Elidjah @GTB: J'attends la version Xbox dans les mois qui viennent (il y a 5 Jours)
GTB @Elidjah: Curieux de voir s'il me fera encore plus d'effet que FF7 Rebirth, qui est bien parti pour rejoindre mon top 5 all time. (il y a 6 Jours)
Elidjah @face2papalocust: Objectivement, depuis Clair Obscur, j'ai suis bcp plus critique avec les jeux. Quand on voit la classe de Clair Obscur, j'ai du mal avec les propositions moyennasses actuelles. (il y a 6 Jours)
reneyvane @Flash_Runner: Tu as raison, c'est un événement avec une belle énergie, des jolies choses et beaucoup d'espoirs, autant regarder ça aussi avec ses yeux d'enfants et pas tout critiquer. (il y a 6 Jours)
face2papalocust Ah punaise la gifle Clair Obscur même quand t'es prévenu tu t'en prend une.<3 (il y a 6 Jours)
Driftwood Il est de nouveau possible de télécharger les vidéos sur le site. Désolé pour le mois et demi de panne. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Retrouvez notre review de Rift Apart dès 16h00 aujourd'hui, mais en attendant Guilty Gear -Strive- est en vedette en home ! (il y a > 3 Mois)
Driftwood Nouveau live sur Returnal à 14h30 aujourd'hui. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Rendez-vous à 17h00 pour un direct de 40 minutes sur Returnal (il y a > 3 Mois)
Y a du bon dans la filmo de Michael J. Bassett: Deathwatch et Wilderness sont de chouettes horror-flicks.
Je pense qu'on n'est pas à l'abri d'une bonne surprise. Et on peut être quasi certain que, contrairement à Gans, Bassett n'oubliera de mettre la pression à ses spectateurs.
"Choisir c'est renoncer." André GIDE
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Je dis pas que c'était parfait, mais c'était de loin la meilleure et la plus respectueuse adaptation de jeu vidéo que j'ai vu. Après oui, il y avait des défauts. Mais j'avais quand même bien pris mon pied au ciné.
Everyone is gay for Bridget
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Pour ceux qui aiment le genre Ong Bak (d'ailleurs c'est par les créateurs de Ong Bak) et compagnie, je ne dirais qu'une chose "mattez le" car purée ça déménage, vraiment des tarés les mecs....brrr que ça fais du bien, ça donne la pêche :)
Everyone is gay for Bridget
Le réalisateur a alors trouvé la parade : retourner aux sources de Batman begins et recentrer ce blockbuster sur le parcours de son héros Bruce Wayne, toujours aussi tourmenté par la perte de ses parents. Une émotion palpable parcourt en effet le film de bout en bout, se permettant, entre deux explosions, des scènes intimistes avec ses personnages. Confronté à Bane, un véritable roc contre lequel Batman ne peut plus rien, et le cuisant échec de sa soif de justice dans le précédent opus, Bruce Wayne apparaît comme un héros plus faible que jamais. Et le film de nous montrer sa progressive renaissance, aussi bien psychologique que physique. Une première dans un film de super-héros qui a plutôt tendance à les glorifier. Ces moments qui voient les personnages confrontés à la perte de leurs idéaux contribuent beaucoup à l’attachement de l'oeuvre, jusque dans ses dernières minutes, appuyés par de nombreuses références aux précédents films, sans vouloir jouer sur la corde nostalgique, mais en cherchant à renforcer une nouvelle mythologie initiée il y a huit ans par le reboot.
La comparaison avec The dark knight s’arrêtera là. Car c’est un fait : Bane n’est pas le Joker. Et malgré la présence physique qu’impose Tom Hardy et son discours politique pour provoquer la révolte du prolétariat, il lui manque indéniablement les fulgurances provoquées par Heath Ledger qui traversaient le précédent film. Une absence cruelle de force anarchique qui offre un gros ventre mou à mi-parcours du film, renforcé par les éternels manques de rythme de Christopher Nolan. Il est même difficile de trouver avec ce méchant un morceau de bravoure qui égale celui du deuxième opus (on pense à la scène de l’interrogatoire). Comble du comble, l’affrontement tant attendu entre les deux titans peine à venir, et manque d’intensité au moment crucial (l’absence de musique se révèle un choix plutôt douteux).
