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Since 7639 DaysLe voyage de Chihiro (faut bien un Miyazaki)
l'assassinat de jesse james par le lâche Robert Ford (du cinéma comme on en voit presque plus)
Master and commander (Peter Weir est grand mais pas assez reconnu)
District 9 (meilleur espoir de la décennie, faut pas qu'il se plante après...)
La-haut (Faut bien un Pixar, très loin devant les autres films 3D)
There will be blood (même si Day-Lewis en fait de caisse)
Valse avec Bashir (un film qui hante longtemps après l'avoir vu)
History of violence (parce que Cronenberg quoi)
Volver (Almodovar qui se bonifie avec le temps)
Mulholland Drive (parce que Lynch est malheureusement quasi mort pour le cinéma)
Donnie Darko (Coup de chance ou coup de génie ? Pas sûr que le réal fasse un jour mieux...)
Et pour moi deux chefs d'oeuvre pour le coup, mais de la télévision :
The office (version UK)
The wire
Ceci n'est pas une signature.
Since 6611 DaysThe Legend of Mr Rager
Since 8039 Daysedit : outch, je répondais à un post , mais j'ai quelques pages de retard ^^
Tous ce qui n'est pas donné est perdu!
L'usure tue notre société! L'argent ne doit pas produire de l'argent.
Since 6935 DaysMais LE film qui m'a marqué le plus c'est "PLATOON", mais c'est hors sujet.^^
@aure: moi en TV c'est "minuit le soir" et "the shield.
toutes les consoles se valent, maintenant parlons des jeux...
je ne suis jamais content.^^
Since 6611 DaysThe Legend of Mr Rager
Since 6988 DaysSans ordre particulier:
- Avalon, de Mamoru Oshii: peut-être le seul film à vraiment avoir compris comment traiter, au cinéma, des rapports qu'entretiennent le réel et le virtuel dans le jeu vidéo. Un film d'une profondeur et d'une beauté plastique étourdissantes... et, de surcroît, un magnifique portrait de gamer.
- Mind Game, de Masaaki Yuasa: l'antithèse absolue du style Ghibli dans l'animation japonaise. Plus qu'un chef-d'œuvre de l'animation: un film libre et euphorique qui revisite de façon complètement folle, hédoniste et sensuelle le récit biblique de Jonas et la baleine.
- Tokyo Godfathers, de Satoshi Kon: certains ici le savent déjà mais, pour moi, Kon était un des plus grands cinéastes de l'histoire du 7ème art. En ce qui me concerne, tous ses films sont des chef-d'œuvre et il n'y a là même pas matière à polémiquer. Il fallait un choisir un seul et c'est celui-là. Tokyo Godfathers évolue sur le fil, oscillant sans cesse entre réalisme et merveilleux. Satoshi Kon, en ménageant de beaux clins d'œil au cinéma de Franck Capra et de John Ford, livre avec ce film une vibrante déclaration d'amour à la vie. On peut vivre sans Tokyo Godfathers... mais on vit incontestablement mieux avec.
- Children of Men, d'Alfonso Cuàron: film d'anticipation magistral, servi par un casting formidable et une mise en scène impressionnante de maîtrise. Surtout: une œuvre politique et philosophique qui nous renvoie à la figure de façon implacable les dérives matérialistes et idéologiques qui gangrènent notre société contemporaine, sans jamais se croire au-dessus du spectateur et en gardant systématiquement l'humain (ses failles, sa fragilité) au centre de sa réflexion. Future is now!
- Le Voyage de Chihiro, d'Hayao Miyazaki: un des plus grands films du maître. Une "œuvre somme" d'une inventivité visuelle ébouriffante et qui en remontre à beaucoup de jeunes réalisateurs en terme de vitalité. On ne sait jamais si Le Voyage de Chihiro est l'œuvre d'un vieux sage ou bien d'un jeune chien fou.
