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Since 6607 DaysLe monde est dangereux à vivre, non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. A.Einstein
Since 7820 DaysToutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
Since 6607 DaysLe Japon, des types en costards cravates qui achètent des petites culottes usagées :D
Quelques allusions aux Romans de Crichton, etc... en général les pensées complètement déjantées de Matt Damon m’ont fait bien rire. Par contre c’est assez compliqué à suivre comme film... Mais on s’y retrouve, La fin est plutôt prévisible étant donné la personnalité du personnage. Bref un film sympa, mais pas indispensable, loin de là, j’ai même failli décrocher avant le dénouement.
Voir Buster (Arrested Development) en avocat j’ai trouvé ça bizarre... :D
The Box
No Exit
Richard Kelly nourrit ‘The Box’ de ses penchants prononcés pour les quêtes existentielles. Ses obsessions scénaristiques, qui ont fait de ‘Southland Tales’ une véritable curiosité, sont ici explorées et sublimées avec génie. Le réalisateur confirme l’esquisse de sa personnalité hybride en se réappropriant quelques morceaux choisis de l’imaginaire collectif. ‘The Box’ sonde nos angoisses primitives les plus refoulées. Richard Kelly ne manifeste aucunement l’intention de se consacrer à un hommage solennel ou un recyclage compulsif de la culture populaire, mais choisit de montrer les nuances de l’esprit humain. ‘La Quatrième Dimension’ n’est pas loin. La subtilité réside dans la distillation des citations et dans l’impression d’assister à un spectacle mythologique universel, et luxuriant. Conteur visionnaire, le cinéaste conjugue écriture et mise en scène, classicisme et grandiloquence. Chaque scène fait basculer le thriller vers de la science-fiction métaphorique et poétique. Les dialogues de sourds emplis de culpabilité (Cameron Diaz et James Marsden sont étonnants), la luminosité anxiogène d’une pièce et les jeux de miroirs créent un suspense magnétique. Oeuvre folle en constante mutation, ‘The Box’ provoque une admirable ivresse.
Par contre je regrette de ne pas savoir ce qu'il se passe lorsque l'on n'appuie pas sur le bouton
Voilà pour ma soirée cinéma ;)
Le monde est dangereux à vivre, non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. A.Einstein
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Since 7279 Days"A bloc, à toc, à fond d'cinq, à fond d'six"
Kiemsa
Since 6830 DaysChoisissant le Vide comme Voie, vous verrez la Voie dans le Vide
Since 7260 DaysJ'ai pas les même gouts que vous ? Et Alors ?
Since 7089 DaysTeam Ninja Forever !
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Since 7820 DaysJ'adore les monologues "intérieurs" du personnage de Damon ! :D
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
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Since 8032 Dayspas de pied, pas de cheval
Since 6607 DaysLe monde est dangereux à vivre, non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. A.Einstein
Since 6607 Days"Walter, just stand outside so Chief can translate my Iraqi ass map... okay?"
Je viens de tomber sur ce film de 1999 qui m’a fait penser à Battlefield Bad Company :
«Quatre soldats, Archi, un béret vert, Troy Barlow, un jeune idéaliste, Elgin et Conrad Vig, déçus et frustrés par l'aboutissement de la Guerre du Golfe, cette guerre high-tech aux allures de jeu vidéo, décident de prendre une petite revanche. Ils concluent qu'ils méritent bien une petite compensation et montent hâtivement une expédition secrète en vue de récupérer une partie des lingots volés par Saddam Hussein au Koweit. Au cours de leur étrange périple dans le désert irakien, les quatre aventuriers découvrent pour la première fois le vrai visage de la guerre.»
Seuls comptent les incidents de parcours, zigzags et télescopages. Le chaos semble être l'élément naturel de David O. Russell. Il manipule avec brio le gag de cartoon. Un salubre mauvais esprit souffle souvent sur ce film brillant, tordu, roublard à l'occasion, bourré d'une énergie explosive. George Clooney, Mark Wahlberg, Ice Cube et Spike Jonze sont très bons dans leurs rôles de Marines.
Edit : Par contre VO obligatoire...
Le monde est dangereux à vivre, non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. A.Einstein
Since 6886 DaysSounds like...his heart...couldn't beat it. YEAAAAAAAAAAAH !
Since 7089 DaysTeam Ninja Forever !
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Since 7279 DaysAutre exemple de film qui a son truc à lui, que personnellement j'adore :
C'est pas un grand film, c'est pas un blockbuster, mais je le trouve excellent.
"A bloc, à toc, à fond d'cinq, à fond d'six"
Kiemsa
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Since 6696 Days"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Since 6886 DaysEt puis, BO du film magnifique ! http://www.youtube.com/watch?v=-yBNKtXRoYs , et la scène finale est toujours aussi prenante.
Sounds like...his heart...couldn't beat it. YEAAAAAAAAAAAH !
