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Ce ne sont pas moins de 3 gros jeux qu'Ubisoft nous aura offert en cette fin 2020, et après Watch Dogs: Legion et Assassin's Creed Valhalla, c'est au tour d'Immortals Fenyx Rising, une toute nouvelle licence surfant sur le succès d'Assassin's Creed Odyssey, de débarquer sur toutes les machines du marché, y compris la Switch ! Après notre couverture vidéo exhaustive et notre live de vendredi, quoi de mieux pour commencer la semaine qu'une review complète du jeu accompagnée de quelques screenshots maison de la version Playstation 5 ?
Note : About d'une nouvelle vidéo de présentation sur Series X. Elle aurait dû être prête hier mais YouTube et sa lenteur habituelle en ont décidé autrement.

Nouvelle présentation : Quêtes principales et cryptes

Que Zeus t’aime

Cabotin comme personne, Zeus est dans une situation délicate. Voyez-vous, aussi divin soit-il, il a bien besoin de Prométhée pour vaincre Typhon, fils d’Héra, qui a non seulement réussi à s’échapper de sa prison, mais s’est également débarrassé des autres Dieux, et des pouvoirs de Zeus par la même occasion. Problème, le célèbre dieu du ciel et de la foudre a enchaîné le Titan à un rocher du mont Caucase pour le punir d’avoir fait don du feu aux humains. Prométhée lui explique alors que son salut viendra d’une mortelle, et que s’il ne se trompe pas, cela impliquerait que son châtiment soit pour le moins injuste. Il lui propose donc de lui conter l’aventure de Fenyx, une jeune combattante (qui pourra d’ailleurs tout aussi bien être un jeune combattant), celle par qui il espère gagner sa rédemption. Zeus accepte d’écouter son histoire en lui promettant le pardon, mais s’il se trompe, il devra l’aider à battre Typhon lui-même quoi qu’il lui en coûte. Une introduction qui pourrait sembler bien sinistre, mais c’était sans compter sur le ton très décalé de la narration, portée par la voix divine de Lionnel Astier (père d’Alexandre consacré par le rôle de Léodagan dans Kaamelott). Les deux personnages vont donc régulièrement intervenir pour réagir aux événements et intégrer un bon nombre d’anecdotes sur la mythologie grecque, qui va servir de cadre culturel pour illustrer les pérégrinations de Fenyx.

Sur le papier, l’idée est excellente, dans les faits, toutes les répliques ne sont pas toujours totalement convaincantes, avec un manque de naturel qui vient quelque peu saboter certaines tentatives d’humour. Le travail de Lionnel Astier dans Kaamelott ne souffrant d’aucun reproche, on imagine que la direction d’acteur est sans doute à mettre en cause ici, mais gardez à l’esprit que le public jeune sera certainement plus sensible au texte et à la prestation des acteurs et actrices qu’un adulte. Le doublage de certains personnages comme Fenyx ou Aphrodite se veut d’ailleurs totalement dans l’esprit des dessins animés que nos chers bambins regardent à longueur de journée, Mon Petit Poney en tête. On ne veut pas dire par là que la VF est ratée, car ce n’est clairement pas le cas, mais elle ne plaira pas forcément à ceux qui exècrent les programmes pour enfants des chaînes dédiées à la TV. Les prestations de Zeus et Prométhée (très bonne pour ce dernier d’ailleurs) font déjà un peu moins dans ce registre, sans doute pour faire un appel du pied aux grands enfants que nous sommes. Si la sauce ne prend pas toujours comme il le faudrait, nous devons cependant reconnaître qu’elle ne manque parfois pas de piquant. Reste que la narration contée en voix-off fonctionnait tout de même mieux dans les Sables du Temps (du même éditeur), mais dans un autre genre il est vrai. En anglais, le résultat est plus ou moins équivalent, avec un accent grec à couper au couteau en bonus, mais si cette version vous convient mieux, sachez qu’il est possible de jouer ainsi avec les sous-titres en français.

