Loakum Ugh….scratch that previous comment. The upcoming Game of Thrones video game is a F’in mobile phone game. Why can’t they came an open world GoT game, like Witcher 3 or God of War? (> 3 Months ago)
Loakum By FAR, the upcoming Game of Thrones King’s Road was the Game of the Show! It plays like God of War Ragnarok! :) (> 3 Months ago)
Loakum @Driftwood Awesome! I’m loving it! It does show a much crisper picture and the frame rate looks good! I was playing Stella Blade and Dragonball Soarkling Blast! :) (> 3 Months ago)
Driftwood @Loakum: enjoy, the one Sony sent us will be there on launch day. Coverage will follow asap. (> 3 Months ago)
Loakum *takes a large sip of victorious grape juice* ok….my PS5 pro arrived early! So much winning! :) (> 3 Months ago)
Driftwood @reneyvane: non ils l'ont publié le 1er octobre et je crois que tu l'avais déjà linkée. ;) (> 3 Months ago)
Driftwood Download is now functional again on Gamersyde. Sorry for the past 53 days or so when it wasn't. (> 3 Months ago)
Driftwood Another (French) livestream today at 2:30 CEST but you're welcome to drop by and speak English. I will gladly answer in English when I get a chance to catch a breath. :) (> 3 Months ago)
Driftwood GSY is getting some nice content at 3 pm CEST with our July podcast and some videos of the Deus Ex Mankind Divided preview build. :) (> 3 Months ago)
Driftwood For once we'll be live at 4:30 pm CEST. Blim should not even be tired! (> 3 Months ago)
Driftwood More Quantum Break coverage coming in a few hours, 9:00 a.m CEST. (> 3 Months ago)
Driftwood We'll have a full review up for Firewatch at 7 pm CET. Videos will only be tomorrow though. (> 3 Months ago)
Driftwood Tonight's livestream will be at 9:15 GMT+1, not GMT+2 as first stated. (> 3 Months ago)
Y'en a qui l'ont vu?
Apparemment c'est finalement pas si mal que ça...
Et en plus un petit teaser de Shadow of the Tomb Raider est diffusé avant.
Remember Halo.
Le teaser sera diffusé ce soir sur le web. Présentation officielle le mois prochain. Sortie en septembre.
Et ça se passe chez les aztèques.
https://www.tombraider.com/en-us/fr
Le teaser en screener
https://twitter.com/Nibellion/status/974006042333007879
Remember Halo.
Mon blog : www.extravadaz.blogspot.fr
http://www.pass-hunters.co.uk
Oui le nom avait été leaké y'a un an et demi par un mec qui s'était fait prendre en photo en train de bosser sur un powerpoint du jeu dans le métro...
Je trouve que comme tous les cinéphiles que je peux regarder, il projette l'intellectualisation. Avoir des analyses poussées, appuyées sur une culture cinématographiques, c'est bien, cela donne des réflexions super intéressantes et instructives sur la démarche du réalisateur.
Mais projeter ces analyses sur la perception du public en général, à mon sens, ça peut mener à coté de la plaque.
Par exemple, quand il dit "on est tous resté bouche bée devant le plan séquence de LalaLand parce qu'il était sans trucage...", qui est ce "on" ? Les cinéphiles ? Oui, peut-être. Mais la très vaste majorité des spectateurs qui ont vu ce film ignore le nom ou le concept du plan séquence (comme ils ne prêtent qu'une attention limitée au fait que l'acteur et non la doublure réalise une cascade). Ce n'est pas cet élément qui va les scotcher. Je ne dis pas que cela ne joue pas, mais qu'il y a d'autres facteurs, sans doute plus simples, plus superficiels ou plus ethnocentriques, qui expliquent bien plus justement l'impact d'une scène/oeuvre auprès d'un public, et qui vont être parfois écartés parce que... intellectualisation.
Plus on est pointu dans un domaine, plus on tend vers ce type d'analyse qui s'éloigne de la vision du néophyte et des causes réelles d'un constat.
Et ça me semble aussi étrange de se lancer dans ce type d'analyse tout en disant que l'on est réfractaire aux séries parce qu'à la base, un large majorité des films, des séries, de la littérature, du théâtre et une bonne partie des JV découlent du "conte". Ils nous racontent des histoires.