- Dark Water, d'Hideo Nakata: les plus grands films d'épouvante sont ceux qui n'oublient pas de s'enrichir d'une dimension mélodramatique fermement tenue en bride. Nakata signe ici une fable sociale et un émouvant portrait des relations entre une mère et sa fille. Un film d'angoisse à combustion lente qui vous hante longtemps après la fin de la projection.
- There Will Be Blood, de Paul Thomas Anderson. Le meilleur film américain de la décennie. Un récit des origines, de la fondation des Etats-Unis tiraillées dans d'une lutte de pouvoir entre le spirituel et l'argent qui se résoudra, comme le promet le titre, dans le sang. Une mise en scène ample et élégante, une grande sécheresse de trait dans l'écriture des personnages, une bande son tellurique et inquiétante, un casting mené par deux acteurs habités par leur rôle: fallait-il autre chose pour faire un très grand film?
- Shawn Of The Dead, d'Edgar Wright: le meilleur film de morts-vivants de la décennie est une comédie romantique?!! Une aussi belle aberration ne pouvait provenir que d'Angleterre. Le film de Wright, Pegg et Frost est une superbe déclaration d'amour au cinéma de genre en général et à l'œuvre de George A. Romero en particulier. C'est également une œuvre générationnelle 100% geek, fine et méchamment drôle ainsi qu'un beau film sur l'amitié.
- Where The Wild Things Are, de Spike Jonze. Une œuvre sensible et intelligente sur l'enfance et un grand film de monstres signé par un réalisateur branchouille sur lequel je n'aurais, personnellement, pas misé un kopeck avant d'avoir vu la première bande-annonce. Une de mes plus belles expériences cinématographiques dans cette catégorie un peu restrictive qu'est "le film pour enfant". Précieusement rangé aux côtés de Dark Crystal et de Brisby et le Secret de Nimh (entre autres).
Pouf pouf! Observons deux papillons.
Since 7981 DaysAlors:
- coffret Alien Anthology, je me suis fait que le 1 et le 2 (les autres n'ont pas lieu d'être de toute façon :p), en version longue pour chacun d'eux. Que dire, à part que j'ai réellement été bluffé par le travail de restauration (notamment le premier, aucun grain...). Punaise, dire que ce film a déjà plus de 30 ans d'âge, on dirait vraiment pas, et ça éclate pas mal de la production actuelle; de toute façon je voue un culte à Ridley Scott... Blade Runner etc ^^
- Avatar : bof, de belles images de synthèse mais un scénar risible, pour ratisser large niveau public sans doute. Le voir sans la 3D casse sûrement pas mal l'intérêt/le trip de toute façon.
- et enfin le meilleur pour la fin, Inception, là j'ai adoré, ça fait quand même bien plaisir de voir ce genre de film sortir aujourd'hui :)
Ma réaction après avoir vu l'intro de GT5:
http://img835.imageshack.us/img835/7241/amliess4.jpg
-
Since 6699 Days1) Le Seigneur des Anneaux.
Porter un truc pareil à l'écran était inimaginable et j'ai rarement pris une baffe pareille au cinéma. 10h que je me tape régulièrement. J'en suis un bon gros fanboy mais je pense qu'il est assez objectif de dire que la Trilogie a véritablement marqué le cinéma. Respect à Peter Jackson et tout ceux qui ont bossé dessus pour le boulot abattu. J'aime sincèrement ce film.
2) The Fountain.
Une œuvre majeure qui sort totalement des sentiers battus. Une quête de l'immortalité qui m'a méchamment retourné, en plus d'être visuellement et musicalement épatante. D'ailleurs la BD est elle aussi magnifique. The Foutain a failli ne jamais voir le jour, c'est Aronofsky qui a porté le projet à bout de bras et avec ses tripes. On comprend pourquoi et on l'en remercie :p.
3) Gosford Park.
