Le Tokyo Game Show étant passé, et le séjour au Japon derrière nous, le grand tyran BlimBlim m'a ordonné de rédiger un petit compte-rendu de notre expédition dans ces terres orientales. Le TGS, vous en avez déjà eu jusqu’à plus soif, on va donc plutôt se concentrer sur le reste : la vie à Tokyo.
Ce qui suit n’engage que moi bien sûr, et je vous rappelle que, gamersyde oblige, vous n’avez pas le droit de ne pas être d’accord. Au fait, beaucoup de blabla au début, plus d’images sur la fin.
Passons sur les 12 heures de vol nécessaires pour se rendre sur place, mais Gamersyde roulant sur l’or, la première classe nous tendait les bras. Blague à part, mes grandes jambes et moi étions bien contents de toucher le sol japonais. Après un contrôle (empreintes digitales et photo, tête de déterré oblige), puis un deuxième, voire un troisième, nous voici dans le train qui va nous emmener de l’aéroport de Tokyo-Narita jusqu’au cœur de Tokyo. J’allais oublier : le train est bien entendu nettoyé de fond en comble avant que nous puissions monter dedans. Bah oui, tout est propre à Tokyo : les rues, les métros, les gares, les centres commerciaux... rien ne traine par terre.

On se trouve quand-même à 1h30 de train de Tokyo, un peu à la campagne. Après une demi-heure de trajet, la ville commence à nous rattraper. Petit à petit, les maisons se transforment en immeubles, les immeubles en grandes tours, et les grandes tours en gratte-ciel. Au bout du trajet, pas de doute, on est bien à Tokyo : immeubles géants, écrans de pub immenses, des panneaux dans tous les sens, des gens partout, des voitures qui roulent à gauche… Bref, direction l’hôtel, assez facile à trouver : il se trouve à côté du Sunshine 60, le 3ème plus grand immeuble de Tokyo (240 mètres, 60 étages, à voir
ici)
On passe cette première journée comme des zombies à se perdre dans le centre commercial tout proche (les magasins "Comme ça ism", "Mono comme ça", "Olive des Olive", "Café de crié" et plein d’autres nous ont bien fait rire), pour tomber sur un MacDo local, et déguster un délicieux Teri-Yaki burger. On arrive finalement à trouver la sortie du centre commercial, direction les boutiques de l’autre côté de la rue. Un petit point sur les passages piétons : ici on ne traverse que quand c'est notre tour, même s'il n'y a pas une voiture en vue. Quand c'est vert, on a aussi droit à la petite musique du feu vert
Après avoir finalement traversé, on aperçoit un des nombreux "game centers" : bornes d’arcades, trucs à pinces pour attraper des peluches, courses de chevaux virtuelles, et surtout pachinko. Le pachinko, c’est une sorte de machine à sous, mais avec de la musique au maximum, de la fumée de clope, et plein de gens, hommes, femmes, jeunes, vieux… Et des boutiques de pachinko, y en a environ tous les 20 mètres (et j’exagère à peine), et il y a toujours du monde. Pour en revenir aux salles d’arcade, bah, c’est comme dans mes rêves : des jeux bizarres qu’on a jamais vus en France, des jeux musicaux à foison (comme ça, là), des shooting games, des jeux de course... enfin tout quoi, le rêve !
Après un retour à l’hôtel pour une bonne douche réparatrice, direction Shibuya, un petit quartier calme de Tokyo. Et c’est en ressortant de l’hôtel, de nuit (il fait nuit à 17h30 en ce moment), qu’on se rend compte des pubs dans la rue.