Je te Prométhée feu à la place des armes

Dans sa quête, Fenyx va devoir commencer par sauver 4 Dieux à qui Typhon a donné une nouvelle forme. Pour ne pas risquer d’en dire trop, on évoquera seulement Aphrodite, transformée en pommier et privée de toute son essence, et Athéna, devenue une enfant aussi désagréable que vindicative. En amenant chacune de leur quête à leur terme, vous obtiendrez de leur part plusieurs bénédictions (au nombre de trois), qui octroieront des bonus non négligeables à votre héroïne/héros, comme la possibilité de revenir à la vie en cas de mort prématurée (cela ne fonctionne qu’une fois par tranche de 20 minutes en revanche) par exemple. Au terme des missions visant à rendre toute leur personnalité aux différents Dieux, une crypte divine devra être complétée, celle-ci demandant un minimum d’investissement de temps. Il est d’ailleurs possible d’en sortir et d’y revenir, la progression se sauvegardant régulièrement en leur sein. Comme dans les autres cryptes disséminées sur la carte de l’Ile d’Or, il faudra y résoudre des énigmes et affronter quelques ennemis, le final se terminant par un affrontement contre un boss unique. Ah, on ne l’a pas encore précisé, mais ces fameuses cryptes correspondent en fait aux sanctuaires de The Legend of Zelda: Breath of the Wild. On reviendra évidemment sur les similitudes entre les 2 titres au cours de cet article, mais laissons cela au prochain paragraphe, les cryptes divines proposant finalement une expérience un brin différente, de par leur visuel légèrement différent des autres, mais aussi de par leur taille.

Ceci étant dit, inutile de se voiler la face, Immortals Fenyx Rising emprunte allègrement au modèle instauré par Nintendo. Monde ouvert, cryptes optionnelles permettant d’obtenir des éclairs de Zeus (indispensables pour augmenter sa barre d’endurance), gestion de l’endurance justement, puzzles à base de sphères à faire rouler ou de caisses à placer, visualisation du monde très proche de l’esprit de Breath of the Wild (on voit très distinctement toute la carte dès que l’on prend de la hauteur et il y a des éléments très distinctifs que l’on voit de loin pour se repérer sans même passer par le menu). On pourrait d’ailleurs continuer la liste un peu plus longtemps, en incluant le dressage des chevaux, cerfs et autres licornes, plus simple ici (il suffit d’avancer accroupi et de s’arrêter quelques secondes quand un point d’exclamation apparaît au dessus de la tête de l’animal) ou celle du vol (les ailes de Fenyx remplacent la voile de Link). Si certains crieront au plagiat ou à la pâle copie, nous ne serons pas de ceux-là. D’une part, l’Histoire du jeu vidéo n’est finalement qu’une suite d’influences qui aura toujours servi à améliorer des concepts ou au moins proposer des expériences similaires dans des contextes différents, pour le plus grand plaisirs des amateurs d’un genre. Ensuite, il ne faut pas non plus oublier que les développeurs d’Ubisoft ont également grandement contribué à faire avancer les jeux en monde ouvert, à commencer par le dernier Zelda justement. On laissera donc à chacun le loisir de juger si, oui ou non, il était judicieux de suivre les traces de Breath of the Wild d’aussi près.

Parce que, mine de rien, Immortals Fenyx Rising se démarque aussi assez radicalement de son modèle par certains côtés. Tenez, rien que le système de combat par exemple, libéré de la contrainte d’un équipement fragile et cassable. Bien plus toniques et arcade que ceux du jeu de Nintendo, les affrontements du titre d’Ubisoft optent pour des sensations un brin plus énervées. Le panel d’attaques est certes un peu limité au début de l’aventure, mais une fois les aptitudes divines débloquées ainsi que certains enchaînements, on peut déjà bien plus laisser parler le fer et la magie. L’esquive ressemble à s’y méprendre à celle des derniers Assassin’s Creed, mais dans un contexte moins réaliste, elle passe aussi bien mieux, déclenchant des ralentis quand elle est placée au bon moment, et permettant des contre-attaques efficaces quand on a investi des pièces de Charon (qui faisait traverser le Styx aux défunts contre une obole) dans l’arbre de compétences. Il est aussi possible de contrer les ennemis, à moins que le coup porté soit rouge, d’enchaîner les combos aériens et de faire monter la barre d’étourdissement de ses adversaires pour les mettre KO quelques précieuses secondes. Fenyx dispose de deux armes principales, une épée, pour les attaques rapides, et une hache, capable d’assommer les ennemis au bout d’un certain nombre de coups. Les monstres et démons que l’on rencontre obligent à s’adapter, certains se protégeant avec des boucliers par exemple. Fenyx dispose également de pouvoirs divins, dont la plupart sont offensifs (celui qui lui permet de porter des objets plus ou moins lourds sert aussi dans les énigmes), mais leur utilisation est liée à l’endurance de l’héroïne, qui ne sert donc pas qu’à l’escalade, au sprint ou aux phases de vol. Même s’ils sont parfois un peu brouillons, que la montée en puissance de Fenyx leur enlève un peu de leur finesse parfois, les combats fonctionnent du tonnerre (de Zeus). On aurait toutefois aimé que le changement de cible soit plus réactif car il contraste avec la rapidité et le dynamisme des affrontements. Autre reproche, les adversaires volants ne sont pas très agréables à combattre (comme souvent), l’arc ne faisant pas suffisamment de dégâts pour le rendre intéressant à utiliser (le feeling laissant lui aussi à désirer d’ailleurs). Heureusement, Phosphore l’oiseau de feu s’avère particulièrement efficace pour les attaques à distance. Revers de la médaille, il fonctionne peu ou prou comme une invocation, l’implication du joueur reste donc limitée.

