reneyvane Je me demande comment en 2025, Nintendo fait pour éviter de tels polémique parce quand depuis des décennies l'histoire des Zelda et Mario repose sur des princesse à sauvé par un héros ? (il y a 1 Jour)
CraCra @GTB: Encore, bah tout facon de nos jours.... Comme dirait l'autre le principal c'est qu'on parle de toi ;) (il y a 1 Jour)
Zega Wot? (il y a 1 Jour)
GTB Pensée pour l'équipe de Sandfall et ce drama creux qui leur tombe sur la tronche. (il y a 1 Jour)
davton @Driftwood: c'est clair ! ^^" (il y a 2 Jours)
Driftwood Il est de nouveau possible de télécharger les vidéos sur le site. Désolé pour le mois et demi de panne. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Retrouvez notre review de Rift Apart dès 16h00 aujourd'hui, mais en attendant Guilty Gear -Strive- est en vedette en home ! (il y a > 3 Mois)
Driftwood Nouveau live sur Returnal à 14h30 aujourd'hui. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Rendez-vous à 17h00 pour un direct de 40 minutes sur Returnal (il y a > 3 Mois)
Je croise les doigts pour Avowed ;)
Inppaussible n'est pas Français.
Après, j'entends bien l'argument selon lequel la Fantasy se base plutôt sur des mondes féodaux, où ce genre de différenciations n'existaient pas, mais comme ils sont purement imaginaires à la base, pourquoi faudrait-il respecter des normes établies dans un autre contexte et refuser de les faire évoluer ? Attention, je ne dis pas que les gens qui s'expriment ici sont des anti-woke (il ne devrait de toute façon pas y avoir de camps qui s'opposent pour des choses aussi futiles que le jeu vidéo - et on ne devrait pas forcément être dans un camp ou dans l'autre d'ailleurs), mais je pose la question. Est-ce qu'un genre littéraire (ou de jeu vidéo) doit forcément rester ancrer dans les préceptes qui ont dicté sa création il y a des décennies de cela ?
The Veilguard aurait peut-être pu le faire de manière plus intéressante, je ne dis pas, mais au final, je ne comprends vraiment pas que cela en dérange certains (pas ici) au point de ne pas vouloir y jouer. Qu'on lui reproche son virage vers l'action, c'est tout à fait compréhensible, mais ce qui ressort en dehors de GSY, ce sont plutôt des gens qui boycottent pour des raisons idiotes (et qui se réjouissent quand un jeu qui fait dans l'inclusion ne fait pas de bonnes ventes, comme il s'en réjouissent quand un jeu Ubi se plante). C'est d'une absence totale de réflexion et d'une bêtise sans nom, car c'est comme ça que des studios ferment dans l'industrie actuelle et j'ai du mal à voir ce qu'il y a de réjouissant là-dedans. :/
Ça avait déjà fait beaucoup jaser à l'époque et ça m'avait choqué, mais je n'imagine même pas ce qui se dirait de TLOU2 s'il sortait aujourd'hui... Et ceux qui prétendent que "ça dépend si c'est bien raconté ou justifié comme dans TLOU2" sont de sacrés hypocrites. :p
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Il y a quelques années quand il y avait un personnage noir, gay, féminin non sexualisé ou de n'importe quel minorité, c'était même pas un sujet. C'est l’œuvre dont on parlait. Aujourd'hui les discours ont poussé au sectarisme qui d'un côté comme de l'autre va focus sur ces éléments en priorité. D'un côté comme de l'autre ça progresse...vers l’extrémisme militant abrutissant. Une polarisation où rigueur, méthode, nuance, débat constructif, écoute, connaissance se font de plus en plus rare. C'est valable sur tout un tas de sujets ce constat d'ailleurs.
Je m'estime progressiste depuis bien avant que ça devienne un sujet de société. Je porte ces valeurs au plus profond de moi et ces sujets concernent directement mon entourage. Et bien pourtant, il est extrêmement fréquent que lorsque j'entends des gens parler au nom du progressisme, je suis affligé devant leur bêtise...parce qu'ils deviennent exactement ce qu'ils combattent. Et ces discours s'infiltrent un peu partout. Ça devient difficile de trouver des médias qui ne soient pas bouffé par une sphère ou par l'autre.
Les polémiques autour de ce Dragon Age en sont le reflet exact. D'un côté il y a les réactions de rejet qui tournent autour de l'inclusion pour des raisons ultra débiles (il y en a même qui croient encore que la dysphorie de genre n'existe pas). Bioware vont sur ce terrain là depuis 20 piges, rien de nouveau pour eux. Et avoir des personnages variés, divers, qui sortent des carcans habituels est plus que salutaire. Et de l'autre, il y a l'enthousiasme exacerbé ne serait-ce que pour ce parti-pris. Ni l'un, ni l'autre ne parlant sérieusement du seul sujet qui compte : la valeur artistique. Qu'il y ait enfin des minorités et des thématiques LGBTQ+ importe 1000 fois moins que si c'est bien fait ou pas. Comme pour n'importe quel autre point.