Since 6607 DaysSynopsis : «Mouna, divorcée et mère d'un adolescent, est une femme palestinienne enthousiaste et optimiste. Au coeur des territoires occupés, le quotidien est pourtant éprouvant et l'horizon morose. Et puis un jour, quitter cette vie et aller travailler aux Etats-Unis devient possible : étrangère en son pays, Mouna peut bien l'être ailleurs. Elle part alors avec son fils Fadi rejoindre sa soeur installée depuis 15 ans au fin fond de l'Illinois. Après le réconfort des retrouvailles, Mouna et Fadi vont devoir trouver leur place dans cette "Amreeka" tant rêvée. Mais les Etats-Unis, partis en guerre contre le "diable" Saddam, ont une bien étrange conception de l'hospitalité. Il en faudra davantage pour freiner Mouna dans sa quête d'une vie meilleure...»
Censée être un havre de paix, la patrie de la démocratie et de la tolérance se révèle être une terre hostile et difficile. Entre désir d'un futur radieux et volonté d'intégration, cette femme va se démener pour entretenir l'espoir d'une vie meilleure en travaillant dur. Dans ce sens, on assiste à une belle intrigue, touchante et humaine à la fois. D'ailleurs, on reste happé du début à la fin. En effet, ce long-métrage a l'énorme avantage de tenir l'attention du par le charme de cette histoire réaliste et passionnante. Intenses et bien rythmées, les péripéties se suivent avec brio. Les personnages plus qu'attachants. Quant aux acteurs, ils sont époustouflants de justesse et de conviction, en particulier Nisreen Faour qui est très convaincante. Coup de chapeau à la réalisatrice, Cherien Dabis, qui signe ici une œuvre pleine de courage, prenante et très méritante. Au final, "Amreeka" est un film émouvant et poignant qui vaut vraiment le détour. Et puis, la situation étant de plus en plus la même en France, ce film m’a d’autant plus touché. Evidemment cela est subjectif, mais si ce film permet d’éviter certains amalgames et préjugés «raciaux» c’est une bonne chose que les gens le voient en sachant, que d’un certain point de vue (le mien et celui de ma famille par exemple), il colle parfaitement à la réalité Américaine, et aujourd’hui Française. Et si je cache ça c’est évidemment que ça n’a rien à faire sur le topic cinéma :D «I love France »
@Zorgalouf : Je vais essayer de le louer voir ce que ça donne.
@GTB : Ouais beh je connaissais pas du tout, je m’attendais à une comédie sans plus sur fond de guerre du Golfe et puis finalement j’ai vraiment adoré le ton du film.
Ah et désolé si je flood un peu trop le topic cinéma en ce moment, c’est juste que je fais plus rien et j’essaye de pas perdre la main :D
Le monde est dangereux à vivre, non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. A.Einstein
Since 7432 DaysQuand on tire, on raconte pas sa vie.
Since 6984 DaysConfiés à des studios d'animation aussi prestigieux que 4°C, Production I.G. et la Toei Animation (entre autres), les sept court-métrages de ce film omnibus ont fait l'objet d'un grand soin et d'une approche passionnée là où, personnellement, j'attendais un projet uniquement motivé par des préoccupations d'ordre mercantile.
Les sept segments adoptent des styles visuels (2D ou 3D, stylisation graphique prononcée ou "trait" classique...) et des registres différents mais tous intéressants et développant l'univers d'Halo de façon souvent originale et toujours intéressante, même pour ceux qui, comme moi, ont abordé cet univers en dilettante.
Mention spéciale au travail de Production I.G. et de Mamoru Oshii sur "Le Duel" qui met en scène l'Arbiter et présente le code d'honneur des Elites dans un style visuel mêlant l'image de synthèse et l'estampe japonaise. Si la tonalité des récits est globalement sombre voire mélancolique (surtout celui s'intéressant à la "fabrication" et l'entrainement des Spartans) on a quand même le droit à un épisode méchamment délirant signé Toei Animation qui opère un croisement hilarant entre Halo et Dragon Ball.
L'édition Dvd s'avère très soignée et propose son lot de suppléments intéressants dont une featurette très "pédagogique" qui fait le point sur l'univers d'Halo dans sa globalité et permet ainsi aux béotiens de saisir le contexte scénaristique de chacun des segments. Pour le reste, on a le droit à de courts making of et des commentaires audio qui, s'ils ne parviennent pas toujours à s'affranchir d'un discours promo franchement dispensable, témoignent néanmoins de la somme de travail et du sérieux à l'œuvre dans ce projet.
Une excellente surprise et un investissement indispensable pour les fans comme pour les amateurs d'animation japonaise de qualité.
"Le rêve est un tunnel qui passe sous la réalité. C'est un égout d'eau claire, mais c'est un égout." Pierre Reverdy
Since 7182 Days
Since 7820 DaysNous vous remercions de votre compréhension. ^^
Avertissement.
Toutes les brutes peuvent se faire obéir, mais seul un gentleman peut se faire respecter.
Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant.
Since 6607 DaysLe monde est dangereux à vivre, non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. A.Einstein
Since 7182 DaysQuel film en tout cas!