Pour aller à Shibuya, il faut prendre le métro. La question est : lequel ? Parce qu’à Tokyo, il y a 3 sociétés différentes qui gèrent le réseau. Et pour chacune de ces sociétés, un plan de métro différent. Heureusement, il y a la ligne qui sert à tout, j’ai nommé : la Yamanote. Cette ligne dessert la plupart des points névralgiques de la ville, et je crois qu’il n’y a pas une journée où on ait pris le métro sans passer par la Yamanote.
Donc après… (je compte dans ma tête : Mejiro, Takadanobaba, Shin-Okubo, Shinjuku, Yoyogi, Harajuku, Shibuya) après donc 7 stations, nous voici à Shibuya. Vous avez sûrement déjà vu des images : les écrans géants, les passages piétons géants, et des gens partout ? Bah voilà, ça c’est Shibuya.

Après un bon bol de ramen, retour à l’hôtel pour une première nuit de sommeil tokyoïte. Réveil matinal, petit dej, puis direction Ginza, le quartier des boutiques de luxe pour aller voir le showroom Nissan et le showroom Sony. Le temps étant un peu pluvieux, on ne s’est pas trop attardés, mais on est tombés sur ça au coin d’une rue : un cinéma ou théâtre je ne sais plus, épargné par les bombardements.

Mais Ginza dans l'ensemble, c’est plutôt dans ce genre là, buildings, buildings, et buildings...

Ginza, c’est bien, mais Akihabara, c’est mieux. Akihabara Electric Town plus exactement, enfin c’est comme ça qu’est indiquée la sortie dans le métro. Le quartier-roi de l’électronique, un peu comme la rue Montgalet à Paris, mais pas uniquement pour le pc : toute la hi-fi est là, mais aussi toute l’électronique en général, du climatiseur à l’appareil photo, en passant par les machines à coudre (au dernier étage, grrrr... photo dispo sur demande). Des grandes avenues avec des grands magasins sur plusieurs étages (Sofmap, Yodobashi, BicCamera…) qui ont chacun leur
musique ridicule et entêtante. Bien sûr, on a aussi un bon paquet de boutiques de jeu, de figurines (Macross et Gundam sont un poil sur-représentés), des boutiques de mangas. On peut croiser les variables : boutiques de figurines de jeux, jeux tirés de mangas, etc. Il n'y a plus qu'à ajouter la dimension "cul" à tout ceci pour avoir une tripotée (c'est dégueulasse !) de magasins.

Akihabara, c’est aussi des petites rues hyper étroites, où on ne voit pas le ciel, des petites galeries, où les vendeurs sont coincés derrière leurs comptoirs, vendant tous la même chose (5 vendeurs côte à côte vendent du câble croisé, les 5 suivants vendent des calculettes, les 5 d’après des talkies…).

Nous quittons Akihabara car la pluie cesse enfin, et nous décidons de nous diriger vers Ueno, où un grand parc ainsi que quelques temples nous attendent. Un petit tour en Yamanote et nous y voilà. Les rues qui entourent la gare de Ueno sont comme un marché géant : un marchand de fringues, puis un marchand de légumes, puis un marchand de poissons, puis un marchand de sacs, puis re- un marchand de poissons… très sympa, bonne ambiance, du moment qu’on ne me demande pas de goûter du poulpe séché. Je crois d'ailleurs que c'est cancérigène. Ouais, c'est ça, j'en suis sûr, c'est pas possible autrement !

Une petite halte pour déjeuner chez C&C pour un Chicken Curry (avec les machines à ticket, qui permettent de manger sans adresser la parole au serveur), puis nous voilà en route pour le parc Ueno, avec des arbres manifestement pas comme les nôtres.

Je passe sur les temples pour l’instant, car d’autres vous attendent à la fin du séjour, mais je vous fais part de cette vision étrange de ce champ de nénuphars, au milieu de la ville, avec les immeubles au loin :

Bon allez, je vous mets quand-même cette première photo de temple, parce qu’après tout il n’y en a pas tant que ça dans Tokyo. Et puis comme ça, ça vous poussera peut-être à lire jusqu’à la fin.

Zou, retour à l’hôtel (en Yamanote !), on se fait beau (pas trop dur de ce côté-là), et on se motive pour aller à Shinjuku. Shinjuku, c’est le quartier des gratte-ciel. Vous allez me dire "ouais ouais, c’est bon, on voit ce que c’est". Et des comme ça, c’est du déjà-vu peut-être ?

