Mais tout le monde constate que le prix a augmenté seulement la qualité et la complexité des jeux proposés justifie cette augmentation, meme le poids des jeux a plus que doublé!

Mais depuis 2005 les coûts de soumission, de mise à jour et le partage de royalties n'ont pas changé sur le XBLA hein... MS n'est pas devenu plus gourmand ou quoi, ils n'ont juste RIEN changé :)

Suite au retournement de veste de Microsoft après l'E3 2013, de nombreux joueurs ont été déçus de passer à coté de quelques fonctionnalités alléchantes, à l'origine prévues sur Xbox One.

C'est pourquoi certains tentent aujourd'hui d'attirer l'attention de la firme de Redmond en mettant en place une pétition afin de revenir une nouvelle fois en arrière, et à proposer la Xbox One, telle qu'elle a été présentée le 21 Mai et à l'E3.

Ca devait être le futur du divertissement. Une nouvelle vague de jeu où vous pouviez acheter des jeux dématérialisés, puis échanger, partager ou vendre ces licences digitales. Dans le fond, c'était Steam sur Xbox. Mais les consommateurs ont été mal informés et ont pesté contre cela, ça a donc été mis de coté car Sony à tiré avantage de l'incertitude des consommateurs. Nous voulons que ça soit de retour. Ça ne peut pas être tout ou rien, il doit y avoir un compromis.

On comprend alors qu'il est ici demandé de reconsidérer les choses, afin de proposer par exemple la possibilité de partager sa ludothèque aux membres de la "family list"...

La situation étant ce qu'elle est, il faudrait que Microsoft puisse proposer les deux alternatives ; l'une, pour ceux disposant d'une connexion, permettant de reproduire le modèle précédent, et l'autre, pour ceux préférant le modèle matérialisé actuel. Le mieux serait, bien sûr, de permettre ce choix, jeu par jeu...



http://www.change.org/petitions/microsoft-give-us-...

Je suspecte que cette manière de procéder vient aussi d'un conflit d'intérêt avec "Indie Fund" qu'il a monté en 2010 et qui permet de co-publier des jeux... avec un revenu share de 25% pour indie found ;) (et dont certainement une petite partie dans sa popoche).

Ils aident les petits développeurs en avançant de l'argent et en le récupérant sur une base 25% sur les royalties. Ce qui est exactement le fonctionnement d'un éditeur mais sans les questions de droits d'exploitation. Mais ce qui est très bien c'est que les gars derrière sont quand même des mecs qui ont fait leur preuves et qu'ils financent des projets qui auraient beaucoup de mal à trouver un éditeur soit parce que le projet est trop petit, soit parce qu'il est trop risqué de par son originalité.