme et s'achèvera sans lui.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Le monde a commencé sans l'homme et s'achèvera sans lui.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Edit: ah non, il y a Tomorrowland, aussi et surtout.
Le monde a commencé sans l'homme et s'achèvera sans lui.
Comparons-le avec Duel, alors. Premier film de Spielberg, tourné en 1971 avec un budget similaire. Le résultat a quand même une autre gueule. D'un côté, on a l'un des futurs maîtres d'Hollywood et, de l'autre, un gars qui tournera Les Sorcières d'Eastwick (son sixième film ) ou Happy Feet. La différence? Le talent!
Et Duel que tu cites peut recevoir exactement les même critiques que celles que tu adresses au film de Miller.
Quant à discuter de ce qui fait qu'un réalisateur devient un "maître d'Hollywood", comme tu dis, (comme si ce statut avait sérieusement une quelconque valeur de label de qualité... George Lucas, piètre réalisateur, peut lui aussi recevoir ce genre qualificatif) et un autre un solide artisan du film de genre, je pense que tes arguments gagneraient en poids si on ne percevait pas autant de mépris dans ta manière d'envisager le distinguo.
A titre personnel, j'apprécie l’œuvre de Spielberg mais il y a pas mal de choses dans sa filmographie qui sont indignes d'un "maître".
"Is that gasoline I smell?"
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Et puis faut dire qu'il n'y a rien de plus formaté qu'un trailer de blockbuster hollywoodien.
"Is that gasoline I smell?"
Sinon vu Predestination. Un direct to plutôt très bien accueilli. Bon c'est pas mal. Difficile de parler de son défaut majeur pour moi sans spoiler donc, son défaut est à mes yeux que c'est un film sur un paradoxe et non reposant sur un paradoxe. Du coup, après la première partie (45-50min) on devine le schéma du paradoxe pendant qu'il se met en place à l'écran et on se demande où cela va mener...sauf que ça mène à rien d'autre que le paradoxe en lui-même. Pas désagréable à regarder, au contraire même, cependant ce qu'il nous reste à la fin est un bon gros so what?.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Et Duel que tu cites peut recevoir exactement les même critiques que celles que tu adresses au film de Miller.
Quant à discuter de ce qui fait qu'un réalisateur devient un "maître d'Hollywood", comme tu dis, (comme si ce statut avait sérieusement une quelconque valeur de label de qualité... George Lucas, piètre réalisateur, peut lui aussi recevoir ce genre qualificatif) et un autre un solide artisan du film de genre, je pense que tes arguments gagneraient en poids si on ne percevait pas autant de mépris dans ta manière d'envisager le distinguo.
A titre personnel, j'apprécie l’œuvre de Spielberg mais il y a pas mal de choses dans sa filmographie qui sont indignes d'un "maître".
Parler de mépris, alors que tu débarques avec un "merci pour le fou rire", et critiquer la vacuité de mes arguments, alors que tu n'as pas fait l'effort d'en sortir un seul pour me contredire (ou m'expliquer ton point de vue)... bref.
"Maître": 1) personne qui détient une autorité; 2) personne qui domine son art. La langue française est décidément merveilleuse: elle dépasse le premier degré.
P.S. Au moins, on est d'accord sur le fait que Lucas est un piètre réalisateur...
Le monde a commencé sans l'homme et s'achèvera sans lui.
Et ouaip, je l'attends beaucoup aussi, étant en plus fan de cette licence, même si ce qu'il adapte est pas forcément la période que je préfère dans cet univers. Mais faut bien commencer par là.
D'ailleurs en parlant heroic fantasy, j'viens de mater La Désolation de Smaug (il était temps), que j'ai aimé, plus que le premier, il y a moins de longueur, l'esthétique est plus réussi (plus de pelouse verte fluo) et tout le passage avec Smaug est vraiment bon, Cumberbatch fait de l'excellent boulot. La fin est quand même super abrupte et il y a encore ce mélange de ton qui me dérange, mais moins que sur le premier. Il y a même certains passages un peu trop cartoonesque, ce qui jurent avec le reste et la trilogie LSDA. Vendredi j'irais voir le dernier normalement.
Tu as perçu du mépris dans mon "Merci pour le fou rire"? Si c'est le cas j'en suis désolé car quand j'ai écrit ça, c'était sincère: j'ai effectivement ri. Pas contre toi. Juste pour cette comparaison entre Waterworld et Mad Max qui me semblait sortir de nulle part et n'avoir que peu de sens.