L’idole déjeune

Pour être en mesure de terrasser les démons de Typhon et les animaux infectés par le mal, Fenyx peut évidemment s’appuyer sur un système d’évolution de ses capacités. Au contraire des 3 derniers Assassin’s Creed, qui s’appuient désormais sur des bases RPG très fortes, avec une montée en niveau, Immortals se contente de laisser le joueur acquérir des aptitudes comme bon lui semble, à condition d’obtenir des pièces de Charon, que l’on gagne en s’acquittant des différents challenges mythiques répartis sur la carte du jeu. Ces défis proposent diverses épreuves qui sont soit basées sur la rapidité, sur l’adresse ou sur des énigmes environnementales. Toutes sont vraiment bien pensées, ajoutant un peu de variété à la recette globale. Les défis de constellation par exemple, demandent de dénicher plusieurs sphères bleues dans une zone donnée (parfois assez vaste), chaque sphère nécessitant de découvrir comment l’atteindre. Une fois que vous les avez toutes obtenues, il suffit alors de les placer au sol sur un damier en reproduisant le schéma indiqué devant vous. Les défis d’Ulysse mettront quant à eux votre talent d’archer à l’épreuve, puisqu’il vous faudra diriger une flèche (ce qui consomme de l’endurance) à travers une série d’anneaux jusqu’à pouvoir allumer un feu qui débloquera l’accès à la récompense. Il existe aussi des épreuves de vitesse, où il faut atteindre la ligne d’arrivée dans un temps donné, des jeux de taquins, mais aussi des challenges plus musicaux à base de lyres.

À cela il faut ajouter les coffres (gardés ou non) qui, en plus de renfermer des joyaux de différentes couleurs (jaunes, bleus, rouges et violets), peuvent contenir de nouvelles armes, de nouvelles armures ou de nouveaux coloris pour ces dernières. Non content de permettre à Fenyx de changer de look, ces tenues supplémentaires lui confèrent des bonus passifs aussi divers que variés, à consulter dans le menu du jeu avant de s’en équiper. Casques et armures n’ont donc pas qu’un intérêt cosmétique, et il en va évidemment de même pour les épées, haches et arcs que vous pourrez trouver. Dommage en revanche de retrouver, dans un jeu destiné à un public plus large, des micro-transactions donnant accès à des équipements spéciaux. On aurait déjà trouvé leur présence dans le menu intrusive, mais il est encore plus agaçant d’entendre Hermès vous proposer d’investir quand vous vous rendez au Hall des Dieux, votre quartier général dans le sud de la carte. Un QG vers lequel vous allez revenir régulièrement puisque c’est uniquement là que vous pourrez acquérir vos nouvelles compétences, améliorer votre jauge d’endurance, confectionner vos potions à l'aide des plantes ou fruits ramassés (vie, énergie/endurance, force et défense), les améliorer (moyennant les fameux joyaux que nous évoquions plus haut) et même faire monter votre barre de vie (une fois que vous aurez récolté suffisamment d’Ambroisie dans le monde). On peut également y consulter divers défis (quotidiens ou non), qui donnent eux aussi droit à des récompenses de plusieurs types (joyaux, ambroisie, pièces de Charon), et même changer de look (ou de sexe) à sa convenance. Les chargements étant très rapides sur PS5 et Xbox Series X, le retour au Hall des Dieux ne devient jamais contraignant, même si le choix d’imposer ces voyages peut surprendre aujourd’hui (mais après tout, les Souls le font bien).