A Shinjuku, on est allés manger dans un sushi-bar très sympa. On a "légèrement" galéré pour le trouver, sachant que l’adresse qu’on avait n’était pas la bonne (les plans n’aidant pas des masses), et le bougre étant caché au 2ème sous-sol d’un building (il y a tellement de monde qu'on ne peut pas se contenter du rez-de-chaussée pour proposer des restos, donc on en trouve du 2ème sous-sol au 5ème étage des batiments). Cela dit, du bon poisson, quelques trucs étranges dès qu’on s’éloigne trop du classique saumon/thon, mais dans l’ensemble, c’était top. Allez, tant qu’on est à Shinjuku, un petit clin d’œil aux habitués de PGR :

C’est pas tout ça, mais demain on a encore d’autres trucs à visiter, donc retour à l’hotel après un petit passage à Kabukicho (voir les vidéos de
Yakuza 3 pour ceux qui veulent en savoir plus). Dodo, petit dej, Yamanote, nous voici à Shimbashi, dans le sud de Tokyo. De Shimbashi, nous prenons la Yurikamome qui passe sur le Rainbow Bridge (570 mètres de long…) qui nous amène à Odaiba, une île artificielle. Vue depuis le pont :


A Odaiba, pas grand-chose à faire : un petit tour dans une voiture qui conduit toute seule, une salle d’arcade géante (environ un demi terrain de foot) et vide (on devait être 10 au total dans la salle, dont 8 au pachinko), encore des tours, des buildings, et au coin d’une rue, un wedding village. C’est une sorte de micro-village français, avec une église, des petites maisons, des pavés, tout ce qu’il faut pour passer un vrai faux (faux vrai ?) mariage à la française. Soit. Bon allez, je vous l’avoue, j’ai quand-même testé pour vous Street Fighter 4, un crédit pour atteindre Seth et presque gagner... hum...
Re-métro, pour aller dans un coin plus culturel : Asakusa. Il y a là-bas un autre temple, toujours au cœur de Tokyo. Beaucoup de touristes, ça casse un peu l’ambiance, mais force est de constater que l’ouvrage est impressionnant. Les images parlent d’elles-mêmes. Dej dans un resto du coin : tekka-don pour moi, et une sorte d’oyakudon pour Blimblim.
La porte :

La pagode à 5 étages :

Le temple vu de côté :

Le soir, un petit tour à Roppongi pour le principe : on y aperçoit la plus grande tour de Tokyo, la fameuse Roppongi Hills. Les restos de luxe à l’intérieur faisant des portions trop petites, nous sommes donc forcés de sortir de l’immeuble, sous une pluie insistante, pour trouver un resto dans le quartier. On se trouve à nouveau dans une sorte de C&C, mais avec une musique juste atroce : imaginez du Charlie Oleg en moins bon. C’est bon, vous l’avez ? Maintenant, dites-vous que c’était encore pire. Pendant tout un repas. Roppongi, tu l’aimes ou tu la quittes : nous, on la quitte !

On doit être à peu près mercredi si mes calculs sont bons. Yamanote, blablabla, arrivée au Tokyo Dome, le stade de base-ball couvert des Giants de Tokyo. Sur place, un grand huit (le thunder dolphin) où j’ai crié pendant les trois quarts du tour (bizarrement les Japonais ont crié au moment le plus calme). On a aussi cherché la salle d’entrainement de Hajime no Ippo, sans succès. Retour à Shibuya, de jour cette fois, pour une photo qui vaut le détour pour les fans de Jet Set Radio.