Chef d'oeuvre signé Robert Altman, d'un genre peu présent -le Thriller policier façon Cluedo-, et servi par un casting monstrueux admirablement dirigé. La critique Télérama résume parfaitement mon ressenti:"Une expérience d'anthropologie grandeur nature, conduite avec une maestria proprement sidérante". Un classique pour moi.
4) Cloverfield.
Dans le genre film catastrophe, aucun ne m'aura marqué comme Cloverfield. Si l'effet est moindre en DVD/BR question spectacle, l'expérience ciné fut décoiffante pour moi (comme pour toute la salle d'ailleurs). Une longue intro et tout bascule. L'ensemble est cohérent et loin des comportements absurdes ou des clichés du genre...jusqu'à la fin. Techniquement Cloverfield sort l'artillerie lourde mais tente de la dissimuler pour servir au mieux l'expérience camera épaule (la plupart des gens sont loin de s'imaginer qu'il est quasiment full CGI). Du spectacle, du vrai, qui met KO M. Bay.
5) Pitch Black.
Devenu depuis un moment déjà un classique SF pour moi, comme pour pas mal de monde j'imagine. Une photographie splendide, une ambiance, cette longue nuit qui se prépare à tomber, et un anti-héros mythique. Et le fameux thème musicale. La suite dérivée est très discutable, mais Pitch Black a laissé son emprunte sur moi.
6) The Descent.
Me faire réellement peur au cinéma n'est pas chose aisée, et Neil Marshall ne se contente pas d'effet gore ici. Son génie est d'aller nous enfermer dans les entrailles de la terre pour que nos peurs les plus viscérales nous accompagnent tout le long: peur de noir, peur de l'inconnu, claustrophobie, suffocation, peur des autres et de notre propre bestialité. Une véritable plongée en apnée dans l'horreur.
7) Shutter Island.
Un thriller chiadé dans les moindres détails et redoutable d'efficacité grâce à une réal minutieuse, un montage parfait et un traitement sonore au top. Difficile pour moi de lui trouver un vrai défaut; peut-être parce qu'il est encore trop frais. Mais je l'ai déjà vu 5 fois, signe que dans 10 ans je le regarderai encore. Pas étonnant pour un Scorsese.
8) Donnie Darko.
Complètement frappé, complètement culte déjà pour beaucoup de monde. Le genre de film qu'il est difficile d'oublier, tout comme le style particulier de son auteur qu'on retrouve dans The Box.
9) Old Boy. (l'ensemble de la Trilogie de la Vengeance)
Le cinéma asiatique nous a lâché un bon paquet de perles depuis 2000 et j'ai pas mal hésité entre la Trilogie Infernal Affair et cette Trilogie de la Vengeance (et les Kim Ki-duk et Wong Kar Wai). Finalement c'est cette
dernière qui l'emporte grâce à Old Boy, véritable upercut à l'époque. Le parfait exemple d'une maitrise totale de la caméra et de son thème. A la fois jouissif et troublant. A compléter avec Sympathy For Mr Vengeance, et Lady Vengeance du même auteur, Park Chan-wook.
10) Avatar.
Même si l'histoire m'a un peu déçu (bien plus consistante en full version), il est indéniable que son succès planétaire, ses prouesses techniques hors normes, son univers incroyablement cohérent et la maitrise de sa réalisation en font une des œuvres les plus marquantes de cette décennie.
Catégorie spéciale: docu
- Planète Terre.
12 épisodes renversants de beauté et d'humilité. Un travail hors du commun qui se ressent à chaque plan, la plupart totalement inédits et stupéfiants. Pas de discours écolo lourdingue; juste un état des lieux de notre planète. Un voyage mémorable et une réalisation inimaginable pour un docu.
Il est évident que beaucoup d'autres films de qualité mériteraient d'être cité dans un top plus longs (Morse, Inception, Memento, 28 jours plus tard, Sunshine, Valse avec Bachir, No Country For Old Men, Garden State, Max & Les Maximonstres, 2 soeurs, Mémoires d'une Geisha, Moon etc...) . Notamment aussi des films français ou espagnols, qui tous les deux se sont bien portés ces 10 dernières années.