Pour ce que j'en ai vu, il me semble évident que ça ne mérite ni bashage/boycott (il y a des qualités évidentes), ni louanges (il y a des défauts évidents).
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Et bon, même s'il y a des trucs qui m'ont exaspéré, je suis allé au bout. Je ne l'aurai pas si j'avais trouvé ça vraiment mauvais. Il y a vraiment des moments assez épiques, des gros fights, des mystères que tu as envie de dévoiler, des persos rigolos (Manfred). C'est juste qu'après chaque "oui", il y a un "mais".
Et sinon, je pense au contraire que la période médiévale est un très bon contexte pour aborder la question. Pour ce que j'en sais, la problématique des genres & co n'étaient pas spécialement prégnante dans l'antiquité. Les individus avaient les gouts qu'ils avaient et ça les regardaient sans que ce soit pointé du doigt par ceux qui avaient des gouts différents. Et c'était un peu un reflet des dieux de l'époque qui étaient assez "ouverts" et surtout loin d'être parfaits. Mais avec l'avènement des religions monothéistes durant le moyen-âge, il y a vraiment eu une dénonciation de pratiques labellées déviantes (Sodome et Gomorrhe, etc.), une fabrication du "eux" vs "nous" autour de cette question. Avec comme résultat ce que l'on connait dans notre société moderne. Donc aborder ces questions dans un jeu HF, il y a carrément de la matière. Mais il faut bien le faire.
Maintenant, je dirais que dans leurs situations un peu bancale, Bioware aurait mieux fait de coller à leur habitude, à savoir être l'inclusif sans en faire un cheval de bataille narratif. Les joueurs s'en emparent et s'y investissent s'ils le souhaitent, le zappe s'ils le souhaitent. Et au bout du compte, ça aurait parlé du jeu. Là, ils sont foutu dans une guerre culturelle au pire moment imaginable (du moins aux US) et d'ici à ce que ce soit le dernier jeu du studio...
Les « iel », « ellui » etc, les pompes pour avoir mégenré, la création de personnage qui inclut autant qu’elle exclut… je ne suis clairement pas le public visé…
Ce n’est pas l’Héroic Fantasy que j’aime, et c’est pas grave.
C’est de l’Heroic Fantasy de 2024… je suis trop vieux pour ces c…. comme disait Murtough…
Je ne suis pas sensible à ces messages, comme dit GTB, j’étais progressiste bien avant tout ça, mais là ça commence légèrement à me fatiguer.
J’ai rien regardé avant de faire le jeu, pas un test, rien… je me suis pris une belle claque, mais pas de celles qu’on aime se prendre.
Il y a de très jolis panoramas, le doublage est pas mal, les combats AU DÉBUT sont sympas, mais alors l’écriture… je ne parle pas du scénario qui se laisse suivre, et il y a des moments épiques, mais il y a des personnages qui m’ont complètement sorti du jeu… notamment Taash.
Tu vois quand c’est abusif, quand c’est mal fait, c’est dingue. Ça m’avait fait pareil avec God of War Ragnarok et le personnage d’Angrboda. Ça m’a moins sorti du jeu que dans Dragon Age, mais j’ai juste vu le « regardez comme on est inclusif ! On est cool hein ? On est du côté des gentils. »
On ose tout aujourd’hui au nom du progressisme, le nouveau terme c’est : « moderniser ».
Et bien moderniser, Messieurs Dames. Le pire c’est que beaucoup n’en avait rien à faire à la base.
Mais alors « moderniser » l’Histoire, les contes, la mythologie… ce sera sans moi.
J’en peux plus non plus des débiles de chaque camps, ils sont devenus inaudibles.
Et la nuance dans tout ça ?
C’est quoi l’expression ? Go woke, Go broke ?
On voit bien que ça lasse des gens, que clairement les studios perdent plus de publics qu’ils n’en attirent.
Pour autant, ça n’est pas tout le temps le cas, il y a plein d’exemples qui montrent l’inverse, qu’un film/jeu estampillé DEI peut bien marcher.
Mais d’un côté comme de l’autre, personne ne comprend : le film/jeu marche surtout pour d’autres facteurs.
Ce n’est pas parce qu’un jeu est inclusif, qu’il a de la diversité, qu’il a été fait par une équipe multiculturelle comme ils aiment nous le rappeler, qu’il va bien se vendre.