Retour à l’hôtel peu après pour accueillir notre ami DjMizuhahra et son fameux Nissan Cube. On décharge le coffre, puis on se met en mouvement pour Shibuya (oui, encore) cette fois pour rejoindre bikoko, qui nous emmène dans un resto local. Quand il nous demande notre avis, DjMizuhara nous dit : "Je déteste les coins où il faut enlever ses chaussures. C’est encore pire si on doit se mettre à genoux". Je vous le donne en mille, le resto où on va nous oblige à nous mettre à genoux, et à enlever ses pompes. Cela dit, ça en valait la peine, des mets locaux très bons, dans une atmosphère sympa (la bière aidant). Yamanote, dodo.
Jeudi et vendredi, pas grand-chose à dire, TGS à fond les ballons, caméra sur le dos, filmant tout ce qu’il est possible de filmer, en faisant des pieds et des mains pour avoir du footage de qualité. Ereintant, mais j'espère que ça vous a plu.
Plop, nous voici déjà samedi. Un peu d’air frais nous fera du bien, nous sommes en route pour la « campagne ». Kamakura, village de bord de mer aux multiples temples, a été choisi par le tyran comme destination du jour. Une heure de train plus tard, nous voici donc dans une petite ville (village ?) typiquement japonaise.

Le premier temple, Engakuji, nous offre ses merveilles, avec notamment un monument dédié à la Tri-Force (je crois). C'est lorsque nous nous dirigeons vers la sortie de ce temple zen que nous entendons une musique familière… Mais qui peut bien passer à fond la musique de Dragon Ball ? Ok, tout va bien, les gens du coin ont juste décidé d’organiser une sorte de kermesse dans le temple zen, avec musique, épreuves pour les enfants, haut-parleur pour l’animatrice. C’est juste que la conception de la zénitude n’est pas la même que la mienne.



BlimBlim étant d’une humeur très bucolique (oui, ça se dit), nous décidons de longer la voie de chemin de fer pour atteindre notre destination suivante. Grand bien nous en fasse : en plus de l’atmosphère très authentique, nous abordons un autre temple (pas zen celui-ci, mais plus calme), Kenchoji. Un événement particulier devait y avoir lieu, car nous avons croisé de nombreuses dames habillées en costume de cérémonie.


Un chemin menant à un autre chemin, nous voici au pied d’un escalier. Vos deux valeureux serviteurs ne craignant ni la mort, ni les marches, nous entreprenons de gravir la montagne qui se présente devant nous. Ce n’est que 250 marches plus loin que nous arrivons au premier palier. Ce n’est pas le moment de se plaindre, sinon les gardiens-corbeaux vont nous mettre une raclée.


Encore quelques marches, et nous nous trouvons devant un panorama sympa, avec comme fond sonore les élèves du lycée d’à côté qui s’entrainent au base-ball (pour info, une batte qui tape une balle, ça fait "poc"). On a même pu entrapercevoir le mont Fuji derrière les nuages. Pour vous, le panorama en question (ne cherchez pas le mont Fuji, c’est pas par là) :

Mais chez Gamersyde, on ne fait pas les choses à moitié. D’autres marchent se présentent à nous : "Salut, on est les marches, on est tordues, un peu glissantes, mais ça vous dit de grimper ?" On n’en est pas à 50 marches près, alors on grimpe. Tel le pot de nutella après une journée pourrie, la vue saisissante qui nous accueille nous redonne de l’énergie. Je vous laisse voir ça :

Allez, on redescend tout, car on n'a pas fait le dixième de ce qu'il y a à voir dans la région. On traverse la forêt via un petit chemin, pour arriver enfin à Kamakura (on s’était arrêtés à Kita-Kamakura au départ). On croise en chemine un distributeur de piles. Des fois qu'on ait besoin de piles en pleine nuit quand tout est fermé.

Après une pause largement méritée au MacDo de Kamakura (quand je pense qu'on a osé douter de l'existence d'un MacDo à Kamakura... au Japon il y a TOUJOURS un MacDo quelque part), on se remet en route pour l'autre bout de la ville. A bout de forces, marchant sur les mains pour se reposer les pieds, on arrive enfin jusqu’à un Buddha géant. On s'attendait à mieux pour être honnêtes, mais c'était assez différent de ce qu'on avait vu jusque là.