Peut être que l'état actuel du cinéma est à replacer dans l'appréciation globale du public par rapport à la narration.
Tiens, je vais prendre un exemple, pas forcément une idée à laquelle j'adhère, mais qui pourrait être creusée : La sérialisation n'est-elle pas l'évolution naturelle de la narration ?
Le fait est qu'avoir des héros récurent, des "suites" ou bien même, au sein d'une même oeuvre, plusieurs aventures distinctes liées par un fil rouge (comme Ulysse ou les Milles et une nuits) s'est propagé dans toutes les formes de narration, depuis des millénaires. Ce n'est pas pour des raisons économiques que l'on retrouve Hercules dans 12 travaux.
Alors oui, la "sérialisations" des films aujourd'hui a incontestablement des causes financières, mais est-ce que ce n'est pas aussi tout simplement un mouvement naturelle qui répond à notre appétence pour ce mode de narration, tous formats confondu ? Les œuvres uniques, isolées, n'étaient-elles pas une exception temporaire dues à la jeunesse du cinéma, plutôt qu'une norme que l'on serait en train de perdre ?
Bien sûr, il y a toujours beaucoup d’œuvres isolées qui sont produites dans tous les domaines, mais que pèsent-elles, non pas en terme de quantité, mais de diffusion, par rapport aux séries (séries romans, télés, mangas, comics, BD européennes, contes, etc.) ?
Bref, désolé pour le pavé, tout ça pour dire que je trouve un peu casse gueule de tenter un état des lieux du cinéma en se focalisant surtout sur le cinéma, avec une vision purement de spécialiste.
Pour ce qui est de la sérialisation des licences. Est-ce une évolution naturelle? Ça mériterait réflexion. Mais c'est clairement pas ça qui a motivé le mouvement. D'instinct on va plus facilement vers quelque chose qu'on connait, c'est rassurant. C'est un comportement humain. Pour le cinéma ça se traduit comment? Bah le public ira voir un film dont il a entendu parlé pour commencer. D'où le lien entre campagne marketing et succès au box-office. Ensuite, il aura aussi plus tendance à aller vers un nom qu'il connait personnellement. Que ce soit le nom d'une licence dont il a déjà vu des films, le nom d'un réal (ou le fait qu'on cite ses autres films), le nom d'acteurs etc...Un film totalement nouveau, d'un réal inconnu, avec des acteurs inconnus aura beau être le film du siècle il a pas fini de ramer face à une grosse merde que tout le monde connait. Évidemment il y a des exceptions à ses règles, c'est juste des grands principes qui marchent globalement.
Bref on va plus facilement vers quelque chose qu'on connait. Ce qui veut dire que c'est plus facile à vendre, plus facile de motiver le public pour aller voir ça, et une plus grosse probabilité de carton et de bonnes recettes. Plusieurs réal ont déjà évoqué les mutation qu'il y a eut à Hollywood, bien avant 2010, de producteurs de métier qui partaient en retraite et étaient remplacé par des businessman et des financiers. Le cinéma est une industrie et l'a toujours été. Néanmoins cette mutation a petit à petit modifier l'équilibre art/pognon. Les producteurs étaient des amoureux de cinéma qui cherchaient à gagner du blé en le partageant. Aujourd'hui c'est surtout un regard financier qui régit ça et la dimension artistique et culturelle est bien moins importante que les recettes potentielles.
Je pense qu'une partie du public se lasse de tous ces blockbusters parce qu'il sent dans le résultat tout ce qui est bancal dans la démarche de création. J'attends d'un artiste qu'il m'expose sa vision, son univers, ce qu'il a dans la tronche, dans ses tripes. Le cinéma étant une industrie, il faut un producteur pour encadrer cette démarche fondamentalement artistique et la rendre compatible avec le marché. Ce qui se traduit par une modulation possible de l’œuvre pour qu'elle soit recevable par le public, ou plus précisément par un public.