Faire danser les diables et les dieux

On pouvait craindre que le choix de rester dans l'univers de la mythologie grecque allait renforcer l'impression de déjà-vu après une bonne centaine d'heures passées dans le monde d'Assassin's Creed Odyssey, mais il n'en est finalement rien. On n'ira certes pas jusqu'à dire que tous les assets utilisés sont tous flambant neufs, mais honnêtement, au delà de la thématique, difficile de voir une réelle analogie entre les deux titres. On y retrouve bien le même système de partage de photos sur la carte du jeu, un menu d'options suffisamment riche pour personnaliser son expérience (jusqu'à l'ajout d'aides pour les différents types de défis disponibles pour les plus jeunes), mais en dehors de cela Immortals Fenyx Rising affiche un visuel et une ambiance bien distincts par rapport à son aîné. Si le design des personnages n'est pas toujours le plus réussi qui soit, les décors sont en revanche sublimes et plutôt variés. L'Ile d'Or jouit sans doute d'une topographie plus jeu vidéo que le monde de Breath of the Wild, avec des biomes bien découpés et aux transitions moins subtiles, mais les environnements traversés n'en sont pas moins superbes. Les couleurs brillent de mille feux, le rendu des matières et des textures est convaincant et l'animation en 60 fps dans le mode Performance est un indéniable plus. À ce sujet, la version Xbox Series n'ayant à priori toujours pas reçu la dernière mise à jour, elle ne souffre pas du problème de stuttering que nous avons constaté sur PS5. Comme nous l'avons découvert pendant notre live, c'est très probablement l'activation de la Vsync dans le jeu qui est venu perturber ses performances sur la console de Sony, la version actuelle tournant sur Xbox étant sujette à un tearing bien visible. Si nous ne nous en étions pas rendu compte plus tôt, c'est tout bêtement parce que nous profitions de la magie du VRR de notre téléviseur CX, qui supprime totalement tous ces effets disgracieux et rend l'expérience de jeu encore plus fluide et plaisante. Le mode Qualité affiche de son côté un 30 fps stable et tout aussi agréable, pour un style de jeu qui ne pâtit pas spécialement d'un framerate un peu plus bas. Chacun jouera donc à sa convenance, et on espère que les futurs jeux next gen continueront de proposer de telles options. Croisons également les doigts pour que Sony rende sa console compatible VRR dans un avenir proche...

Verdict


Même s'il lui manque ce petit supplément d'âme qui l'imposerait comme un peu plus qu'un simple hommage appuyé à la mythologie grecque et à The Legend of Zelda: Breath of the Wild, Immortals Fenyx Rising propose une aventure riche en contenu dans un monde superbe et bien pensé. L'Ile d'Or n'a certes pas la crédibilité du monde d'Hyrule, vous n'y trouverez pas de petits villages mignons peuplés d'habitants rigolos, mais sa générosité en termes d'activités, d'énigmes en tous genre et de détails graphiques pourra largement compenser cet état de fait. Immortals Fenyx Rising est un jeu malléable, qui peut tout aussi bien s'adresser aux plus jeunes qu'aux grands, mais il signe surtout le retour d'Ubisoft dans un registre moins réaliste (et moins sérieux, même si le résultat n'est pas toujours à la hauteur selon nous) et on peut vous dire que cela fait un bien fou. Au delà de l'impression qu'il peut parfois donner de trop copier ses modèles, le jeu des équipes d'Ubisoft Québec propose un très bon divertissement qui donne régulièrement envie d'y revenir pour une petite balade à dos de licorne histoire de résoudre quelques puzzles et d'en découdre un peu avec le bestiaire de la mythologie grecque. À ceux qui voyaient dans le titre une ritournelle proche de "Un Typhon, phon, phon, 3 petits tours et puis s'en vont", il va falloir vous faire une raison, Immortals manque de très peu le titre du "Phénix des hôtes de ses bois". Pour une nouvelle licence qui s'inspire autant de ses pairs, ce n'est déjà pas si mal non ?
  • Les plus
  • Très plaisant à jouer
  • Les cryptes et les défis mythiques
  • Un monde coloré magnifique
  • Bande originale réussie
  • Une aventure pour toute la famille
  • L'inclusion des récits mythologiques
  • Du contenu comme s'il en pleuvait
  • Les moins
  • Rarement drôle
  • Hermès agaçant
  • Comme un petit manque d'âme
  • La dernière MAJ a ajouté du stutter en 60 fps sur PS5