J’en peux plus de lire dans les interviews de développeurs que c’est grâce à ça qu’ils font de supers jeux (selon eux). C’est grâce au talent de chacun, dans leur domaine de compétence, ce n’est pas une question de genre ou de couleur de peau.
Pourquoi tout ramener à ça à chaque fois ??
À contrario, ce n’est pas parce qu’une équipe est multiculturelle, qu’il y a de l’inclusivité, de la diversité, qu’un jeu ou un film va mal se vendre.
Il y a tellement d’autres paramètres à prendre en compte.
Mais je pense que capitaliser sur cette caractéristique est une erreur.
Metal Slug Tactics : Pas révolutionnaire, mais très sympathique. Je vais entamer des runs avec les autres persos débloqués pour voir comment cela évolue mais un bon petit jeu soignés par ses devs.
The Rise of the Golden Idol : aussi moche et excellent que le premier opus. Une fois encore, les puzzles/enquêtes sont vraiment bien conçus il il faut carburer à fond sur la déduction pure pour progresser. C'est presqu efrustrant de le finir.
Franchement j’en attendais mieux…
Le multi est plus plaisant mais j’ai dégagé le jeu quand j’ai vu la taille de la mise à jour demandée…faut vraiment qu’ils apprennent à réduire le poid de leur jeu ça devient n’importe quoi.
Just Do It!
https://twitter.com/Blackninjadu11
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Juste un jeu des 7 différences dans des scènette 3D vraiment sympas. Ca ne casse pas 3 pattes à un canard mais ça permet de se vider la tête entre des trucs plus lourds. Il y a une démo pour ceux qui veulent (sur Steam).
Children of the Sun
Sur fond de secte, un jeu qui prend le concept de la balle à tête chercheuse et le pousse à son paroxysme. C'est malin, fun, retord et compact. Les visuels sont minimalistes mais cela n'empêche pas de s'amuser. Je recommande.
Indiana Jones et le cercle ancien : vraiment une excellente surprise. J'ai pris le temps de ratisser les niveaux et c'est vraiment appréciable d'avoir un jeu qui est ouvert, qui ne rush pas (hormis 1 niveau) mais permet d'explorer tranquillement les zones, de découvrir plein de secrets et puzzles, d'approcher les situations de façon variées (infiltration, discrétion ou baston). L'écriture n'est pas mauvaises non plus, du moins en ce qui concerne les persos. Vraiment l'un des meilleurs jeux de cette année.
Continuant à faire fondre mon backlog, Bramble est enfin passé à la casserole. Jeu indé suédois, me semble-t-il, dont la démo m'avait pas mal intriguée. Et j'avais profité d'une promo (il est souvent en promo pendant les soldes steam).
Bramble est un conte qui pioche dans le folklore scandinave. Linéaire, un peu de plateforme, un peu de combat, un peu d'énigme, et le controle de la caméra est limité (on peut juste panoter légèrement). Autant le dire tout de suite : il faut faire avec un gameplay quelque peu poussiéreux et rigide. On peut aisément mourrir sans que ça soit de notre faute, un côté die & retry un peu vénère parfois aussi. Même si c'est jamais très pénalisant, c'est l'aspect le plus rugueux du jeu...
... mais si on arrive à accepter ça, c'est une aventure marquante qui nous attend. Tous les autres aspects du jeu sont une franche réussite. L'ambiance globale est l'une des plus marquante que j'ai joué ces dernières années. L'histoire est un hommage on ne peut plus réussi aux vieux contes emprunt de noirceur qui nous expose beaucoup d'éléments d'un folklore qui nous dépayse fortement, le doublage est excellent, graphiquement c'est fichtrement beau, la mise en scène est réfléchie/audacieuse/impressionnante, la bande son une pure merveille. Si ce petit studio acquière des compétences accrues dans le game-design, il est à suivre de très près.
Bref je recommande sans hésitation...mais en étant prévenu de ce gameplay rugueux.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Magnifique, même s’il manque quelques trucs comme les missions Ninja solo et des boss.
Ils peuvent refaire le 1 du temps qu’ils y sont.
Hâte de faire le 4 maintenant même si j’ai un peu peur de l’ajout de PG dans le dev (je n’ai pas du tout aimé Bayo 3).
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Sur l'écran Oled le rendu est top, le gameplay au poil, juste le tarif abusé pour un portage 3DS (sans bonus) mais en même temps le jeu est quasi parfait en l'état donc bon...
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J'avais adoré le jeu à sa sortie et il reste sympa aujourd'hui même s'il accuse son âge et que cette version ne corrige pas les défauts d'origine (cette caméra, quelle plaie !).