Parmi les nouveaux venus dans l'univers de Batman, Bane n'est pas le seul à nous laisser sur notre faim. L’introduction de Catwoman, reléguée comme on le craignait à une simple sidekick du super-héros, souffre trop de la comparaison avec celle de Michelle Pfeiffer dans le Burton. Toutefois, il faut reconnaître à son interprète, Anne Hathaway, sa capacité à tirer son épingle du jeu lors des trop rares confrontations avec Wayne-Batman. De quoi effectivement donner envie de la voir à l'oeuvre dans un spin-off.
Du côté de la mise en images de l'action - un secteur très décrié chez le cinéaste -, Nolan continue de faire le mauvais élève et semble même regresser tant aucune séquence de ce troisième opus n'arrive à la cheville de l'ouverture magistrale du Dark Knight ou de la poursuite en voitures nocturne dans les rues de Gotham. Et ce n'est pas l'utilisation plus que poussive et peu imaginative de la Batwing qui viendra booster le cours d'un récit sans grande ampleur de ce côté-ci. Il faudra attendre la course poursuite finale, en dépit d’un enjeu assez banal pour un blockbuster, pour que le film retrouve son rythme trépidant et relie d’une façon assez classe la saga cinématographique à la mythologie de la bédé.
Malédiction du troisième et dernier opus oblige, TDKR n’est donc pas l’apothéose attendue et souffre encore trop de la comparaison avec ses prédécesseurs mais apporte une conclusion humaine à la saga de l’homme chauve-souris qui restera comme une (et non LA) référence en terme d'adaptation de super-héros. A Zack Snyder de reprendre le flambeau avec l'autre fer de lance de DC Comics, un certain Superman.
Veni, vidi, Vita.
Mon VRAI blog JV : http://vgxdr.blogspot.com/
Une autre critique largement plus enthousiaste cette fois, par le Figaro :
Après s'être offert l'extraordinaire parenthèse créative d'Inception, Nolan revient à Batman. En 2012, avec le troisième et dernier volet de sa trilogie The Dark Knight Rises, il boucle sa boucle.
Dans le précédent film, poursuivi par une meute de chiens policiers, Batman était redevenu l'ennemi public numéroun de Gotham City, un hors-la-loi banni de la ville. Afin de garder intacte l'image de probité de l'ex-procureur Harvey Dent (en réalité le supervilain Double-Face) modèle d'honnêteté pour les citoyens de Gotham City, le Chevalier noir avait endossé les crimes de Dent et avait été chassé de la ville par les autorités…
The Dark Knight Rises reprend le fil interrompu de l'histoire huit ans plus tard, alors que Gotham City est de nouveau une ville sûre. Le commissaire Gordon (Gary Oldman), toujours aux aguets, met au jour un complot qui vise à détruire la ville de l'intérieur. Il tente alors de recontacter Batman (Christian Bale, imposant). Mais ce dernier a pris sa retraite, vivant comme un reclus dans son manoir, assisté comme toujours par son majordome Alfred (toujours impeccable Michael Caine). Alfred n'a d'autres distractions que de s'offrir une fois l'an un séjour à Florence, où il déguste à la terrasse d'un café un Fernet-Branca, une liqueur amère au goût inimitable, forte de 42°, bref, une boisson puissante pas vraiment destinée aux fillettes.
Pourtant, c'est une chatte qui va déclencher l'intrigue. La mystérieuse Selina Kyle/Catwoman (Anne Hathaway, ambiguë à souhait) remet en selle Batman en piquant autant sa curiosité que le collier de sa mère, ainsi qu'une empreinte de pouce de Bruce Wayne. Et pourtant, parfois, une empreinte suffit pour qu'un empire s'effondre… Batman va devoir sortir de sa tanière et affronter Bane (musculeux Tom Hardy), un puissant adversaire mortel, mercenaire et terroriste, qui veut mettre en pièce le symbole de Batman au nom d'une révolution qui n'a rien d'idéaliste.