Images maison (PS5 - Mode Performance)

  • GSY Review : Immortals Fenyx Rising - Images maison (PS5 - Mode Performance)
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roreaver
roreaver
Commentaire du 30/11/2020 à 18:44:42
Je trouve la DA tellement atroce, comme rarement dans un jeu... que j'ai du mal à trouver cela beau... Bon après cela a l'air dynamique. Bref cela me donne surtout envie d'une switch pro pour me refaire BOTW en 60 fps 
En réponse à
Blackninja
Blackninja
Commentaire du 30/11/2020 à 19:09:05 En réponse à roreaver


Clairement la DA n'est pas terrible et de plutôt mauvais goût façon Trials.
Le jeu à l'air réglo, à essayer pour 20/30 euros je pense.

Il  me donne surtout envie d'un Kid Icarus New Gen...

En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 30/11/2020 à 19:23:29
La modélisation du monde et sa DA n'est pourtant pas pire que celle de Breath of the Wild... (ou Kid Machintruc d'ailleurs :p).

Après pour le character design, ça je ne dis pas. Même si... faut sortir un peu, c'est le type de DA à laquelle nos enfants sont élevés dans la plupart des dessins animés de TV actuels. Et ce sont eux les cibles principales... :x

Au moins, par rapport à Zelda, il y a une histoire et tous les dialogues doublés (et pas juste à peine la moitié :p). 
En réponse à
Piteur_Parcoeur
Piteur_Parcoeur
Commentaire du 30/11/2020 à 20:37:21
Y'a une coquille dans le titre, manque le X à Fenyx
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 30/11/2020 à 21:07:30 En réponse à Piteur_Parcoeur
Merci, c'est un peu compliqué en ce moment de tout gérer. :)
En réponse à
Blackninja
Blackninja
Commentaire du 01/12/2020 à 04:37:35 En réponse à Driftwood
En gros tes gosses sont habitués à regarder de la merde donc pourquoi arrêter hein?^^
Quand à l'histoire doublée hmmm... vu les reviews on s'en passe largement...
Bref un Zelda du pauvre version Fortnite qui essaye de repomper sur un peu tout ce qui existe sans rien inventer.
En réponse à
cryoakira
cryoakira
Commentaire du 01/12/2020 à 09:52:46 En réponse à Blackninja
Posté par Blackninja
qui essaye de repomper sur un peu tout ce qui existe sans rien inventer.
C'est marrant, c'est l'exacte description de Zelda BoTW qui plait tant...

Et à sa décharge, ce n'est pas le seul hein, c'est juste 99,99% de la production et cela n'empêche pas d'avoir des trucs que l'on aime.
En réponse à
MadPchhit
MadPchhit
Commentaire du 01/12/2020 à 09:54:16 En réponse à Blackninja
Tu veux dire plus zelda du pauvre que zelda botw lui même?
Moi je trouve que botw sans aucun scénario fait plus fortnite que ce Immortals. 
Ne pas impliquer les gamins dans une oeuvre avec une histoire, ils doivent être trop stupide pour comprendre. Non le mieux, c'est d'allumer sa console, faire un petit sanctuaire comme on fait rapidement une partie sur fortnite et voilà.

Juste pour rire voilà les points négatifs d'un test pris complètement au pif (jeuxactu) :

- Une mise en scène désuète
- On aurait aimé plus de profondeur dans les combats 
- Un manque de narration pour les quêtes annexes
- Le chara-design, pas toujours convainquant
- Attention à la surdose d'énigmes
- Une direction artistique qui a tendance à se répéter
- Toujours la même structure typique d'Ubisoft