Or aujourd'hui la production Hollywoodienne met de plus en plus de blé dans des projets colossaux dont le but premier est de garantir un retour sur investissement maximum et à long terme. On a donc un squelette de production pré-établit et à respecter scrupuleusement, et au sein de ce processus on laisse un petit espace de création à l'équipe.
On est passé d'une œuvre qu'on module éventuellement pour les besoins d'une exploitation, à un produit prédéfinit dans lequel éventuellement il y a une petite place créatrice.
Évidemment le trait est un peu grossi là. Et tout n'est pas noir ou blanc. L'industrialisation n'est pas fondamentalement une mauvaise chose. Le tout libre artistique n'est pas fondamentalement meilleur. Et personnellement je ne pense pas du tout que le cinéma c'était mieux avant. Le cinéma dans son ensemble n'a jamais été aussi bon, aussi riche! Par contre je pense qu'il y a des choses qui ont été faite avant, et qui ne seraient plus faisables aujourd'hui. Et si lui prend toujours en exemple Star Wars VII pour imager ce qui est parti en couilles, moi je ne vois pas mieux pour imager la nuisance des choix de production actuels que The Hobbit qui a débarqué 10 ans le Seigneur des Anneaux. Ce dernier a vu le jour par la sueur, la détermination de Jackson qui a pu convaincre et trouver les financements avec un taff préparatoire, et une putain de passion créatrice et jusqu'au boutiste. En résulte une trilogie historique basée sur un énorme pavé, monument littéraire estimé inadaptable, qui respire la sincérité et l'envie de bien faire. The Hobbit est une commande, pour renouveler le succès du Seigneur des Anneaux, que Jackson s'est retrouvé à faire malgré lui après moultes couacs. En résulte une trilogie mal adaptée d'un bouquin pour enfant de 150 pages, où pas le moindre plan n'a été tournée en extérieur, avec du fan-service, faisant piètre figure face à son ainé alors qu'elle a couté 550 millions de plus.
Et est-ce que Mad Max FR est bien ce chef-d'oeuvre qu'on pense ou est-ce qu'il a eut cet effet tout simplement parce que c'est un blockbuster d'auteur? Comme les Nolan le sont également.
Cette vidéo, pose la question de savoir si le cinéma était mieux avant. C'est peut-être bien trop large et complexe comme thématique. Mais elle soulève forcément la question plus restreinte de savoir ce qui déconne aujourd'hui dans le cinéma gros budget. Et cette question est pertinente d'un point de vue artistique je trouve. Ces films marchent bien. Ils rapportent beaucoup. Ils aident très probablement à financer d'autres films. Bref j'irai pas jusqu'à dire qu'ils sont le cancer du cinéma. néanmoins ce cinéma est bel et bien malade artistiquement. Et il est bien possible qu'il représente un certain danger. D'abord pour l'industrie en elle-même qui s'enferme dans un mouvement de balance de plus en plus extrême de part les enjeux de plus en plus colossaux. Mais aussi pour le cinéma en général, dont tout un pan suffoque de plus en plus et se meurt dans les salles -pas pour rien que Netflix apparait de plus en plus comme une roue de secours-. Et enfin possiblement dangereux pour le public, le grand public, qui s'enferme dans une vision étriqué de ce qu'est le cinéma, et de la portée d'un enrichissement culturelle, en se vautrant confortablement dans ces licences qui les brossent dans le sens du poil comme on se vautre dans un canapé.
Pour moi la question serait donc plutôt: quel avenir pour le cinéma dans le cinéma de divertissement?
ps: Je remets la vidéo dont on parle au cas où pour d'autres: Le cinéma c'était mieux avant?
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Mais bref en tout cas les critiques spectateurs sont plutôt bonnes et la plupart disent clairement que c'est clairement moins catastrophiques que ce que prédisaient les trailers.