Enfin, pas loin de là, pour la première fois, je vois la mer au Japon. Pas très sexy, la mer, mais elle a le mérite d’être là. Je ne regrette pas de ne pas avoir emmené mon maillot avec moi.

Bon allez, c’est l’heure de rentrer. Un dernier bol de ramen à Ikebukuro, encore quelques yens à dépenser, et c’est l’heure de faire sa valise. Un petit dodo, un trajet en bus cette fois jusqu’à l’aéroport, puis c’est parti pour 12 heures de vol. Retour en France, ses trottoirs sales, ses vendeurs pas aimables, ses métros taggés, ses toilettes sans lave-cul, ses rues sans néon, ses piétons indisciplinés… Au moins l'avantage, c'est que je comprends la langue.
Tous les commentaires (53)
et merci pour les photos
Et moi qui pensait que vous étiez parti au Japon pour le TGS........ ^^
Et puis quand bien même j'aurais dit "la mer du Japon" : je vous rappelle que
merci pour le reportage !
En tout cas akihabara est mon quartier préféré je me souviens des bornes ps2 et Ds dans la rue devant les magasins.
En tout cas merci pour ce reportage.
ps: Et t'a rien trouvé sur Berserk, comme prévu, ah ! :Nelson:
Même si bon, à la limite, ça manque un peut de Touge ;-p
Merci en tout cas a Blimblim de m'avoir accueilli dans l'equipe Gamersyde Japon. C'etait siouper (sauf ma partie de Resistance 2)
Avez vous pris un traducteur dans vos bagages, car ce pays et celle ville m'attire plus particulierement, j'aimerai bien m'y rendre(les vacances toussa..), le seul probleme etant que je ne parle pas un seul mot de japonais..(vive l'anglais!!)
En gros, y'a t-il possibilite de se debrouiller, en ne connaissant que des rudiments tres tres basiques?
mine de rien le japon c'est bien.
et histoire d'en finir avec les musique a la con, ma prefere :
http://fr.youtube.com/watch?v=BOTgEq2r1yQ&feature=...
la musique de la gare JR de takadanobaba.
"Genre, t'es pas allé dans les bordels le fourbe... on y croit bien fort. ^^'"
euh, c'est genre tu t'endors a cote d'une bonbasse et tu te reveilles entre deux yakuzas... ca donne pas envie u_u
Perso j'avais pris un abonnement spécial pour pouvoir accéder au net depuis mon abo téléphonique, ce qui nous a permis d'utiliser google maps avec le GPS intégré de mon téléphone. Ca nous a bien rendu service. Mais bon un simple plan aurait certainement suffit.
Petite question : Je vois que tout est ecrit en jap. Est ce que pour quelqu'un qui ne maitrise pas un broc de japonais, on arrive quand meme a se reperer sans se pommer completement? Ca a l'air tellement immense, c'est fou!! Et secondo, j'ai des problemes d'equilibre, est ce que toute ces lumieres et toutes cette foules ne vous destabilisent jamais, vous qui avaient le pied stable? :-D J'ai des craintes sur ce point la. Quitte a y aller, je veux profiter et pas stresse tout le temps. Ca serait sympa de me repondre, personne n'a vraiment pu me le preciser jusqu'a jourd'hui. Si vous me repondez pas , c'est pas grave ca m'empechera pas de continuer a venir sur le site!!!! :-D
Mais merci pour ce reportage encore!!
merci pour tes éclaircissements, il ne me reste plus qu'a convaincre ma copine(ca va etre dur !!) ou des potes pour m'accompagner ^^
Continuez ainsi, ça fait vraiment plaisir d'avoir quelque chose à lire régulièrement !;)
En tout cas c'est clair que le Japon je pense qu'on a tous envie de le visiter ne serait-ce qu'une fois dans sa vie :).