A part le chara design du héro où je suis, il fait soit pareil que botw soit il a cherché à améliorer la formule (combat/scénarisation).
Il se tape un 15, botw se tape un 19. va comprendre (enfin j'ai compris c'est marqué zelda sur la boite). 
Ca fait cher pour une DA ratée du héro
En réponse à
Ricochette - La Vouvoyeuse
Ricochette
Commentaire du 01/12/2020 à 10:15:57
Même si je ne pense pas le faire, moi je trouve le jeu beau et original.
Je ne suis pas adepte du style Nintendo en général mais là, pour ce jeu, je ne vois pas le style Nintendo.
Alors je suis consciente que je connais très mal Nintendo hein ! Et je juge ce jeu simplement sur ce que je connais.
En réponse à
Luffy
Luffy
Commentaire du 01/12/2020 à 10:54:18
Le manque d'âme. La marque des jeux Ubisoft depuis un moment.
Cela étant, je vous rejoins quant au fait qu'emprunter des systèmes de jeux vus à droite ou à gauche est quelque chose de récurrent dans le jeu vidéo, pourvu que ce soit bien fait.
Il faut aussi savoir reconnaître ses influences, et j'ai pu voir une interview d'un des développeurs qui a du mal à admettre le côté BOTW... C'est moyen quand même...
Cela étant dit, il me fait de l'oeil quand même ce jeu, aimant beaucoup la mythologie grecque, mais pas au prix fort.
Quant à l'humour, j'aurai préféré qu'ils fassent appel à l'équipe de Gamersyde pour l'écriture 
En réponse à
Dazman - Stade Falloir
Dazman
Commentaire du 01/12/2020 à 10:58:22
Bah moi j'aime beaucoup mais je me suis promis dans cette gen d'arrêter d'acheter pleins de jeux day one et n'en faire que quelques %

Donc ça sera plus tard, moins cher. 
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 01/12/2020 à 11:22:29 En réponse à Blackninja
L'histoire est toujours bien meilleure que celle du dernier Zelda, et au delà de l'histoire il y a toutes les histoires/anecdotes qui font référence à la mythologie grecque. C'est un effort déjà nettement plus conséquent que celui de Nintendo côté narratif, et pour des enfants (la cible) c'est tout à fait sympa. 
En réponse à
YukiNoSai
YukiNoSai
Commentaire du 01/12/2020 à 11:23:48
Quelques environnements sont assez jolis, mais les animations (que ce soit la course, les combats etc) et ce bordel constant lors des affrontements c'est juste un grand non. J'ai commencé la vidéo, j'en suis à tout juste une heure, ça se regarde bien en revanche ^^
En réponse à
Blackninja
Blackninja
Commentaire du 01/12/2020 à 11:35:39
Après je critique mais je déteste le dernier Zelda (contrairement aux warriors qui sont d'enfer) qui n'a de Zelda que le nom ...
#OOTforev3r
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 01/12/2020 à 11:40:42
Je sais bien que tu ne l'as pas aimé. Moi si, même si je ne comprends pas en quoi il a autant révolutionné un genre dont il a pourtant quasi tout emprunté ailleurs. J'ai aimé explorer son monde, j'ai apprécié son univers, mais ni son système de combat avec les armes qui s'abîment ni sa paresse narrative (aussi bien dans l'écriture que dans l'absence de doublage sur la moitié des dialogues du jeu - une honte pour une firme qui roule autant sur l'or). Cela ne m'a pas empêché d'y passer des centaines d'heures. Bien que brouillon, le système de combat de Fenyx est finalement plus satisfaisant et plus amusant, mais il est dommage qu'ils aient loupé le coche sur l'écriture (pour que ça fonctionne aussi avec des adultes). C'est pour cela que j'aurais bien voulu voir un Alexandre Astier ou un Chabat aux commandes de l'histoire. :)
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GTB - Acapello
GTB
Commentaire du 01/12/2020 à 11:49:06
Que ce soit BOTW ou ce Fenyx, aucun des 2 ne fera l'unanimité. Chacun tente son approche (la narration dans BOTW n'était pas le propos). Pour l'instant le jeu oscille entre 77 et 82 de metamoyenne. Donc dans la catégorie bons jeux. Il a des arguments qui parlent de toute évidence. Moi je trouve la DA plutôt jolie. Certes criarde, mais joli. Par contre le monde semble manquait d'un petit quelque chose; peut-être de vie, ou d'un level-design plus inspiré, je ne sais pas exactement.

Au fait drift, alors cette fichue 3ème dent? ^^
En réponse à
Blackninja
Blackninja
Commentaire du 01/12/2020 à 12:37:40 En réponse à Driftwood
Pour moi j'ai aimé les 50 premières heures de Zelda (ce qui est déjà énorme dans l'absolu) et parcourir la map (même si bien vide), c'est effectivement le reste qui cloche comme tu le dis.
Enfin pour terminer sur une note positive je kiffe vraiment le dernier AC (malgré ses combats brouillons).
Simple depuis Witcher 3 je n'ai pas autant apprécié un open World (Xenoblade 2 ne compte pas).
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roreaver
roreaver
Commentaire du 01/12/2020 à 16:12:42 En réponse à Driftwood
Posté par Driftwood
La modélisation du monde et sa DA n'est pourtant pas pire que celle de Breath of the Wild... (ou Kid Machintruc d'ailleurs :p).