Par contre, là où on retrouve les extrêmes dans lesquels elle tombe, c'est pour les retours sur Ready Player One. Ça y va à fond les ballons. On a le blockbuster du siècle et tout le toutim. Perso je ne tomberai plus dans le panneau des critiques dithyrambiques. Elles m'ont pourri The Shape of Water et Lady Bird dernièrement. Et quand je vois le trailer final de Ready Player One, je suis d'autant plus méfiant sur ces retours vu que ça pue le dégueulis de pop-culture nostalgique dans une mélasse vraiment pas élégante de numérique. Et le bouquin n'a pas une réputation exemplaire non plus. Bref je reste open, le film est peut-être bon après tout, mais avec un filtre anti-hype :p.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
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Parce qu'autant je vois bien l'élan créatif qu'il y a eu dans les années 80 avec des univers qui perdurent aujourd'hui (et que j'associe en partie à l'avènement d'effets spéciaux crédibles), autant le "avant" des années 20 à 60, il n'était pas forcément super reluisant.
Sans atteindre certains excès budgétaires actuels, les suites/Séries/recyclages y étaient omniprésent. Une trentaine de Zorro en 40 ans, une quarantaine de Tarzan en 50 ans, une bonne vingtaine de robin des bois, les Frankenstein, les Dracula ou même les Bond... Combien de Westerns, de Péplum, de films de guerre réalisés à la chaîne selon des recettes encore plus calibrés que les films de super héros ? Même dans le cas de chef d’œuvres : combien de Charlot ? De Laurel et Hardy ? Et les adaptations de livres, de pièces... On aime se souvenir des chef d’œuvres, mais je ne sais pas si la créativité était vraiment plus présente. Les Spielberg et Lucas à leur début étaient révolté par les travers de l'industrie hollywoodienne.
Mine de rien, la production actuelle est beaucoup, beaucoup plus dense et si les blockbuster jouent la carte de la sécurité, il y a tout de même une vaste scène indé qui produit des tonnes de films originaux, d'auteurs, avec des canaux de distribution parallèle.
Quand on n'aime pas les blockbusters, ce ne sont pas les alternatives qui manquent. Des alternatives qui avant, n'existaient pas.
Tout le monde s'en fou, mais bon, c'etait plutôt sympa et je le trouve bien plus intéressant pour la "cause" des handicapés qu'intouchable.
Ça reste une comédie française avec ses défauts et ses qualités (le scenario est ultra prévisible par exemple) mais j'ai passé un bon moment et ça ne me dérangerais pas de le revoir.
En tout cas, Alexandra Lamy y est exceptionnelle dans son interprétation et pourtant j'ai cherché les petits détails qui auraient pu la trahir, mais elle s'en sort vraiment bien et montre qu'elle a bossé son sujet.
Mais bon, tout comme pour Intouchable, je regrette encore un peu que les films traitant du handicape n'embauche pas d'acteurs handicapé dans les rôles principaux.. mais bon, business is business :)
Have Fun...
Mon nouveau site : [url]www.gamerinabox.com[/url]
Concernant le fait de mettre un vrai handicapé dans le rôle, c'est pas qu'une question de business, mais de compétence. Le besoin premier c'est d'avoir un mec qui joue bien, pas un mec qui est dans la même situation que le personnage. Sinon il faudrait mettre des chômeurs dans les rôles de chômeurs, des drogués dans les rôles de drogués, des flics dans les rôles de flics...
Des acteurs handicapés, ca existe, et ils ne peuvent malheureusement que se contenter de rôle d'handicapé (contrairement à un chômeur pour reprendre ton exemple) donc, c'est dommage de voire une opportunité de rôle majeur dans un film être prise par un valide.
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J'ai tellement hâte.
Parce qu'autant je vois bien l'élan créatif qu'il y a eu dans les années 80 avec des univers qui perdurent aujourd'hui (et que j'associe en partie à l'avènement d'effets spéciaux crédibles), autant le "avant" des années 20 à 60, il n'était pas forcément super reluisant.
Sans atteindre certains excès budgétaires actuels, les suites/Séries/recyclages y étaient omniprésent. Une trentaine de Zorro en 40 ans, une quarantaine de Tarzan en 50 ans, une bonne vingtaine de robin des bois, les Frankenstein, les Dracula ou même les Bond... Combien de Westerns, de Péplum, de films de guerre réalisés à la chaîne selon des recettes encore plus calibrés que les films de super héros ? Même dans le cas de chef d’œuvres : combien de Charlot ? De Laurel et Hardy ? Et les adaptations de livres, de pièces... On aime se souvenir des chef d’œuvres, mais je ne sais pas si la créativité était vraiment plus présente. Les Spielberg et Lucas à leur début étaient révolté par les travers de l'industrie hollywoodienne.