Une intro plus forte que celle d'un grand James Bond
Que dire de ce troisième volet des aventures de Batman sinon qu'il surpasse toutes les attentes! D'emblée, le réalisateur Christopher Nolan enclenche une haletante course contre la montre cinématographique et embarque les spectateurs avec lui comme un seul homme… À l'image de la séquence d'introduction aérienne, originale, osée, jamais vue, en un mot, plus forte que celle d'un grand James Bond.
Filmée en Afrique du Sud, cette scène d'action à couper le souffle se veut un concentré des thématiques du dernier chapitre de la Trilogie Batman signée Nolan. Il est beaucoup question d'effondrement, d'embrasement et d'explosion dans The Dark Knight Rises. Avec ce grand final, Nolan s'offre un feu d'artifice réussi qui laisse pantois d'admiration.
Quasi mythologique
Car autant Batman Begins (2005) revisitait avec brio le cheminement initiatique et légendaire du «Chevalier noir» créé par Bob Kane en 1939, autant The Dark Knight (2008) était clairement une œuvre de la démesure, surgie du chaos, dominée par l'interprétation hallucinée du Joker (le regretté Heath Ledger). Avec The Dark Knight Rises, au contraire, le réalisateur d'Inception réunit toutes les pièces d'un puzzle narratif patiemment mis en place depuis sept ans. Il les rassemble en une fresque époustouflante, un digne triptyque cinématographique quasi mythologique.
C'est sans doute pour cela que le film fait montre d'une incomparable fluidité narrative, d'une profondeur thématique certaine (terrorisme et crise financière de 2008 sont au centre du film), et d'une belle épaisseur psychologique pour tous les personnages qu'il met en scène. Et comme pour les deux précédents volets, le cinéaste britannique ne fait pas un film de superhéros. Il élargit la focale. Et tourne la moitié du film en Imax.
Parmi les nombreuses images fortes qui se succèdent tout au long du film, on retiendra celle du stade sportif de Gotham City. Cette séquence voit les joueurs de football américains courir à perdre haleine tandis que le sol se dérobe brutalement sous leurs pieds. Un seul arrivera à bon port. Et se retournera pour contempler les dégâts. Et s'il s'agissait de Christopher Nolan lui-même? Avec ce film de superhéros atypique et flamboyant, il est clair qu'il fait la course en tête.
En comparaison, les Avengers et The Amazing Spider-Man apparaissent comme des divertissements certes enlevés, frais et pétillants, de la petite bière rafraîchissante, mais qui n'a rien à voir avec ce nectar corsé, intense et fort, avec ce léger trait d'amertume que nous sert Nolan. Serait-ce cela le goût du Fernet-Branca?
Veni, vidi, Vita.
Je préfère m'attendre à une déception et être plus que agréablement surpris que le contraire donc...je pense que je vais voir un film assez naze ;)
Veni, vidi, Vita.
"Ne prenez pas trop au sérieux la vie, personne n'en sort jamais vivant." Elbert Hubbard
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Va sur ton topic et laisse nous entre gens civilisés FAUX NINJA VA^^
C'est dans 6 jours et j'ai déjà le fond de la gorge qui me titille comme si j'avais bouffé pour 10. Quelle campagne lourdingue! Elle arrive à pourrir un film qui pourtant s'annonce pas dégueulasse.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
http://www.youtube.com/watch?v=g0ffCICQ-bU&feature...
:p
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Je trouve ce genre de fusillade vraiment très moche et bien trop traité comme un fait divers. T’emmène ton gosse au ciné et tu reviens sans parce qu'on laisse rentrer dans un ciné un mec en gilet pare-balle, d'un fisul, de deux armes de poing et gavé de grenades fumi. Normal quoi, tous les américains ressemblent à ça -_-'.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Ah lala, l'American Dream. :D
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Spray and pray !
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I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams
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