Eternal Strands
Mouif. L'univers est chouette, les persos sont étonnamment intéressants mais le gameplay manque cruellement de profondeur, surtout la dimension baston qui est pourtant centrale. En fait, le jeu étale beaucoup trop la confiture (battre 3 fois chaque boss, quêtes fedex/collecte) au regard de la taille du monde proposé, même en jouant la carte des variations météos. Mon seuil de tolérance à la répétition était légèrement dépassé lorsque j'ai fini le jeu mais vu qu'il était inclus sur le GP, pas de regret.
Tormented Souls est très simple à décrire : c'est une lettre d'amour aux survival-horror des 90's, par une modeste équipe chilienne. L'inspiration Resident Evil, essentiellement, saute à la tronche instantanément. On repère d'autres inspirations par la suite (Silent Hill par ex). On retrouve donc tous les codes du genre de l'époque. 3ème personne, angles de caméra prédéfinis (mais pas fixe), manoir, saves limitées par enregistreur, inventaire à cases, munitions limités, déplacements tank (mais aussi "normal" pour ceux qui préfèrent), énigmes, fouille, documents ici et là qui développent le lore/l'intrigue, etc...etc... Les intentions sont claires et très assumées, on est ici pour revivre exactement ce genre d'expérience à l'ancienne.
Et Tormented Souls le fait vraiment bien ! Les survival modernes sont très bien, mais si parfois l'approche à l'ancienne vous manque, TS est une très bonne adresse. Mais il faudra accepter quelques défauts inhérents et habituels à cette recette, ainsi que quelques défauts d'un jeune studio modeste.
Ainsi, graphisme, ambiance (ça use peu des jumpscare), le design des monstres, les musiques, le level-design et les séquences de flippe sont une franche réussite. Les énigmes sont bien plus réussis et challenging que dans les jeux dont ils s'inspirent. L'intrigue n'est pas renversante mais au global elle moins osef que dans les RE. Le jeu apporte aussi pas mal de petites idées intéressantes dans le gameplay.
Bref, le jeu rempli parfaitement son office : faire plaisir à ceux qui veulent retrouver ce survival-horror à l'ancienne. C'est pas très long (11h pour ma part, en fouillant bien) et je crois que le jeu est en promo à 5€ sur steam et PSstore. Tormented Souls 2 dévoilé aux derniers SummerGameFest débarque en avril, et j'en serai avec plaisir.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Loin d’être parfait mais petit plaisir coupable, dommage de ne pas pouvoir continuer à explorer après le boss de fin.
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Un très bon cru, même si j’ai préféré It takes two pour l’univers.
La SF et la Fantasy sont très génériques dans le jeu, on sent que c’est pour que tout le monde s’y retrouve, et malgré une DA sympa parfois, c’est assez insipide.
Graphiquement c’est plutôt joli, le doublage VF est plus que correct, ça tourne sans ralentissement, le rythme est bon, on ne s’ennuie pas.
Par contre, l’écriture, c’est vraiment pas son fort à Farès…
Sans faire un travail d'histoire mais juste en le comparant à Rise qui est l'opus précédent, il n'y a plus d'exigences tout est ultra simplifié donc le end game qui est le coeur du jeu s'en trouve appauvri, c'est triste mais ça marche tant mieux pour Capcom.
"It's a city of dreams...and i'm a big dreamer".
J'ai terminé Elden Ring en début d'année, j'ai pris une énorme claque, ça faisait longtemps qu'un jeu ne m'avait pas autant aspiré et passionné, malgré ses défauts, j'ai d'ailleurs aussitôt relancé une partie en partant sur un build différent, ça m'arrive très rarement de relancer un jeu que je viens de terminer. C'est le premier Souls que je termine. Là sur ce second run j'vais en profiter pour me faire le DLC.
J'ai adoré. Meilleur opus de la série. On perd en challenge des énigmes, mais il y a un beau boulot de leur intégration cohérente dans l'intrigue et elles sont logiques. On gagne grandement sur absolument tout le reste. Un scénario plus intimiste, plus impliquant émotionnellement, avec des thématiques intéressantes, belles écritures des personnages. Graphiquement et visuellement c'est le bond le plus manifeste, c'est vraiment magnifique, un régal pour les yeux. Techniquement quelques détails ici et là trahissent qu'on est sur du double A (expressions faciales par ex). Bande son exemplaire, et casting vocale grand luxe. Bref, je signe pour une suite de ce calibre sans hésitation.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
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Je vais faire simple : Un chef d’œuvre.
Même si le gameplay tour par tour n’est pas ce que je préfère j’ai rarement vu un jeu pareil, que ce soit en terme de design, d’animation, de scénario et de maîtrise. Plus qu’un GOTY, le titre d’une génération.
Respect aux développeurs.
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