Mine de rien, la production actuelle est beaucoup, beaucoup plus dense et si les blockbuster jouent la carte de la sécurité, il y a tout de même une vaste scène indé qui produit des tonnes de films originaux, d'auteurs, avec des canaux de distribution parallèle.
Quand on n'aime pas les blockbusters, ce ne sont pas les alternatives qui manquent. Des alternatives qui avant, n'existaient pas.
Après effectivement, si on adhère pas aux blockbusters aujourd'hui, on a largement de quoi se nourrir quand même. Mais perso si je critique la plupart des blockbusters, je n'ai rien contre le genre. Au contraire! J'aime aussi ce genre, et j'aimerais pouvoir en profiter plus. Et reste la question de son impact sur l'ensemble du cinéma. Le cinéma est en train d'être écartelé, avec d'un côté les gros budget qui ont de plus en plus gros budget et des enjeux commerciaux de plus en plus gros, et de l’autre les petits films sous les 10 millions. L'entre deux a tendance à disparaitre, alors que c'est dans cette tranche que la créativité et la prise de risque peuvent avoir des moyens sans forcément mettre en danger les studios.
J'ai tellement hâte.
Mais c'est pareil pour Ready Player One. Ça balance de la réf pop-culture de partout dans un déluge visuel surchargé.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Alors c'est vrai qu'on les connait maintenant les persos d'Avengers 3. Mais quand même, quelle place chacun peut avoir en 2h45. Il y a quand même: Iron Man, son pote dont j'ai oublié le nom, Banner/Hulk, Thor, Loki, Captain A, Black Widow, Doctor Strange, Black Panther, Star-lord, Gamora, Drax, Groot, Rocket, Nebula, Spider-Man, Scarlet Witch, Vision, Faucon, Winter Soldier et Thanos...pour les persos principaux. Je crois oublier personne :p. Ça me semble difficile de leur donner suffisamment de place à chacun. Et forcément même en 2h45, le rythme va en pâtir j'en suis quasi-certain.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Hawkeye est pas dans les 2 trailers du film d'ailleurs. :3
Ce n'est pas grave si certains sont plus mis en valeur que d'autres, si certains n'apparaissent que le temps d'une baston. Ce n'est pas parce que tous ces persos nous sont connus qu'ils sont voué à avoir un premier rôle dans CE récit. Il y a des rôles secondaires et de figurants dans tous les films.
D'ailleurs, la situation est identique dans les comics où les cross-over se focalisent sur quelques uns des personnages présents (et pas toujours les mêmes) en fonction des récits.
Et le coté enfermement... mouais, on y revient toujours mais je ne suis pas complètement d'accord. Il y a une unité de ton, de visuel, c'est clair, mais un Ant-Man est un film de "heist", un Winter Soldier est un film d'espionnage, un GoG est un film de SF, Black Panther a pour moi une réelle dimension politique, Spider-Man est vraiment un teenage movie...
C'est facile de dire "il y a une recette miracle". Mais déjà, elle ne marche pas toujours chez Marvel et encore plus rarement chez Warner, Fox, Netflix ou ABC. Pourtant, le principe de la recette, c'est qu'il suffit de la suivre pour aboutir au résultat recherché.
Juste un petit retour sur les 4 dernières productions Marvel :
Black Panther (score en cour) : $1,133,996,528
Thor: Ragnarok : $854,252,693
Spider-Man: Homecoming : $880,166,924
Guardians of The Galaxy Vol. 2 : $863,756,051
Et si j'élargit aux productions Disney, c'est encore plus impressionnant (La belle et la bête, Les derniers Jedi, Finding Dory, Pirates5, etc...)
Remember Halo.
Ceci dit c'est pas parce qu'il y a une formule que chaque film l'applique bêtement. Et c'est pas parce qu'il y a une formule que c'est facile à reproduire. Les échecs successifs de Batman V Superman, Suicide Squad et Justice League le prouvent.