Les réalisateurs de la décennie: (pour l'ensemble de leurs œuvres)
1) Clint Eastwood.
Créance de Sang, Mystic River, Million Dollar Baby, Mémoires de Nos Pères, Lettre d'Iwo Jima, l'Echange, Gran Torino, Invictus. Ça calme, tout simplement.
2) Sam Mendes
American Beauty, Les Sentiers de la Perdition, Jarhead, Les Noces Rebelles, Away We go. Un auteur d'une sensibilité toute particulière, et qui fait mouche.
3) Wes Anderson.
La Famille Tenenbaum, La Vie Aquatique, A Bord du Darjeeling Limited, Fantastic Mr Fox. Un humour et un langage cinématographique qui le sorte du lot.
4) Paul Thomas Anderson.
Magnolia, Punch-Drunk Love, There Will Be Blood. 3 films, 3 chef d'oeuvres.
5) Tim Burton.
Sleepy Hollow, La Planète des Singes (:/), Big Fish, Charlie et la Chocolaterie, Les Noces Funèbres, Sweeney Todd, Alice aux Pays des Merveilles (:/). De sacrés ratés mais c'est Tim quoi. Impossible de parler cinéma sans citer son nom, maitrise d'un genre voire d'un mouvement (donnant vie à des Coraline), et j'ai une affinité avec la majorité de ce qu'il fait.
6) Woody Allen.
Escroc mais pas trop, Le Sortilège du Scorpion de Jade, Hollywood Ending, Anything Else, Melinda et Melinda, Match Point, Scoop, Le Rêve de Cassandre, Vicky Cristina Barcelona, Whatever Works. Un style atypique qui me met toujours du baume au coeur.
7) Darren Aronofsky.
Requiem For a Dream, The Fountain, The Wrestler. Si son Black Swan est du même niveau, on approche du génie.
8) Quentin Tarantino/Robert Rodriguez. les inséparables.
Kill Bill, Sin City, Boulevard de la Mort, Planète Terreur, Inglorious Bastards, Machete. Deux uluberlus, dont le cinéma l'est tout autant, mais qui maitrisent et imposent leur vision. Je suis loin d'être toujours d'accord avec ce qu'ils disent, mais difficile pour moi de ne pas être hypnotisé par un film de Tarantino.
9) Hayao Miyazaki.
Mononoke, Le Voyage de Chihiro, Le Château Ambulant, Ponyo. Et ceux qui arrivent à la bourre. D'autres auteurs japonais mériteraient d'être là aussi, mais il n'y a que devant les Miyazaki (et certains Ghibli) que je me sens vraiment comme un gosse.
10) Pixar.
Monstres & Cie, Nemo, Les Indestructibles, Cars, Ratatouille, Wall-E, Là-haut, Toy Story 3. Cette décennie a clairement vu le passage des films d'animation CGI à maturité. Pixar tire son epingle du jeu grâce à une technique toujours en avance mais surtout grâce à leur expertise en matière d'animation et d'écriture. Ils sont aux nouveaux films d'animation, ce que Disney fut le siècle dernier aux DA traditionnels.
Pas loin derrière on peut trouvé David Fincher, David Lynch, Pedro Almodovar, Takeshi Kitano, François Ozon, Jim Jarmusch, Johnnie To, Gus Van Sant, Judd Apatow, Sam Raimi, David Cronenberg, Sofia Coppola, etc...
Les Acteurs de la décennie:
1) Johnny Depp.
Véritable caméléon capable de tout jouer. Soucieux du détails, il est capable de bouger différemment, de s'exprimer différemment, il s'efface derrière ses personnages et ça c'est extrêmement rare. Que ce soit dans Le Chocolat, Desperado 2, Pirates des Carabaibes, Sleepy Hollow, Charlie & la Chocolaterie, Public Ennemies, Sweeney Todd, Blow, etc...ce n'est pas J. Depp que l'on voit. Une pointure à laquelle peu arrivent à la cheville.