Après pour le character design, ça je ne dis pas. Même si... faut sortir un peu, c'est le type de DA à laquelle nos enfants sont élevés dans la plupart des dessins animés de TV actuels. Et ce sont eux les cibles principales... :x

Au moins, par rapport à Zelda, il y a une histoire et tous les dialogues doublés (et pas juste à peine la moitié :p). 
Je trouve effectivement que les personnages sont le plus gros soucis ... Mais même les couleurs criardes des décors me gênent... Pour ce qui est de la référence aux dessins animés... Pas sûr qu'il faille donner de la merde aux gamins parce qu'ils sont habitués... Bon je grossi le trait effectivement mais tout de même. 


Après je parle pas de la narration qui est peut être très sympa. Mais ce copié collé avec une DA moins bonne (pour être poli) me gêne tellement. Bon vais arrêter je crois que tout le monde à compris. 
En réponse à
Trymon
Trymon
Commentaire du 03/12/2020 à 08:26:37
Le jeu me fait penser à Kaméo, qui faisait partie du line-up de la 360. Downloadé cette nuit, et je me lancerai en anglais une fois terminé Gears tactics.
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 03/12/2020 à 10:16:23 En réponse à Trymon
Kameo qui avait lui aussi une DA très criarde et grossière qui lui vaudrait aujourd'hui toutes les remarques désagréables que s'est pris Fenyx à ce niveau. :x
En réponse à
Trymon
Trymon
Commentaire du 03/12/2020 à 10:54:24 En réponse à Driftwood
Mais ça faisait tellement bien face à tous ces jeux qui baignaient allègrement dans la mode du gris/marron/kaki (Le premier Gears par exemple)
En réponse à
Dazman - Stade Falloir
Dazman
Commentaire du 03/12/2020 à 10:56:20
Ho un Trymon, ça faisait longtemps :) J'espère que tu va bien ! 
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 03/12/2020 à 11:17:12 En réponse à Trymon
Ben ici, c'est presque pareil. ;)
En réponse à
Trymon
Trymon
Commentaire du 03/12/2020 à 12:10:27 En réponse à Dazman
Oui, ça va ! Je me suis dit qu'avec la sortie de la series x, il était grand temps que je renoue avec vous. Je ne joue plus en multi (c'est toujours difficile de savoir en avance quand je me peux me permettre de jouer et pour combien de temps), mais toujours beaucoup en solo.
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 11/12/2020 à 08:00:51
Pour info, le stuttering a été corrigé dans la dernière mise à jour sur PS5. Du coup, le mode performance est de nouveau parfaitement fluide (et à priori sans tearing). :)
En réponse à
A propos du jeu
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    Driftwood @GTB: c'est tout aussi gênant que l'histoire du généreux press kit envoyé à certains. Je ne suis hélas pas surpris, les jeux de sport semblent taillés pour cela aujourd'hui on dirait... (il y a 9 Heures)

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    face2papalocust @GTB: A vomir. (il y a 1 Jour)

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    GTB Pour info, toutes les features online de TopSpin'25 ne seront assuré que jusqu'à fin 2026. (il y a 1 Jour)

  • comette

    comette La série et bonne rien à dire (il y a 1 Jour)

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    Soda Déjà 65 millions de téléspectateurs pour la série Fallout ! Je recommande ;) (il y a 1 Jour)

  • reneyvane

    reneyvane @Driftwood: LoL. Le RPG de survie "Bellwright" est dispo en AccèsAnticipé +INFO= [url] (il y a 3 Jours)

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    Driftwood Il est de nouveau possible de télécharger les vidéos sur le site. Désolé pour le mois et demi de panne. (il y a > 3 Mois)

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    Driftwood Retrouvez notre review de Rift Apart dès 16h00 aujourd'hui, mais en attendant Guilty Gear -Strive- est en vedette en home ! (il y a > 3 Mois)

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    Driftwood Le live commence d'ici 30 minutes, voici le lien GSY [url] et celui de Twitch [url] (il y a > 3 Mois)

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    Driftwood Nouveau live sur Returnal à 14h30 aujourd'hui. (il y a > 3 Mois)

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    Driftwood Rendez-vous à 17h00 pour un direct de 40 minutes sur Returnal (il y a > 3 Mois)

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