Quant à ne pas faire l'effort de te sortir des arguments, s'il t'arrivait de lire mes interventions sur ce topic (qui certes se font rares ces derniers temps) tu constaterais sans doute avec étonnement que je m'efforce toujours d'expliquer pourquoi j'aime ou je n'aime pas un film. Donc avant de faire des procès d'intention à une personne que tu ne connais pas (moi ou un autre) sur un forum, il peut être utile de s'intéresser un minimum aux messages que poste ladite personne.
En l’occurrence tu compares 2 films (enfin 3 au final) et moi je te réponds que comparaison n'est pas nécessairement raison. Duel et Mad Max sont 2 premières œuvres maladroites, imparfaites mais qui affirment toutes deux des visions cinématographiques fortes. Mad Max a des problèmes d'écritures et de rythme? Même si je suis en partie d'accord avec toi sur le 1er point (le film ne brille effectivement pas spécialement par son scénar... comme Duel) concernant le 2ème point c'est ton appréciation de la chose et la tienne seulement.
En ce qui concerne Duel qui est un chouette film mais qui a pas mal (et pas forcément très bien) vieilli lui non plus, je peux te répondre que la facture "téléfilm" de la réalisation nuit, à mon avis, beaucoup à l'impact que veut/peut avoir le film de Spielberg. C'est un problème à mon sens puisque si on met de côté son scénar, qui tient sur une moitié de ticket de bus, le film repose avant tout sur la mise en place d'une ambiance qui passe entièrement par l'utilisation de l'image et du son. De plus, on ne peut pas dire que le film de Spielberg soit d'une folle originalité puisqu'il s'appuie entièrement sur des recettes vues et revues déjà à l'époque notamment chez Hitchcock en matière de construction du suspense.
Et Les Sorcières d'Eastwich est une excellente comédie fantastique qui sous des dehors assez inoffensifs cache un portrait au vitriol des petites villes américaines. Tout passe au crible de la caméra rigolarde de Miller: la bigoterie, l'intolérance et l'étroitesse d'esprit, les pulsions sexuelles et névroses pas assumées, le mythe du prince charmant... Personne n'est épargné, pas même les trois héroïnes. Et c'est un des rares films où le cabotinage de Jack Nicholson est totalement justifié.
"Is that gasoline I smell?"
Et ouaip, je l'attends beaucoup aussi, étant en plus fan de cette licence, même si ce qu'il adapte est pas forcément la période que je préfère dans cet univers. Mais faut bien commencer par là.
D'ailleurs en parlant heroic fantasy, j'viens de mater La Désolation de Smaug (il était temps), que j'ai aimé, plus que le premier, il y a moins de longueur, l'esthétique est plus réussi (plus de pelouse verte fluo) et tout le passage avec Smaug est vraiment bon, Cumberbatch fait de l'excellent boulot. La fin est quand même super abrupte et il y a encore ce mélange de ton qui me dérange, mais moins que sur le premier. Il y a même certains passages un peu trop cartoonesque, ce qui jurent avec le reste et la trilogie LSDA. Vendredi j'irais voir le dernier normalement.
Roger Federer #1
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Roger Federer #1
Ce que je regrette le plus en revanche c'est la structure de la trilogie quasiment identique au seigneur des anneaux, le troisième c'est la baston générale...
« Brother to the end »
Winners don't use drugs.
Par contre, critiquer Duel pour son absence de scénario, c'est un peu comme reprocher à une call-girl de manquer de conversation... A l'image des Oiseaux d'Hitchcock, le film n'est pas là pour raconter une histoire, mais pour installer son atmosphère pesante et entraîner le spectateur dans la paranoïa croissante de cet automobiliste lambda, suivi en permanence par la caméra du réalisateur. Plutôt original, pour l'époque, et parfaitement réussi.
De Mad Max, j'attendais la démonstration efficace du basculement du héros vers une folie vengeresse et brutale. Il n'en est rien. Au contraire, les deux personnages principaux (Max et le grand méchant) s'étiolent au fil des minutes, malgré des scènes d'exposition prometteuses. La psychologie des personnages est abordée de manière très maladroite, empêchant toute empathie à l'égard du héros et de sa famille. Sans parler de quelques scénettes assez ridicules ou des maladresses de mise en scène (pardonnables, certes) qui plombent passablement le métrage.
Sans rancune!
Le monde a commencé sans l'homme et s'achèvera sans lui.
Je me suis posé la même question que toi et à moins qu'on m'explique, je trouve que c'est un gros soucis de continuité.
Config PC: Core i7 4790k 4Ghz // MSI GTX 770 2Go Twin Frozr OC // 16Go DDR3 Corsair Vengeance
"A bloc, à toc, à fond d'cinq, à fond d'six"
Kiemsa
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."