2) Brad Pitt.
Un des rares capable de réellement tout faire aussi. Il y a chez lui un véritable sens de l'acting, du tempo, des mimiques. Il crève l'écran à chaque apparition, à tel point qu'il est difficile d'oublier Fight Club, Joe Black, Snatch, Babel, Jesse James, Burn After Reading, Benjamin Button, Inglorious Bastards.
3) Leornardo DiCaprio.
Moins caméléon que les deux précédent, il est tout de même capable de faire des personnages très différents même si on voit toujours l'acteur à l'écran. C'est surtout son perfectionnisme qui se ressent dans son jeu d'une finesse rare. C'est souvent lui qui porte les émotion du film.
4) Sigourney Weaver.
Actrice d'une sincérité étonnante et qui peut tout à fait surprendre. Galaxy Quest, Le Village, Snow Cake, Soyez sympas, Rembobinez, The Girl in The Park, Avatar, cela montre l'étendu de ses choix et de ses possibilités.
5) George Clooney.
Il a beau toujours avoir certaines mimiques il sait rendre ses personnages intéressants et surtout humains. Parfois hilarant (Burn After Reading, O'Brother, Les Chèvre du Pentagone), parfois poignant (Syriana, In The Air). C'est aussi un
excellent auteur (Confession d'un Homme Dangereux, Goodnight & Goodluck).
6) Tony Leung Chiu Wai.
Découvert avec In The Mood For Love, il ne cesse de m'impressionner par sa justesse enchainant des rôles touchants: Hero, Infernal Affairs, 2046, Les Cendres du Temps, Lust Caution, les 3 Royaumes.
7) Justin Long.
Loin d'enchainer les chef d'oeuvres, il n'en reste pas moins un acteur particulièrement bon. Vu dans Idiocraty, Die Hard 4, Zack & Miri, Funny People, Ce que pense les hommes, Jusqu'en Enfer, Trop loin pour toi. Espérons qu'on vienne le chercher pour des films plus intéressants.
8) Tom Cruise.
Je n'aime pas l'homme, mais il faut avouer que l'acteur est assez énorme. Vanilla Sky, Minority Report, Collateral, La Guerre des Mondes, Tonnerre Sous Les Tropiques, Walkyrie, Knight & Day. Il sait faire encore beaucoup de choses, je ne peux que m'incliner.
9) Ewan Mcgregor.
Il ne fait pas toujours des choix judicieux (voire carrément douteux), mais il reste un acteur hors normes capable de tout. Moulin Rouge, Star Wars, Bye Bye Love, Big Fish, The Island, Stay, Le rêve de Cassandre, Les Chèvres du Pentagone, The Ghost-Writer. Il a un jeu très...communicatif ^^.
10) Jim Carrey.
Un grand acteur pour moi (un des plus grand même) depuis déjà longtemps et que je ne peux pas ne pas citer. Cette décennie il aura encore excellé dans Man On The Moon, Fous d'Irène, The Majestic, Les Désastreuses Aventures des Orphelins Beaudelaire, Eternal Sunshine, Le Nombre 23, Yesman, Scrooge, I Love you Philipp Moris.
Je pense aussi à Matt Damon, Robert Downey Jr, Bill Murray, Scarlett Johanson, Ben Stiller, Sam Rockwell, Francois Cluzet, Dujardin (qui s'améliore), Albert Dupontel, Kristine Scott Thomas etc...
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Since 6988 DaysPetit coquinou, va! :D
PS: et pour Jim Carrey, tu oublies de citer Le Grinch. :troll:
:P
Pouf pouf! Observons deux papillons.
Since 6611 DaysThe Legend of Mr Rager
Since 7824 DaysBeau boulot pour le style visuel, on se croirait vraiment 30/40 ans en arrière, chapeau.
J'étais même surpris (étrangement) par l'énormité du baladeur cassette, c'est dire... :p
Tom Noonan, il fait toujours l'affaire pour faire les types flippant/dérangés. ^^
ps: D'ailleurs, la version française est aussi insupportable qu'un doublage de l'époque... je sais même pas si c'est fait exprès, dans cas, c'est pro.. sinon, au secour ! :D
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
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Since 6699 Daysps: Eh merde t'as raison, Le Grinch c'est 2000. Pas glop.
Aure> Ne le cherche pas ^^
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Since 6988 DaysLes esprits chagrins ne verront dans le film de Ti West qu'un film de couloir assez lent mais purée, quelle gestion du crescendo de tension! Quelle précision dans la mise en place du cadre et le découpage (avec une utilisation remarquable du décor principal)! Et puis les dialogues, peu nombreux mais particulièrement incisifs et bien écrits.
Tom Nooman est impressionnant, d'une affabilité et d'une douceur glaçantes! Mary Woronov (Death Race 2000, The Devil's Rejects...) est décadente à souhait dans le rôle de Mrs Ulman. Et Jocelin Donahue est vraiment trop mimie. On a même le droit à un caméo vraiment classe de Dee Wallace, une grande dame du cinéma fantastique (The Hills Have Eyes, Cujo, The Howling, The Frighteners...)
Franchement un putain de film d'angoisse old school.
Pouf pouf! Observons deux papillons.
Since 7824 DaysJ'aime bien Sean Bean, mais n'a pas le charisme et la magnétisme d'un Rutger Haueur doucement fondu qui veut. ^^
ps: Encore une nuit blanche.
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
Since 7824 DaysAimant beaucoup le ciné et les séries anglaises, j'avais vu cet acteur -que j'aimais bien- dans pleins de productions depuis bien longtemps, mauvaise nouvelle...
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
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Since 6699 Days"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Since 6988 DaysSalut l'artiste. :BrassedOffForever:
Pouf pouf! Observons deux papillons.
Since 7288 DaysIf you mess with the King's Queen, you better watch your Ace, Jack.
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Since 6699 Days"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Since 7824 DaysLe doublage français est toujours aussi tordant... "Il faut finir ce film...". :D
Il date de 96 et pourtant, o n dirait un bon petit film nanardesque de 1980.
Enfin, c'est un gentil délire gore dont le meilleur moment est sans doute celui de la babe dans la baignoire. :Q
Je me demande si Jack Forst est plus fort que Hitcher ? Faudrait faire un cross-over !
"T'aime les boules de neige ? "
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
Since 7824 DaysPar contre, le quota de bikini au mettre carré est explosé ! :p
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
Since 7002 Days-
Since 6699 Days"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Since 8039 DaysJe vais faire original, car cette année je me suis tapé tout les classiques Disney, et je dois reconnaitre que la plupart surclassent en intérêt les films des dernières années. D'ailleurs, certains ne portent absolument pas leur âge, +70 ans, en particulier le somptueux blanche neige(1937)!
La belle au Bois dormant : Dessin animé charmant avec les bonnes fées qui mettent de l'ambiance!
Rox et Rouky : Assez simple mais efficace.
Blanche Neige : vraiment superbe, mon préféré. Le final est un peu facile, le prince qui surgit de nulle part, mais le début est une cruauté qui surprend connaissant les Disney moderne, avec l'histoire du coeur que l'assassin doit prélever sur sa victime.
La belle et le Clochard : Un film qui swingue!
Cendrillon.....
Bref un petit régal que je n'aurai peut-être pas réalisé sans ma fille.
Tous ce qui n'est pas donné est perdu!
L'usure tue notre société! L'argent ne doit pas produire de l'argent.
Since 6988 Days...je sais: il m'en faut peu. :P
Rien que pour ça, hop, achat dvd! (enfin... quand il sera à 10 euros. Faut pas déconner non plus ^^)
Pouf pouf! Observons deux papillons.